Voici un spoiler complet d’environ 900 mots pour le film intitulé :

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🎬 Ici tout commence : le résumé en avance du mercredi 29 octobre – Comment Carla a-t-elle réussi à retrouver la mémoire ? (SPOILER)

L’épisode du 29 octobre s’ouvre sur un calme trompeur à l’Institut Auguste Armand. Après plusieurs jours de tension et d’émotion, tout semble redevenu normal. Les élèves s’affairent en cuisine, les professeurs reprennent leur routine… mais une ombre plane encore sur les esprits : Carla. Depuis son accident, la jeune femme a perdu la mémoire, et malgré tous les efforts de ses proches, rien ne semblait pouvoir la ramener à la réalité. Pourtant, dans cet épisode bouleversant, tout va changer.

Dès les premières minutes, la caméra s’attarde sur le visage de Carla, assise seule dans le parc de l’Institut. Ses yeux vagues, ses gestes hésitants traduisent un profond désarroi. Autour d’elle, le monde semble avancer sans elle. Bérénice, sa plus proche amie, tente encore une fois de lui parler, espérant une réaction :
— « Tu te souviens de moi ? »
Mais Carla secoue doucement la tête. Elle sourit poliment, sans émotion, comme une étrangère dans sa propre vie.

À l’intérieur de l’Institut, Antoine Myriel et Teyssier s’affrontent sur la meilleure manière d’aider la jeune femme. Antoine plaide pour la douceur et le temps : « Il faut la laisser retrouver ses repères. » Teyssier, lui, n’y croit pas : « Si elle ne se souvient plus de rien, elle ne tiendra pas le rythme ici. » Le ton monte entre les deux hommes, tandis que Clotilde Armand tente d’apaiser la situation.

Pendant ce temps, Bérénice refuse d’abandonner. Elle a passé des heures à rassembler des objets du passé de Carla — photos, carnets, recettes, souvenirs de leurs débuts à l’Institut — dans l’espoir de provoquer un déclic. Elle les dispose dans la chambre de Carla, espérant que ces fragments de mémoire la toucheront. Lorsque Carla entre, elle observe la scène avec curiosité, sans comprendre. Ses doigts effleurent une photo d’elle et Bérénice riant en cuisine. Son regard se trouble.
— « C’est… moi ? »
— « Oui. C’est toi. Et c’est nous. »
Une larme coule sur la joue de Carla, mais le souvenir ne revient pas encore.

Le lendemain, un nouvel exercice culinaire est organisé par Teyssier : une épreuve symbolique autour du thème de la mémoire gustative. Chaque élève doit recréer un plat qui évoque une émotion précise. Ironie du sort, Carla, qui ne se souvient même pas de son plat préféré, est contrainte d’y participer. D’abord perdue, elle observe les autres, puis ferme les yeux et respire profondément. Une odeur, une saveur lui traverse l’esprit. Elle se met à cuisiner machinalement, guidée par l’instinct.

Teyssier la regarde faire, intrigué. Ses gestes sont précis, fluides, comme si elle retrouvait ses réflexes d’autrefois. Lorsqu’elle présente son plat, un simple dessert à la vanille et aux agrumes, un silence se fait. Teyssier goûte et lève les yeux vers elle :
— « C’est la première fois depuis des semaines que je retrouve ton niveau. »
Carla, surprise, baisse les yeux. Puis un flash la traverse. Des images floues reviennent : une cuisine, des rires, une dispute, le visage de Bérénice. Elle chancelle.

Bérénice, affolée, accourt à ses côtés. Carla murmure :
— « Je me souviens… j’ai fait ce dessert pour toi. »
C’est le premier vrai signe de mémoire retrouvée.

Mais cette révélation ne suffit pas à apaiser les tensions. Antoine, inquiet, veut qu’elle consulte un neurologue avant de reprendre les cours intensifs. Teyssier, lui, y voit une opportunité : « Si elle retrouve ses souvenirs en cuisinant, c’est ici qu’elle doit rester. » Le débat reprend, mais Carla tranche elle-même :
— « Je veux rester. Je veux comprendre ce qui m’est arrivé. »

Dans une scène émouvante, elle confie à Bérénice ce qu’elle ressent :
— « C’est comme si j’avais deux vies. Celle d’avant, que je revois par bribes, et celle de maintenant, où tout est flou. »
Bérénice l’encourage à suivre son instinct. Ensemble, elles décident de replonger dans les recettes qu’elles avaient inventées avant l’accident, espérant que la répétition des gestes fera resurgir le reste de sa mémoire.

La séquence suivante est un montage poétique : on voit Carla cuisiner, goûter, fermer les yeux, puis sursauter à chaque nouvelle réminiscence. Les souvenirs reviennent par fragments : la chaleur du four, une brûlure au doigt, un fou rire avec Bérénice, une remarque piquante de Teyssier… Petit à petit, les pièces du puzzle se remettent en place.

Mais tout bascule lorsqu’elle tombe sur une recette annotée de sa main, marquée d’une phrase : « Pour ne jamais oublier ce que j’ai ressenti ce jour-là. » Cette phrase déclenche en elle une tempête émotionnelle. Elle se souvient enfin du drame : la nuit de l’accident. Une dispute violente, la pluie, un dérapage, le choc. Le souvenir est si brutal qu’elle s’effondre, submergée par la douleur.

Bérénice la retrouve en pleurs, recroquevillée sur le sol.
— « J’ai tout revu… c’est moi qui conduisais cette nuit-là. »
Ce secret bouleverse tout. Pendant des semaines, tout le monde croyait que l’accident était dû à un tiers, mais Carla se rend compte qu’elle en est en partie responsable. C’est ce traumatisme, cette culpabilité, qui avait bloqué sa mémoire.

Antoine et Clotilde, mis au courant, redoutent qu’elle ne soit pas prête à affronter la vérité. Mais Carla, déterminée, refuse de se cacher :
— « J’ai eu peur de savoir. Maintenant, je veux avancer. »

Dans la dernière partie de l’épisode, Carla retourne en cuisine pour affronter son passé. Elle décide de recréer, pour la première fois depuis l’accident, le menu complet qu’elle devait présenter ce soir-là. L’émotion est à son comble. Chaque geste semble la libérer un peu plus. Lorsque le plat est terminé, elle l’apporte à Teyssier, qui goûte sans un mot, puis murmure :
— « Bienvenue parmi les vivants, Carla. »

Les larmes montent aux yeux de la jeune femme. Elle se tourne vers Bérénice, lui prend la main, et lui dit simplement :
— « Merci de ne jamais m’avoir abandonnée. »

La caméra s’élève lentement, laissant voir Carla souriant pour la première fois depuis longtemps. Le soleil se couche sur l’Institut, comme un symbole de renaissance.

Cet épisode marque un tournant majeur dans Ici tout commence. En retrouvant la mémoire, Carla ne redécouvre pas seulement son passé — elle redéfinit aussi son avenir. Le lien indéfectible avec Bérénice s’en trouve renforcé, et le regard de Teyssier, habituellement si dur, trahit pour une fois un certain respect.

Ce 29 octobre restera gravé comme l’un des moments les plus intenses de la série : un épisode où la mémoire, la culpabilité et la rédemption s’entrelacent pour redonner vie à une héroïne brisée.

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Souhaitez-vous que je rédige la suite de ce spoiler, où Carla affronte les conséquences de ses souvenirs retrouvés dans l’épisode suivant ?