💔 ITC – L’Épisode qui Change Tout : Le départ choc d’Elsa Lunghini bouleverse l’Institut après sa rupture avec Aurélien Cheval

 


💔 ITC – L’Épisode qui Change Tout : Le départ choc d’Elsa Lunghini bouleverse l’Institut après sa rupture avec Aurélien Cheval

L’épisode s’ouvre dans une atmosphère lourde et presque irréelle : dans les couloirs de l’Institut, une rumeur enfle, circule, se propage comme une traînée de poudre. Les élèves chuchotent, les chefs échangent des regards lourds de sens, et chacun semble attendre une confirmation officielle. Le sujet de toutes les conversations ? La séparation inattendue entre Elsa Lunghini et Aurélien Cheval, révélée dans la presse quelques heures plus tôt. Mais ce que personne n’avait anticipé, c’est la façon dont ce bouleversement personnel va déferler sur le tournage fictif d’Ici tout commence et entraîner une série d’événements dramatiques.

Dans la fiction, tout commence par un silence pesant dans le bureau des chefs. Le personnage incarné par Elsa Lunghini – déjà fragilisé par plusieurs arcs narratifs intenses – semble plus tourmenté que jamais. L’épisode nous plonge directement dans son état émotionnel : elle arrive en retard, l’air absent, les yeux rougis, visiblement submergée par un mélange de tristesse et d’urgence intérieure. Ses collègues, habitués à sa rigueur et à son professionnalisme, comprennent immédiatement qu’un drame intime se joue derrière ses sourires forcés.

La scène suivante montre la chef essayer tant bien que mal de reprendre le cours de sa journée. Pourtant, malgré ses efforts, elle perd pied : elle oublie une commande, confond deux élèves en plein exercice, hausse la voix contre un apprenti pourtant irréprochable. Ce n’est qu’à la pause, seule face à un piano éteint, que les premiers signes de son effondrement apparaissent. Dans un moment de vulnérabilité rare, elle laisse tomber son masque, posant sa tête entre ses mains, submergée.

Pendant ce temps, les élèves s’interrogent. Certains imaginent une intrigue secrète, d’autres évoquent un burn-out, et les plus observateurs notent que la chef semble au bord de la rupture depuis plusieurs jours déjà. Une scène marquante montre Tom et Ambre discuter à voix basse près du jardin : ils débattent de l’impact émotionnel qu’un divorce peut provoquer, sans citer directement la chef, mais chacun comprend qu’ils parlent d’elle. La conversation tourne vite à une réflexion plus large sur la pression du métier, sur les sacrifices que les chefs – réels ou fictifs – doivent supporter pour préserver l’excellence au quotidien.

Le véritable basculement se produit lors d’un exercice culinaire capital, où la chef doit guider les élèves de troisième année dans la réalisation d’un menu complexe. Au milieu du chaos des casseroles et du bruit des couteaux, elle s’interrompt soudain, le regard fixé sur un point invisible. Une musique sourde monte, amplifiant son trouble intérieur. Elle lâche ses ustensiles, s’appuie contre la table et quitte la cuisine sans prévenir, sous les regards médusés de sa brigade. L’instant est d’autant plus impactant que sa fragilité contraste avec la figure d’autorité qu’elle incarne depuis toujours.

Anaïs, témoin de la scène, la rattrape derrière les serres. Là, la chef craque complètement. Elle confesse que sa vie personnelle est en ruines, qu’elle ne parvient plus à dissocier son rôle de mentor de la tourmente intime qu’elle traverse. L’aveu est brutal : elle affirme ne plus être en mesure d’assurer son rôle, ni auprès des élèves, ni auprès de l’Institut, ni même auprès d’elle-même. Ce dialogue, intense et profond, s’étire comme un souffle coupé. Anaïs tente de la réconforter, de lui rappeler son importance, mais les mots rebondissent sur une détresse devenue trop lourde.

Dans les heures qui suivent, la chef tente malgré tout de sauver les apparences. Elle revient brièvement en cuisine, distribue quelques indications, s’efforce d’agir comme si de rien n’était. Mais la façade se fissure de plus en plus. Certains élèves, émus, proposent leur aide. D’autres, plus nerveux, redoutent qu’une décision radicale ne tombe.

Et elle tombe.

En fin de journée, lors d’un conseil improvisé avec les chefs de l’Institut, elle annonce sa décision : elle souhaite prendre congé, se mettre en retrait, quitter temporairement l’établissement pour « se reconstruire ». Son discours, empreint d’une dignité fragile, bouleverse tout le monde. Elle explique qu’elle ne veut pas que sa douleur contamine ses élèves, ni que son chagrin devienne un fardeau pour ceux qu’elle forme. Elle évoque aussi la responsabilité de ne pas laisser ses états d’âme interférer avec la qualité de l’enseignement, ni avec l’excellence qui fait la réputation de l’Institut.

La scène suivante est l’une des plus poignantes de l’épisode. Après avoir rangé ses affaires dans un sac discret, elle fait un dernier tour du bâtiment, observant les cuisines, les salles, les élèves, comme si elle prenait congé de tout un monde qu’elle avait aidé à bâtir. Puis, sur le perron, elle croise un groupe d’étudiants qui l’attendaient pour lui dire au revoir. Leurs regards sont lourds de tristesse et de respect. Dans un geste rare, la chef laisse échapper une larme avant de leur souhaiter de poursuivre leur passion avec force et vérité.

La dernière séquence montre la porte de l’Institut se refermer doucement derrière elle. L’image est symbolique : un chapitre se termine, un autre commence, chargé d’incertitudes mais aussi d’espoir. Les élèves restent figés, silencieux, conscients qu’ils viennent d’assister à un moment clé de l’histoire de l’établissement.

Ainsi se clôt l’épisode, oscillant entre fiction et résonances profondes avec la réalité des acteurs qui incarnent ces personnages. Un épisode où l’intime s’invite dans la narration, où la fragilité humaine apparaît dans toute sa vérité, et où l’Institut subit l’une de ses plus grandes secousses émotionnelles.