🚹 Alerte Ă  venir pour Thomas ! DĂ©couvrez les rĂ©sumĂ©s en avance de Plus belle la vie jusqu’au 24 octobre 2025

 


🚹 Alerte à venir pour Thomas ! Plus belle la vie : le Mistral sous tension jusqu’au 24 octobre 2025

Les semaines Ă  venir s’annoncent explosives dans Plus belle la vie. Jusqu’au 24 octobre 2025, le Mistral va vivre au rythme d’un compte Ă  rebours angoissant. Une alerte inquiĂ©tante plane au-dessus de Thomas, menaçant de bouleverser l’équilibre fragile de tout le quartier. Entre doutes, secrets enfouis et alliances improbables, les habitants vont dĂ©couvrir que le danger peut venir de lĂ  oĂč on l’attend le moins.

Depuis plusieurs jours, Thomas sent que quelque chose ne tourne pas rond. Les commandes du bar arrivent avec du retard, des factures disparaissent mystĂ©rieusement, et certains clients affirment avoir reçu des messages Ă©tranges lui faisant allusion. Au dĂ©but, il croit Ă  une erreur administrative ou Ă  une mauvaise plaisanterie. Mais plus le temps passe, plus les signes s’accumulent.

Un soir, alors qu’il ferme le Mistral, Thomas dĂ©couvre une enveloppe glissĂ©e sous la porte. À l’intĂ©rieur : une simple photo du bar, prise de nuit, sur laquelle on peut lire au dos une phrase glaçante :

“Tu n’as plus beaucoup de temps.”

Ce message dĂ©clenche immĂ©diatement la panique. Thomas, troublĂ©, en parle Ă  Gabriel, qui tente de le rassurer sans succĂšs. Pour le mĂ©decin, il s’agit sĂ»rement d’une mauvaise blague ou d’un client mĂ©content. Mais Thomas, lui, ne peut s’empĂȘcher de ressentir une menace rĂ©elle. Depuis l’incendie du Mistral plusieurs annĂ©es auparavant, il a dĂ©veloppĂ© une peur viscĂ©rale des drames qui planent sans prĂ©venir.

Le lendemain, Barbara, qui revient prĂȘter main-forte au bar, remarque l’état de tension de son ami. Ensemble, ils dĂ©cident de vĂ©rifier les camĂ©ras de surveillance. Et lĂ , stupeur : la nuit prĂ©cĂ©dente, une silhouette encapuchonnĂ©e est entrĂ©e dans la cour du Mistral avant de disparaĂźtre. Le visage n’est pas visible, mais le geste est clair : la personne a volontairement dĂ©posĂ© l’enveloppe.

Les jours suivants, la tension monte. Thomas reçoit de nouveaux signaux Ă©tranges : des appels anonymes, des coupures de courant inexpliquĂ©es, et un sentiment d’ĂȘtre suivi. MĂȘme Gabriel commence Ă  douter. C’est alors qu’un Ă©vĂ©nement inattendu vient raviver les peurs de tout le quartier : une alerte sonore retentit au Mistral, en pleine journĂ©e, forçant l’évacuation des lieux.

Les pompiers interviennent, mais aucune trace d’incendie, ni de fuite. Pourtant, les systĂšmes de sĂ©curitĂ© ont bien Ă©tĂ© dĂ©clenchĂ©s. Tout laisse penser Ă  un sabotage. Boher et Ariane, chargĂ©s de l’enquĂȘte, interrogeront Thomas et ses employĂ©s, sans rĂ©sultat concret.

Mais un dĂ©tail attire leur attention : la sirĂšne s’est dĂ©clenchĂ©e prĂ©cisĂ©ment Ă  16h42, une heure symbolique
 celle Ă  laquelle, des annĂ©es plus tĂŽt, un autre drame avait frappĂ© le Mistral. Thomas y voit un signe, et sa peur se transforme en obsession.

Pendant ce temps, au commissariat, Patrick Nebout met la pression Ă  ses Ă©quipes. Un sabotage en plein cƓur du Mistral ne peut pas rester impuni. Les camĂ©ras de la place rĂ©vĂšlent qu’une personne a rĂŽdĂ© autour du bar la veille. Un zoom permet d’apercevoir une silhouette fĂ©minine, reconnaissable Ă  un bracelet rouge : MĂ©lanie.

Le retour soudain de MĂ©lanie surprend tout le monde. Elle affirme ĂȘtre revenue pour “tourner la page”, mais son attitude laisse planer le doute. Barbara, d’abord ravie de la revoir, remarque vite ses incohĂ©rences. Pourquoi s’intĂ©resse-t-elle autant au systĂšme de sĂ©curitĂ© du bar ? Pourquoi passe-t-elle ses soirĂ©es Ă  interroger les habitants sur les rĂ©novations rĂ©centes ?

Thomas, partagĂ© entre Ă©motion et mĂ©fiance, finit par la confronter. Elle nie toute implication dans les alertes, jurant qu’elle n’a rien Ă  voir avec les messages anonymes. Pourtant, elle cache quelque chose. Gabriel le sent, et prĂ©vient Thomas de rester prudent.

La tension atteint un nouveau pic le 19 octobre. Alors que Thomas s’apprĂȘte Ă  fermer, une nouvelle alarme retentit — cette fois, bien rĂ©elle. Une fumĂ©e s’échappe du sous-sol. Les pompiers arrivent rapidement et maĂźtrisent la situation. Heureusement, aucun blessĂ©, mais le diagnostic est clair : un court-circuit provoquĂ© volontairement.

Le lendemain, Barbara dĂ©couvre un indice dĂ©terminant : un gant brĂ»lĂ©, retrouvĂ© prĂšs du tableau Ă©lectrique. L’ADN correspond à
 MĂ©lanie.

InterrogĂ©e par la police, elle finit par craquer. En larmes, elle avoue avoir provoquĂ© l’incident — mais pas pour faire du mal. Selon elle, Thomas courait un danger plus grand : “Quelqu’un voulait vraiment dĂ©truire le bar. J’ai voulu le prĂ©venir avant qu’il ne soit trop tard.”

Ses paroles sĂšment le trouble. Qui cherchait Ă  nuire Ă  Thomas ? Et pourquoi MĂ©lanie n’a-t-elle pas parlĂ© plus tĂŽt ?

Roxane, en fouillant les relevĂ©s de sĂ©curitĂ©, dĂ©couvre qu’un deuxiĂšme signal d’alerme avait Ă©tĂ© programmĂ©, prĂ©vu pour le 24 octobre. Autrement dit : le pire Ă©tait encore Ă  venir. L’alerte de MĂ©lanie n’était qu’un avertissement dĂ©guisĂ©.

Les policiers dĂ©cident alors de tendre un piĂšge. Dans la nuit du 23 au 24 octobre, Ariane et Boher installent une surveillance autour du bar. À 3h du matin, une silhouette s’approche discrĂštement de l’entrĂ©e arriĂšre. Elle tente de pirater le systĂšme Ă©lectrique, mais se retrouve nez Ă  nez avec Ariane. L’individu s’enfuit, laissant tomber une clĂ© USB
 contenant des documents compromettants.

Ces fichiers rĂ©vĂšlent une vĂ©ritĂ© inattendue : le bar du Mistral Ă©tait la cible d’une manƓuvre immobiliĂšre, orchestrĂ©e par un promoteur dĂ©sireux de racheter tout le quartier Ă  bas prix. Thomas devait ĂȘtre discrĂ©ditĂ©, ruinĂ©, et poussĂ© Ă  vendre.

Lorsque la police identifie le nom du responsable, le choc est total : Vincent Chaumette. De retour à Marseille depuis peu, il aurait manipulé plusieurs habitants pour parvenir à ses fins. Mélanie, elle, avait découvert la supercherie et tenté de prévenir Thomas, mais trop tard.

Dans l’épisode du 24 octobre, Vincent est arrĂȘtĂ©, tandis que Thomas rĂ©alise l’ampleur de ce qu’il a frĂŽlĂ©. Sans MĂ©lanie, il aurait tout perdu. Le bar, ses proches
 sa vie mĂȘme.

Le Mistral peut enfin souffler, mais le calme reste fragile. Car si la menace immobiliĂšre est Ă©cartĂ©e, un autre danger se profile dĂ©jĂ  Ă  l’horizon : quelqu’un, dans l’ombre, semble prĂȘt Ă  reprendre le flambeau.

Thomas, encore bouleversé, ferme le bar pour quelques jours. Sur la porte, il accroche un écriteau :

“Le Mistral a survĂ©cu. Mais rien ne sera plus jamais pareil.”

Et pour une fois, tout le monde sait qu’il a raison.