ITC – [SPOILER] – Carla et Gaspard ont été pris en flagrant délit… Qu’ont-ils fait hier soir ?

 


🎬 ITC – Épisode Choc : “La Nuit Interdite de Carla et Gaspard : ce que personne n’aurait dû voir” (SPOILER)

Dans ce “film” imaginé comme un thriller émotionnel, l’épisode s’ouvre sur une atmosphère lourde, presque électrique. Rien ne semble normal dès les premières minutes : des chuchotements dans les couloirs, des regards fuyants, des élèves qui s’échangent des rumeurs à voix basse. On comprend vite que quelque chose de grave s’est produit la veille au soir… et que deux noms reviennent constamment : Carla et Gaspard.

L’intrigue démarre au petit matin. Carla arrive à l’Institut avec un calme déroutant, presque trop contrôlé. Son visage est fermé, sa démarche mécanique. Elle évite soigneusement les questions, ne répond que par des phrases courtes, comme si chaque mot pouvait la trahir. À quelques mètres de là, Gaspard fait exactement la même chose. Il baisse les yeux, fuit les conversations, prétend être absorbé par sa journée. Pourtant, tout dans son attitude laisse comprendre qu’il cache un secret dont il n’assume pas encore le poids.

Très vite, les premières scènes du “film” montrent que les deux jeunes ont passé la soirée ensemble… et que personne ne sait ce qu’ils faisaient exactement. Le spectateur découvre par bribes une succession de flashbacks : un couloir désert, le bruit d’une porte qu’on claque à la hâte, des ombres qui s’agitent dans une salle normalement verrouillée à cette heure-là. L’image reste volontairement floue, comme si l’histoire elle-même hésitait à révéler ce qui s’est joué dans cette fameuse nuit.

La tension monte d’un cran lorsque l’administration convoque brusquement Carla. Le ton est sec, sans détour : on l’a vue, avec Gaspard, dans un endroit strictement interdit. Les images de la caméra de surveillance sont sans appel. Le film dévoile alors la scène choc : les deux élèves, surpris en flagrant délit, figés dans la lumière crue des projecteurs de sécurité. On ignore encore ce qu’ils faisaient, mais leur comportement suffit à créer un véritable séisme dans l’Institut.

Les rumeurs enflent. Certains prétendent qu’ils ont saboté une pièce maîtresse de la cuisine. D’autres assurent qu’ils préparaient un coup pour déstabiliser un rival. Quelques-uns imaginent même une histoire d’amour clandestine. Le film joue habilement avec ces hypothèses, laissant le spectateur douter de tout et de tout le monde. Les élèves s’agitent, la tension monte dans les classes, et les professeurs commencent à s’impatienter face à l’excitation générale.

De son côté, Carla tente de garder le contrôle. Mais chaque nouvelle question la fait vaciller. Le film explore son point de vue à travers des plans serrés montrant ses mains crispées, sa respiration trop rapide, sa volonté farouche de ne rien laisser transparaître. On sent qu’elle porte un fardeau bien plus lourd que ce simple “flagrant délit”. Son regard lancé discrètement vers Gaspard, durant un cours, en dit long : quelque chose de grave les lie désormais.

Gaspard, lui, vit la situation différemment. Son comportement révèle un conflit intérieur. Il veut parler, avouer peut-être, mais Carla l’arrête d’un geste silencieux, chaque fois qu’il tente de s’approcher. On sent chez lui une forme d’angoisse mêlée à une fidélité presque dangereuse. Comme s’il portait seul la responsabilité d’un acte qu’ils ont pourtant commis à deux.

La révélation arrive dans une scène clé du “film”. Une dispute éclate entre eux dans l’arrière-cour de l’Institut, loin des regards. Le ton monte, les reproches se bousculent. Le spectateur comprend enfin ce qu’ils ont fait : ils ont pénétré dans la salle technique après les heures d’ouverture pour récupérer un élément essentiel destiné à un concours culinaire interne. Un ingrédient rare, normalement inaccessible, qu’ils pensaient devoir “emprunter” pour sauver leur équipe d’un échec cuisant. Mais un incident s’est produit : dans leur précipitation, ils ont renversé du matériel, déclenché une alarme silencieuse… et la caméra de sécurité a tout enregistré.

Mais ce n’est pas tout. Le film révèle un second secret, bien plus intime. Carla, dans un moment de faiblesse, reconnaît que ce n’était pas seulement pour le concours. Elle avait besoin de prouver quelque chose, à elle-même autant qu’aux autres. Sa détermination, sa peur de décevoir, son besoin de montrer qu’elle peut être brillante à sa façon… tout cela l’a poussée à franchir la ligne. Gaspard, incapable de lui dire non, l’a suivie.

La scène est forte, emplie de tension et de vulnérabilité. Deux adolescents dépassés par leurs propres choix, pris dans un engrenage qui les dépasse. Leur relation – qu’elle soit amicale, fragile ou ambiguë – apparaît soudain comme l’un des nœuds centraux de l’histoire.

Suite à leur explication, l’intrigue bascule dans une seconde partie plus dramatique. L’administration, désormais au courant, décide d’entamer une procédure disciplinaire. Le film montre alors les conséquences de leur acte : l’angoisse des élèves, la colère de certains professeurs, la déception de leurs camarades impliqués dans le concours. Le suspense repose sur la question : seront-ils renvoyés ?

Carla, mise sous pression, finit par craquer. Dans une scène poignante, elle admet sa responsabilité complète, prête à se sacrifier pour éviter que Gaspard ne soit sanctionné. Le film la présente brisée mais déterminée, consciente que ses choix peuvent ruiner sa scolarité. Gaspard, bouleversé, refuse de la laisser tomber et s’apprête à dire toute la vérité, même si cela doit le condamner.

Le “film” s’achève sur une note suspendue : les deux élèves, côte à côte, prêts à assumer ensemble ce qu’ils ont fait. On sent que la sanction sera sévère, mais qu’ils ont enfin cessé de fuir. Leur lien, pourtant né de la peur et du secret, devient une force inattendue.

La dernière image les montre assis, dans un silence lourd, mais avec une solidarité retrouvée. Quoi qu’il arrive, ils affronteront la suite ensemble.