ITC – [SPOILER ÉMOTION] : Pénélope et Gaétan prêts à accueillir leur premier enfant, un bonheur enfin à portée de main
Nouveau titre amélioré :
ITC – [SPOILER ÉMOTION] : Pénélope et Gaétan prêts à accueillir leur premier enfant, un bonheur enfin à portée de main
SPOILER LONG (≈900 mots)
L’épisode à venir d’Ici tout commence marque un tournant profondément émouvant pour l’un des couples les plus attachants de l’Institut : Pénélope et Gaétan. Après une longue période marquée par les doutes, les obstacles médicaux, les hésitations et les questionnements sur leur avenir, les deux amoureux semblent enfin toucher du doigt ce qu’ils n’osaient plus espérer : la promesse d’un premier bébé. Et cette fois, leur bonheur apparaît plus solide que jamais.
Tout commence par une matinée ordinaire, du moins en apparence. Pénélope, de garde en cuisine, tente de masquer une fatigue inhabituelle. Depuis quelques jours, elle ressent des nausées qu’elle attribue d’abord au stress des évaluations. De son côté, Gaétan remarque son teint pâle et sa nervosité, mais il se garde bien de poser trop de questions : il sait que Pénélope déteste qu’on la surveille ou qu’on lui rappelle ses fragilités. Pourtant, un détail l’interpelle : elle délaisse soudain son café, ce qu’elle ne fait jamais.
À l’Institut, les élèves s’interrogent rapidement. Les amis proches, eux, comprennent que quelque chose se trame. Pénélope, nerveuse, évite le sujet. Elle s’est brûlée les ailes trop de fois, à l’issue de tentatives douloureuses et de fausses alertes qui ont marqué son couple. Elle craint d’espérer trop vite, de tomber dans les illusions. Son silence témoigne d’une peur profonde : celle que le bonheur lui échappe encore une fois.
Mais le destin, cette fois, semble avoir décidé de leur offrir un répit. En s’isolant un instant dans les vestiaires, Pénélope sort discrètement un test, acheté en secret. Elle hésite longuement, redoute l’instant de vérité. Pourtant, lorsque le résultat apparaît, ses mains tremblent. Deux traits. Sans équivoque. Pendant un instant, elle reste immobile, incapable de respirer. Elle ne pleure pas encore — son cerveau cherche d’abord à comprendre si elle peut vraiment y croire.
Gaétan, inquiet de ne pas la voir revenir, la retrouve assise contre un casier, les yeux embués. Lorsqu’elle lui tend l’objet sans un mot, il comprend immédiatement. Le silence qui suit est d’une intensité rare, presque sacrée. Lui non plus n’ose pas bouger. Peut-être par crainte que tout disparaisse si le moindre son venait briser ce moment. Puis, d’un geste lent et bouleversé, il prend la main de Pénélope et la serre contre lui. Cette fois, il ne retient plus ses émotions.
Dans les heures qui suivent, l’Institut devient le témoin discret de cette nouvelle. Les amoureux décident dans un premier temps de garder la nouvelle pour eux, par prudence, par pudeur, mais aussi pour savourer l’instant. Ils passent une partie de la journée à marcher sous les arbres du parc, à parler à voix basse, à imaginer, à rire presque timidement. Leurs peurs persistent, mais c’est la première fois depuis longtemps que l’espoir domine réellement.
Pourtant, tout n’est pas simple. Le couple doit se confronter aux réalités pratiques : comment Pénélope gérera-t-elle ses cours, ses stages, les services exigeants des cuisines ? Comment Gaétan ajustera-t-il son emploi du temps au Double A et ses responsabilités ? Et surtout, comment annoncer la nouvelle à ceux qui, par le passé, se sont inquiétés pour eux, notamment Clotilde et Antoine, souvent protecteurs mais parfois intrusifs ?
La première grande épreuve arrive lorsque Pénélope, rattrapée par les nausées, doit quitter en urgence un cours. La scène attire l’attention des élèves et des chefs. Très vite, les rumeurs se propagent. Certains imaginent un malaise dû à la fatigue, d’autres évoquent un stress accumulé. Mais une personne comprend immédiatement : Clotilde.
La cheffe Escoffier, attentive et intuitive, confronte Pénélope avec douceur mais fermeté. Face à cette bienveillance inattendue, Pénélope craque et révèle la vérité. Contre toute attente, Clotilde ne se montre ni sceptique ni intrusive : elle l’enlace presque comme une mère le ferait, la félicite avec une émotion difficile à masquer. Elle promet de lui aménager des horaires, de veiller à ce qu’elle ne mette pas son corps en danger. Ce soutien soudain libère Pénélope d’un poids énorme.
Lorsque la nouvelle atteint Antoine, celui-ci réagit avec une joie discrète mais sincère. Il sait combien ce chemin fut long pour eux, combien les épreuves les ont façonnés. Il propose même d’organiser une réunion pour prévoir les aménagements nécessaires à la poursuite du cursus de Pénélope — un geste qui la touche profondément.
Pour le couple, le moment décisif survient le soir, lorsque Gaétan organise un repas improvisé dans leur chambre. Pas un dîner gastronomique, malgré ses talents, mais un moment simple : du riz, du poulet, des légumes vapeur… et une petite bougie. Il veut marquer le tournant de leur vie, symboliser ce nouveau chapitre. En levant son verre d’eau gazeuse, Pénélope comprend que ce bonheur, elle ne doit plus en avoir peur.
Mais au-delà de la joie, l’épisode s’attarde aussi sur leurs appréhensions. Avant de se laisser gagner par l’excitation, ils évoquent les risques médicaux, la nécessité de prudence, les changements physiques, la fatigue inévitable. Et pourtant, jamais ils ne se sont montrés aussi soudés. Ils décident ensemble de protéger ce bonheur, de ne laisser personne ternir cette lueur qui commence à briller dans leur avenir.
Le teaser de fin annonce des scènes bouleversantes : une première échographie, des discussions intimes avec leurs proches, mais aussi la menace que certaines complications viennent raviver leurs peurs. Rien n’est totalement gagné — mais pour la première fois, tout semble possible.