Demain nous appartient – Semaine explosive : le commissariat de Sète sous menace imminente… Une série d’événements va tout faire basculer (résumés en avance du 1er au 5 décembre 2025)

 


Demain nous appartient – Semaine explosive : le commissariat de Sète sous menace imminente… Une série d’événements va tout faire basculer (résumés en avance du 1er au 5 décembre 2025)

La semaine qui s’ouvre à Sète s’annonce comme l’une des plus intenses de l’année. Dès les premières minutes, une tension électrique s’installe dans les rues de la ville, comme si un orage silencieux couvait, prêt à se déchaîner. Mais personne n’imagine encore que le cœur de la tempête va frapper là où personne ne s’y attend : le commissariat. Du 1er au 5 décembre 2025, la police va faire face à une menace sans précédent, qui mettra à l’épreuve la loyauté, les nerfs et le courage de chacun.

Tout commence par un événement en apparence anodin. Au petit matin, une patrouille découvre un véhicule abandonné non loin du port. Rien de particulier à première vue, jusqu’à ce que les techniciens repèrent des traces inquiétantes à l’intérieur : un mélange de résidus chimiques, des câbles brûlés et un sac déchiré. Dès cet instant, la semaine bascule. Les indices laissent penser qu’il ne s’agit pas d’un simple abandon de voiture, mais bien d’un acte préparatoire. Un avertissement ? Un test ? Ou le premier mouvement d’un plan plus large ?

Au commissariat, la nouvelle tombe comme une enclume. Martin convoque immédiatement une réunion d’urgence. Les agents sentent que quelque chose de grave est en train de se tramer. Les échanges sont rapides, tendus ; les regards se croisent, inquiets. Personne ne parvient à déterminer si cette découverte est liée à une enquête en cours ou à un danger extérieur totalement inattendu. Mais une certitude se dessine : le commissariat lui-même pourrait être visé.

La tension monte encore d’un cran lorsque, quelques heures plus tard, une alerte informatique survient en plein service. L’équipe technique signale une intrusion suspecte dans le réseau interne. Les écrans scintillent, certains dossiers se verrouillent automatiquement, d’autres deviennent inaccessibles pendant plusieurs minutes. L’incompréhension laisse place à la stupeur : quelqu’un tente de pénétrer les systèmes du commissariat… et il semble savoir exactement où frapper.

Pendant ce temps, sur le terrain, Aurore et Damien suivent la piste du véhicule abandonné. Leur enquête les mène vers un hangar isolé, où ils espèrent trouver un indice déterminant. À l’intérieur, une atmosphère glaciale règne. Les lieux semblent désertés depuis quelques heures seulement, mais des outils, des bouteilles de solvants et des plans griffonnés demeurent sur une table métallique. Très vite, les agents comprennent que ce hangar a servi de base de préparation. Et ce qu’ils y découvrent au fond d’une caisse renforce la gravité de la situation : un prototype artisanal de détonateur.

Lorsqu’ils rapportent les éléments au commissariat, l’ambiance se charge d’un poids presque suffocant. Les officiers réalisent qu’ils ne sont pas face à un acte isolé, mais probablement à la préparation d’une attaque calculée. Mais dans quel but ? Et qui se cache derrière ce plan inquiétant ?

Au fil des jours, l’étau se resserre. Un schéma semble émerger : le commissariat n’est pas seulement surveillé… il est ciblé. Plusieurs agents repèrent des silhouettes suspectes non loin du bâtiment, des drones furtifs survolant la zone aux premières heures du matin, et même un colis abandonné devant l’entrée, qui déclenche une évacuation immédiate. Les nerfs de l’équipe sont mis à rude épreuve. L’inquiétude devient palpable ; chacun sait que le moindre faux pas pourrait déclencher un drame.

Parallèlement, Chloé et Alex se retrouvent malgré eux impliqués lorsque leur fils aperçoit un individu encapuchonné rôdant près du commissariat en pleine nuit. Le témoignage de l’adolescent, bien que flou, semble correspondre à l’un des suspects repérés les jours précédents. Pour la première fois, les civils du Mistral se sentent eux aussi pris dans la spirale de cette affaire inquiétante.

Au milieu de cette agitation, un élément troublant surgit : un groupe anonyme revendique sur un message audio envoyé à la police le sabotage informatique du commissariat. Leur objectif reste obscur, mais leurs mots laissent entendre qu’ils souhaitent « faire tomber le symbole d’une institution défaillante ». Un message qui glace immédiatement les équipes. Et ce n’est qu’un début.

La gravité monte encore lorsque le laboratoire confirme que les résidus retrouvés dans la voiture et dans le hangar correspondent à des composants pouvant servir à fabriquer des charges explosives. Le danger devient soudain bien réel, concret, imminent. Les agents se préparent à tout, conscients que la prochaine attaque pourrait être la bonne.

Le point culminant de la semaine survient le jeudi soir. Alors que le commissariat se vide progressivement, un bruit sourd résonne dans le garage. Une équipe sur place découvre un dispositif suspect fixé sous un véhicule de service. L’alerte est donnée instantanément. Le bâtiment est évacué avec une précision millimétrée, mais le temps semble manquer. Les secondes défilent comme des coups de marteau. Un robot de déminage est envoyé, les rues alentour sont bouclées. Toute la ville retient son souffle.

Finalement, l’équipe spécialisée parvient à neutraliser l’engin. Ce moment marque un tournant : désormais, plus personne ne doute que le commissariat est la cible centrale d’un groupe organisé, structuré, déterminé à frapper fort.

L’épisode de fin de semaine s’achève sur un plan inquiétant : Martin observe, depuis la fenêtre désormais protégée par des volets blindés, l’obscurité extérieure, persuadé que l’ennemi n’a pas dit son dernier mot. Le spectateur comprend alors que la menace ne fait que commencer… et que les prochains épisodes risquent d’être encore plus explosifs.