Ici tout commence, le résumé en avance du lundi 1er décembre : Pénélope fait une crise cardiaque, Lionel sous le charme de Fleur

 


**🎬 Nouveau titre proposé :

Ici tout commence – Drame à l’Institut : Pénélope entre la vie et la mort, Lionel troublé par Fleur (Spoilers du 1er décembre)


Spoiler réécrit (≈900 mots)

L’épisode du 1er décembre d’Ici tout commence s’ouvre sur une atmosphère particulièrement tendue à l’Institut, où chacun semble pressentir que quelque chose de grave va se produire. Les cuisines bruissent d’une agitation inhabituelle et les élèves avancent avec une fébrilité presque palpable. Mais derrière cette effervescence professionnelle se cache un drame beaucoup plus personnel : celui qui va frapper Pénélope en plein cœur — au sens propre comme au sens figuré.

Depuis plusieurs jours, Pénélope accumule les signes de fatigue. Elle se plaint d’une douleur diffuse, d’un essoufflement qu’elle attribue au stress ou à la charge de travail. Pourtant, quelque chose cloche. Ses collègues l’observent avec inquiétude, mais elle balaie leurs remarques d’un geste de la main. Elle veut prouver qu’elle peut tenir, qu’elle ne laissera pas une faiblesse la ralentir, encore moins en pleine période d’examens et de défis culinaires. Cependant, à mesure que la matinée avance, son teint se délave et sa respiration se fait plus courte.

Pendant ce temps, l’attention se porte également sur Lionel, dont le comportement intrigue. Habituellement concentré, efficace, presque inflexible dans son travail, il semble depuis peu dérouté par la présence de Fleur, une nouvelle élève dont l’arrivée à l’Institut n’a laissé personne indifférent. Fleur possède une douceur qui contraste avec la pression ambiante, mais aussi une détermination qui, sous son calme apparent, laisse deviner un passé complexe. Et pour Lionel, cette combinaison est dévastatrice : il se sent attiré par elle d’une manière qu’il ne comprend pas encore.

La journée prend un tournant dramatique lorsqu’au beau milieu d’un atelier, Pénélope s’effondre subitement. Le bruit sourd de sa chute arrête les gestes en plein mouvement. Les élèves se figent, stupéfaits. Lorsqu’on se précipite vers elle, son visage est livide, son souffle à peine perceptible. L’angoisse monte, chaque seconde paraît interminable. Quelqu’un appelle immédiatement les secours, tandis que les autres tentent, tant bien que mal, de lui parler, de la maintenir consciente, de comprendre ce qui vient de se produire. Très vite, le diagnostic tombe : tout porte à croire qu’elle fait une crise cardiaque.

La scène est d’une violence émotionnelle rare. Certains élèves pleurent, d’autres sont paralysés. Le personnel encadre la situation du mieux possible mais l’inquiétude domine. La nouvelle se répand comme une traînée de poudre dans tout l’Institut, provoquant un malaise général. Pour beaucoup, Pénélope représente une figure discrète mais essentielle, une présence chaleureuse qui adoucit les rigueurs du quotidien culinaire. La voir dans un état aussi critique crée un véritable choc.

Alors que les secours l’emmènent, l’épisode bascule vers les répercussions de ce drame. Tout le monde se sent coupable : n’aurait-on pas dû entendre ses signaux d’alarme ? Aurait-on pu l’aider plus tôt ? Ces questions obsèdent particulièrement certains élèves qui l’avaient côtoyée de près ces derniers jours. Elles hantent également Fleur, qui observait Pénélope avec une bienveillance intuitive, et qui semble bouleversée par l’idée que quelqu’un puisse souffrir en silence jusqu’à s’effondrer.

Cette proximité émotionnelle entre Fleur et les événements affecte profondément Lionel, déjà troublé par les sentiments naissants qu’il tente de cacher. À plusieurs reprises, il surprend ses pensées glisser vers elle, même dans les moments les plus tendus. Lorsqu’il la voit, les yeux humides, tremblante devant l’ambulance qui s’éloigne, quelque chose se fissure en lui. Sa volonté de rester rationnel s’effondre. Il voudrait la réconforter, lui parler, calmer les tremblements dans ses mains. Mais il n’ose pas — ou plutôt, il ne se fait pas confiance. Fleur réveille en lui une sensibilité qu’il croyait enfouie, une vulnérabilité qu’il redoute autant qu’il désire.

Pendant ce temps, Fleur semble se débattre avec ses propres émotions. Elle reste en retrait, observe les autres, tend un mouchoir, murmure quelques mots réconfortants. Mais elle porte aussi, en silence, un trouble plus personnel. On la voit hésiter en prenant son téléphone, comme si elle voulait appeler quelqu’un, avant de renoncer au dernier moment. Ce geste, furtif, sème un mystère qui s’ajoute à l’attraction qu’elle exerce sur Lionel.

À mesure que les heures passent, les élèves tentent de reprendre le cours normal des activités, mais le cœur n’y est plus. Le choc de l’accident de Pénélope plane encore dans toutes les salles. Et c’est dans ce contexte fragile, presque suspendu, que Lionel finit par admettre pour lui-même ce qu’il ressent : Fleur l’attire, profondément, irrémédiablement. Ce n’est pas un simple coup de cœur, ni une admiration passagère. C’est quelque chose de plus fort, de plus sérieux, de plus risqué.

Dans une scène intimiste, Lionel se confie à un camarade de confiance. Il parle à demi-mots, mais l’essentiel est clair : Fleur s’est frayé un chemin dans son esprit, malgré tous ses efforts pour se concentrer sur autre chose. Cette révélation ne surprend pas son interlocuteur, qui avait déjà remarqué la manière dont Lionel se transformait en présence de Fleur. Mais loin de l’encourager, il l’avertit : Fleur cache peut-être des choses, et l’Institut n’est pas un terrain neutre pour ce genre d’attachements.

L’épisode atteint son climax lorsque Lionel croise enfin Fleur dans un couloir désert. Elle est pâle, encore secouée par l’accident de Pénélope. Il hésite, puis ose l’approcher. Leur échange est court, chargé d’émotion, presque électrique. Elle le remercie pour son soutien malgré tout, lui dit qu’elle voit bien qu’il se fait du souci pour elle. Mais elle lui demande aussi d’être prudent, sans expliquer pourquoi. Cette phrase, énigmatique, laisse Lionel perturbé et curieux.

La fin de l’épisode se ferme sur un double suspense : d’un côté, le sort de Pénélope, dont l’état reste incertain ; de l’autre, cette attraction dangereuse entre Lionel et Fleur, qui semble destinée à tout bouleverser dans les prochains épisodes. Les regards qu’ils échangent en disent plus long que des mots : quelque chose est en train de naître, quelque chose que ni l’un ni l’autre n’est prêt à affronter… mais qui risque bien de devenir impossible à ignorer.