Plus belle la vie : Idriss retrouve Charles Duvivier inerte au sol… On connait la vérité,

 

L’épisode s’ouvre dans une ambiance lourde, presque étouffante, comme si quelque chose d’inévitable s’apprêtait à frapper le Mistral. Depuis plusieurs jours, des tensions sous-jacentes agitent discrètement le quartier, et bien que personne n’ose le dire à voix haute, chacun sent qu’un drame se prépare. C’est dans ce contexte déjà tendu qu’Idriss va faire une découverte qui va changer le cours de l’histoire : Charles Duvivier, allongé au sol, inconscient, comme frappé par une main invisible.

Tout commence par une simple visite. Idriss, préoccupé par le comportement étrange de Charles ces derniers temps, décide de passer le voir pour s’assurer que tout va bien. Depuis qu’il a appris certaines rumeurs concernant les activités suspectes de Charles, il s’inquiète pour lui. Même si leur relation n’a jamais été réellement simple, il existe entre eux un mélange de respect et de méfiance qui n’empêche pas une forme d’attachement. En se rendant chez lui, Idriss s’attend à le trouver en train de rouspéter, comme à son habitude, ou de fouiller dans des dossiers mystérieux. Mais il ne s’attend certainement pas à ce qu’il va découvrir.

La porte entrouverte est le premier signe que quelque chose cloche. Charles n’est pas du genre à oublier de verrouiller son domicile, surtout ces derniers jours où il semblait sur la défensive, presque paranoïaque. Idriss appelle son nom, une fois, deux fois, sans réponse. Son cœur se met à battre plus vite. Il pousse la porte, avance prudemment, et c’est là que le choc frappe : Charles, étendu sur le sol, immobile, le visage livide, comme si toute vie avait quitté son corps.

Idriss se précipite, tente de le réveiller, lui parle, vérifie son pouls. Son souffle s’accélère tandis qu’il réalise que la situation est grave, peut-être critique. Mais il distingue quelques signes faibles : Charles est vivant, mais quelque chose de violent lui est arrivé. Une chute ? Une agression ? Un malaise ? Les questions se bousculent sans réponses.

Il appelle immédiatement les secours, sa voix tremblante trahissant son inquiétude. Puis, en attendant leur arrivée, il observe la pièce. Une chaise renversée. Un verre brisé au sol. Un dossier entrouvert. Rien n’indique un simple accident. Tout semble au contraire suggérer qu’une confrontation a eu lieu, ou qu’un secret lourd, trop lourd, a fini par submerger Charles.

Lorsque les secours arrivent, ils prennent le relais avec une efficacité glaciale, laissant Idriss à ses interrogations. Il les accompagne jusqu’à l’ambulance, le regard perdu, presque hanté. Ce qu’il vient de voir ne l’a pas seulement choqué : cela lui donne l’impression d’être au cœur d’une affaire bien plus sombre qu’on ne l’imagine.

Rapidement, la nouvelle se répand au Mistral. L’effondrement de Charles Duvivier provoque une onde de choc. Certains s’inquiètent sincèrement, d’autres chuchotent déjà sur les causes possibles, tandis que quelques voix plus malveillantes insinuent qu’un homme comme lui ne pouvait qu’attirer des ennuis. Mais la vérité, elle, reste enfouie dans les minutes précédant l’incident, minutes auxquelles Idriss n’a pas assisté mais qu’il est maintenant bien décidé à comprendre.

À l’hôpital, le diagnostic tombe : Charles a subi un violent choc émotionnel, mêlé à un stress extrême, entraînant un malaise brutal. Pas d’AVC, pas de traumatisme physique apparent… mais quelque chose a clairement provoqué cet effondrement. Les médecins parlent d’un « déclencheur », mais ils ignorent lequel.

Idriss, lui, se souvient du verre cassé et du dossier ouvert. Il décide de retourner sur place. En fouillant, il découvre des documents préoccupants : des relevés bancaires étranges, des échanges cryptés et surtout, des notes manuscrites où Charles semblait paniqué à l’idée d’être « démasqué ». On comprend que Charles vivait sous pression, peut-être impliqué dans quelque chose qu’il n’arrivait plus à contrôler.

Mais ce n’est pas tout. Idriss trouve aussi un objet surprenant : une lettre non ouverte, visiblement récente, portant un nom que Charles avait rayé sur plusieurs lignes. Un nom qui, en apparence insignifiant, semble pourtant déclencher toutes les alarmes chez Idriss. On devine qu’il s’agit de la pièce manquante du puzzle.

Pendant ce temps, au Mistral, plusieurs habitants commencent à se demander si quelqu’un aurait pu vouloir nuire à Charles. Les suspicions se multiplient. Certains prétendent l’avoir vu se disputer violemment quelques jours plus tôt. D’autres évoquent ses mystérieux allers-retours. Tout le monde parle, personne n’a de preuve.

Idriss, cependant, est de plus en plus convaincu que Charles a été manipulé, poussé dans ses retranchements ou menacé. L’effondrement n’est pas seulement la conséquence d’une crise personnelle, mais le résultat direct d’une pression extérieure. Mais qui aurait intérêt à voir Charles tomber ? Et pourquoi maintenant ?

Lors de sa première visite à l’hôpital après le drame, Idriss remarque que Charles, encore faible et conscient par intermittences, répète un mot, toujours le même : « Dossier ». Un mot simple, mais lourd de sens. Idriss comprend immédiatement que ce dossier ouvert avant son malaise n’est pas un hasard. Il renferme la vérité que Charles a tenté de protéger ou de révéler.

L’épisode se termine sur un moment de tension absolue : Idriss, dossier dans les mains, hésite à l’ouvrir. Il sait qu’une fois la vérité révélée, rien ne sera plus jamais comme avant. Derrière la chute de Charles se cache un secret capable de bouleverser le Mistral tout entier.

Et alors qu’il relève enfin la tête, prêt à prendre une décision, un message s’affiche sur son téléphone :
« Tu étais chez Charles. On doit parler. Maintenant. »

De qui vient ce message ? Et surtout… que sait cette personne ?