Ici Tout Commence — Spoiler : Anaïs découvre un piège inquiétant, Pénélope flanche, et Ninon devient la suspecte idéale… qui manipule vraiment l’Institut ?

 


🎬 Ici Tout Commence — Spoiler : Anaïs découvre un piège inquiétant, Pénélope flanche, et Ninon devient la suspecte idéale… qui manipule vraiment l’Institut ?

Dans ce nouvel épisode haletant centré sur Anaïs, les murs de l’Institut se referment sur une ambiance lourde, presque paranoïaque. Derrière la façade élégante du prestigieux établissement culinaire, une affaire minuscule en apparence — la disparition d’une simple carte de photocopie — révèle peu à peu un climat de tensions, de doutes et de manipulations qui menace de faire éclater plusieurs amitiés. L’épisode 1325, diffusé le 11 décembre 2025, plonge les spectateurs dans un labyrinthe de soupçons où chacun peut devenir un coupable potentiel.

Tout commence lorsque Pénélope découvre, médusée, que sa carte de photocopie a disparu. Elle fouille son sac, inspecte son casier, retourne sa poche intérieure, mais rien à faire : la carte s’est volatilisée. Pour beaucoup, ce ne serait qu’un incident banal, une maladresse, un oubli. Mais pour Pénélope, qui connaît parfaitement son organisation et ses habitudes du quotidien, l’idée d’avoir “juste perdu” l’objet est impossible. L’outil est indispensable à son travail et aux photocopies qu’elle doit rendre pour son prochain atelier. Le malaise s’installe très vite : on n’est plus dans l’erreur, mais dans l’incompréhensible.

L’inquiétude grimpe d’un cran lorsqu’elle réalise que la carte n’a pas pu disparaître par hasard. Quelqu’un l’a forcément prise. Mais qui ? Et surtout : pourquoi ? Elle n’a blessé personne, n’a eu aucun conflit récemment. Ce mystère la plonge dans une atmosphère oppressante, où chaque regard – même innocent – semble devenir une menace potentielle.

Billie, qui observe la scène de loin, s’approche aussitôt. Elle a l’air plus nerveuse que Pénélope, comme si toute l’affaire réveillait quelque chose de plus profond chez elle. Très vite, elle avance une hypothèse : Ninon. À ses yeux, Ninon pourrait très bien être derrière cette manœuvre. Les tensions récentes entre elles n’ont échappé à personne, et Billie s’est convaincue que Ninon, agacée ou vexée, aurait pu choisir ce moment pour lui mettre des bâtons dans les roues. Ce n’est pas tant l’objet qui compte que l’intention : déstabiliser, provoquer, nuire.

Elle expose ses doutes à Pénélope avec une intensité qui surprend la jeune femme. Billie parle vite, enchaîne les arguments, mentionne des comportements “étranges” de Ninon la veille, et affirme qu’elle avait vu cette dernière rôder autour du casier de Pénélope, sans raison claire. Elle insiste : Ninon est parfaitement capable de ce genre de coups. Peut-être pour se venger, peut-être pour prouver quelque chose, ou simplement pour s’amuser aux dépens d’une camarade un peu trop gentille.

Mais Pénélope refuse de suivre cette piste. À ses yeux, Ninon, malgré ses maladresses et son tempérament parfois imprévisible, n’a rien d’une manipulatrice prête à saboter le parcours académique d’un autre élève. Elle ne peut pas croire que Ninon irait aussi loin. Trop risqué, trop mesquin, trop destructeur. Elle connaît Ninon depuis longtemps, elle a partagé des heures de cours avec elle, des secrets, des confidences. Pour Pénélope, rien dans son comportement ne justifie une telle accusation.

Ce désaccord marque le début d’un lent glissement de terrain. Billie insiste, Pénélope résiste. L’amitié vacille. Les certitudes s’effritent. Et au cœur de ce dilemme, Anaïs, témoin silencieuse, observe et analyse.

Car si l’épisode porte le nom d’Anaïs, c’est parce que c’est elle qui relie, sans le savoir, toutes les pièces de ce puzzle. Elle devient le miroir émotionnel de l’épisode, celle qui perçoit ce que les autres ne voient pas. Elle remarque que Pénélope, bien qu’elle tente d’afficher un masque de calme, est profondément bouleversée. Elle note aussi que Billie n’est pas simplement inquiète pour son amie : elle semble chercher à orienter la suspicion. Pourquoi ? Pour protéger Pénélope ? Ou pour régler un compte personnel avec Ninon ?

Plus l’épisode avance, plus l’atmosphère devient pesante. L’enquête improvisée autour de la carte prend de l’ampleur. Certains élèves chuchotent dans les couloirs, d’autres imaginent déjà un scandale. D’autres encore colportent la rumeur, comme si elle nourrissait leur journée. L’Institut, habituellement animé par les odeurs de cuisine et les échos des fourneaux, devient presque un terrain d’espionnage où chaque geste est observé, analysé, interprété à outrance.

Pénélope, de son côté, tente de rester rationnelle. Elle explore toutes les possibilités : a-t-elle prêté sa carte ? L’a-t-elle laissée traîner quelque part ? Mais très vite, elle comprend que rien ne tient. La disparition n’est pas accidentelle. Et plus elle réfléchit, plus elle se heurte à la même question : si Ninon n’est pas responsable… alors qui ?

Anaïs, fidèle à elle-même, joue une carte différente : l’écoute. Elle se concentre sur les détails, sur les mots entre les mots. Elle ne cherche pas un coupable, mais la logique derrière ce geste. Et elle réalise quelque chose que les deux autres n’ont pas envisagé : et si ce vol n’était qu’un premier acte ? et si, derrière cette disparition, se cachait un plan plus large, un piège destiné à faire tomber Pénélope ou quelqu’un de son entourage ?

Cette idée, discrète mais glaçante, commence à prendre racine. Le vol n’est peut-être pas un acte isolé. Peut-être est-il le premier engrenage d’une mécanique plus sombre. Un sabotage. Une manipulation. Une vengeance. Un avertissement.

Le suspense s’installe. Les alliances se fissurent. La confiance s’effondre.

Et Ninon, au centre de toutes les suppositions, ignore totalement qu’elle est devenue la cible d’un soupçon qui pourrait briser sa réputation… ou révéler une vérité encore plus déstabilisante.

Dans cette atmosphère empoisonnée, un dernier plan clôt l’épisode : quelqu’un, hors champ, glisse une carte dans une poche… mais on ne voit ni son visage, ni son identité.

Le mystère s’épaissit. Le piège se referme.

Et une certitude s’impose : ce vol n’est que le début.