Un si grand soleil du 12 décembre 2025 : Dimitri à deux doigts du drame ! (épisode en avance)
L’épisode du 12 décembre 2025 d’Un Si Grand Soleil s’ouvre sur une atmosphère lourde, presque étouffante, comme si quelque chose de grave planait déjà sur Montpellier. Dimitri, fatigué, nerveux et rongé par l’angoisse, tente tant bien que mal de reprendre le contrôle de sa vie. Depuis plusieurs jours, il sent le sol se dérober sous ses pieds : mensonges accumulés, mauvaise décision, silence trop long… tout se resserre autour de lui, comme un piège qu’il n’a pas vu venir. Et ce soir-là, il suffirait d’un souffle, d’un regard de travers, pour que tout bascule.
La journée commence pourtant calmement. Dimitri essaie de se convaincre qu’il peut encore éviter le drame qui le guette. Il refait mentalement chaque étape des derniers événements, cherchant une faille, un moyen d’inverser la tendance. Mais le téléphone qu’il redoute tant finit par vibrer. Le message est bref, presque froid : un rendez-vous imposé. Cela ne lui laisse aucune marge de négociation. Il comprend que la situation est devenue urgente, incontrôlable. Son visage se ferme, son souffle se fait court. Ce qu’il craignait depuis des semaines est en train d’arriver.
Pendant ce temps, à l’autre bout de la ville, ses proches sentent que quelque chose cloche. Élodie remarque que Dimitri s’est isolé, qu’il n’est plus lui-même. Bee, qui n’a jamais été dupe de ses failles, commence à s’inquiéter franchement. Même les collègues, qui d’habitude n’osent pas commenter ses absences ou ses sautes d’humeur, murmurent dans les couloirs. Le malaise est là, palpable. Personne ne connaît vraiment les détails, mais tout le monde comprend que Dimitri est au bord d’un gouffre.
Au fil de la matinée, Dimitri tente de préparer une défense, un discours, quelque chose qui pourrait l’aider. Mais il sait très bien que rien de tout cela ne suffira. Ce qu’on va lui demander, ce qu’on attend de lui, dépasse largement ce qu’il est prêt à assumer. Sa culpabilité l’étouffe, ses mains tremblent lorsqu’il se regarde dans le miroir. Il aperçoit son propre reflet — les traits tirés, les yeux cernés — et comprend qu’il n’est plus que l’ombre de lui-même.
L’épisode bascule lorsqu’il se rend finalement à son rendez-vous. Une maison isolée, une ambiance tendue, presque menaçante. Il se retrouve face à celui qu’il redoutait le plus : un individu calme, méthodique, qui semble en savoir plus que Dimitri ne l’imaginait. La conversation commence doucement, presque cordialement, avant de prendre rapidement une tournure tranchante. On lui reproche ses manquements, ses hésitations, ses mensonges. On lui rappelle tout ce qu’il a tenté de dissimuler. Et surtout, on lui explique que maintenant, il n’a plus le choix : il doit agir, et cette fois sans trembler.
Le pire, c’est que Dimitri comprend que cette menace n’est pas qu’un discours. Derrière chaque mot, il sent la pression, le danger. Il imagine déjà les conséquences s’il refuse. Son cœur tambourine, sa respiration s’emballe. Il tente de négocier, de gagner du temps, mais il est dépassé. L’homme en face de lui l’écoute, impassible, avant de lâcher une dernière phrase qui glace Dimitri : « Si tu ne le fais pas, quelqu’un d’autre le fera… et ce sera bien pire. »

Au même moment, une autre intrigue se tisse autour de lui. Un témoin inattendu a aperçu Dimitri sortir de l’endroit où il n’aurait jamais dû se trouver quelques jours auparavant. Une information qui circule maintenant dans l’ombre, de personne en personne, jusqu’à atteindre quelqu’un qui connaît Dimitri suffisamment pour se poser des questions. Cette personne rassemble les indices, interroge discrètement, fouille dans les détails que tout le monde ignore. Une vérité est sur le point d’éclater, et elle risque d’entraîner tout le monde avec elle.
L’après-midi, Dimitri rentre chez lui, brisé. Il sait qu’il doit accomplir quelque chose qu’il n’aurait jamais imaginé : mettre en danger quelqu’un d’innocent pour sauver sa propre peau. Il hésite, marche en rond dans son appartement, tente de se convaincre qu’il existe une alternative. Mais la menace plane toujours, violente, silencieuse. Son téléphone sonne encore, un « rappel » pour lui faire comprendre que le temps file. La panique le submerge. Il commence à prendre des décisions irrationnelles.
Le soir tombe et Dimitri se rend sur les lieux où il doit exécuter ce qu’on lui a imposé. La scène est sombre, presque irréelle. Il observe la personne qu’il doit piéger. Ses mains tremblent. Il n’arrive pas à avancer. Sa conscience lui hurle d’arrêter, mais la peur lui cloue les pieds au sol. Il ferme les yeux, respire, essaie de se convaincre qu’il ne fait que suivre un ordre, qu’il n’a pas le choix. Mais au moment où il s’apprête à passer à l’acte, un événement inattendu bouleverse tout : quelqu’un arrive sur place.
Un témoin. Un imprévu. Un danger supplémentaire.
Dimitri panique complètement. Il comprend que sa vie est sur le point de basculer pour de bon. Soit il commet l’irréparable, soit il renonce et s’expose à des représailles terrifiantes. Son visage est déformé par la peur, ses yeux sont sur le point de se remplir de larmes. Il approche, hésite, recule, avance de nouveau. Une scène d’une tension insoutenable.
L’épisode se clôture sur un plan serré du visage de Dimitri, figé, livide, tandis qu’un cri retentit dans la nuit. On ne sait pas ce qu’il a fait. On ne sait pas si quelqu’un est blessé. On ne sait pas s’il s’est évadé ou au contraire s’il s’est effondré. Le mystère est total. Mais une chose est sûre : Dimitri vient de franchir une limite… ou de la frôler de très, très près.
Un cliffhanger d’une intensité rare, qui promet des conséquences explosives dans les prochains épisodes.