đŸ˜źđŸ”„ Boher et Ulysse Kepler, l’affrontement de trop : Patrick intervient – Plus belle la vie 9 octobre 2025 (Ă©pisode 438 – rĂ©sumĂ© complet PBLV) đŸ˜Č Selon vous, Patrick a-t-il pris la bonne dĂ©cision ?

đŸ˜źđŸ”„ Boher et Ulysse Kepler, l’affrontement de trop : Patrick intervient – Plus belle la vie 9 octobre 2025 (Ă©pisode 438 – rĂ©sumĂ© complet PBLV) đŸ˜Č Selon vous, Patrick a-t-il pris la bonne dĂ©cision ?

L’épisode de ce mercredi 9 octobre 2025 s’annonce explosif dans Plus belle la vie, encore plus belle. Ce soir, les tensions atteignent un niveau jamais vu entre Jean-Paul Boher et Ulysse Kepler. Depuis des semaines, les deux hommes s’affrontent Ă  mots couverts, entre rancunes personnelles, divergences professionnelles et blessures du passĂ©. Mais cette fois, la situation dĂ©gĂ©nĂšre. Dans une atmosphĂšre dĂ©jĂ  alourdie par les rĂ©cents drames du Mistral, l’affrontement entre Boher et Ulysse prend des proportions inattendues
 jusqu’à forcer Patrick Nebout Ă  intervenir pour Ă©viter le pire.

Tout commence au commissariat, oĂč une nouvelle affaire ravive les vieilles tensions. Boher, convaincu qu’Ulysse cache encore des Ă©lĂ©ments du dossier sur l’incendie du port, dĂ©cide de le confronter directement. Les deux hommes ont dĂ©jĂ  eu plusieurs Ă©changes houleux, mais cette fois, les nerfs lĂąchent. Ulysse, excĂ©dĂ© par les insinuations de Boher, rĂ©plique avec une froideur qui glace l’équipe. Il accuse son supĂ©rieur d’agir sous l’emprise de la jalousie et de perdre toute objectivitĂ©. Une phrase de trop qui allume la mĂšche.

Boher, blessĂ© dans son orgueil, rĂ©agit violemment. La tension monte, les voix s’élĂšvent, et bientĂŽt, le commissariat tout entier assiste, impuissant, Ă  une scĂšne surrĂ©aliste : deux hommes de loi prĂȘts Ă  en venir aux mains. Patrick Nebout, tĂ©moin de la dispute, comprend que la situation lui Ă©chappe. Il tente d’apaiser le jeu, mais les Ă©motions sont Ă  vif. Boher reproche Ă  Ulysse de manipuler tout le monde pour sauver sa peau, tandis qu’Ulysse, lui, dĂ©nonce les mĂ©thodes « d’un autre temps » de son collĂšgue. Le ton monte encore.

Pendant ce temps, Ariane observe la scĂšne avec inquiĂ©tude. Elle connaĂźt Boher mieux que quiconque et voit bien qu’il traverse une pĂ©riode fragile. Depuis la rĂ©ouverture du dossier sur la mort d’un ancien collĂšgue, Jean-Paul n’est plus tout Ă  fait lui-mĂȘme. Ses nuits sont courtes, son regard plus sombre. Ariane tente d’intervenir, mais Patrick la retient. Il veut gĂ©rer la situation lui-mĂȘme, en capitaine expĂ©rimentĂ©. Cependant, ce qu’il ne sait pas, c’est qu’Ulysse a dĂ©jĂ  prĂ©vu son coup. Enregistrant discrĂštement la conversation, il compte bien retourner la situation Ă  son avantage si les choses tournent mal.

Et elles tournent trĂšs mal. Boher, Ă  bout, finit par pousser Ulysse contre un bureau. Un silence de plomb s’abat sur la piĂšce. Ariane s’interpose immĂ©diatement, tandis que Patrick hausse le ton. D’un geste ferme, il ordonne Ă  tout le monde de sortir, avant de demander Ă  Boher et Ulysse de rester seuls avec lui. Ce moment de face-Ă -face entre les trois hommes est d’une intensitĂ© rare. Patrick, le regard grave, tente de ramener la raison : « On est flics, pas des gamins dans une cour de rĂ©crĂ©. » Mais Boher ne dĂ©colĂšre pas. Il accuse Patrick de le trahir en protĂ©geant Ulysse, qu’il considĂšre dĂ©sormais comme un ennemi.

Patrick, pris dans un dilemme, comprend que sa dĂ©cision aura des consĂ©quences lourdes. Il choisit de suspendre Boher temporairement, le temps de calmer les esprits. Une dĂ©cision qui divise le commissariat. Ariane la vit comme une trahison, tandis qu’Ulysse savoure une victoire amĂšre. Car malgrĂ© sa satisfaction apparente, il sait que Boher a raison sur un point : le dossier du port cache bien des zones d’ombre.

Au Mistral, la nouvelle de la suspension de Boher fait grand bruit. LĂ©a, effondrĂ©e, tente de lui parler, mais il refuse tout contact. L’ancien policier, dĂ©sormais isolĂ©, erre dans les rues du quartier, rongĂ© par la colĂšre et le doute. Une scĂšne poignante montre Boher seul, assis sur un banc, regardant une photo de sa fille. On comprend alors que ce conflit avec Ulysse dĂ©passe le simple cadre professionnel : il touche Ă  son intĂ©gritĂ©, Ă  son identitĂ© mĂȘme.

Pendant ce temps, Ulysse se rapproche de Thomas et de Barbara, cherchant Ă  se racheter une image. Il tente de leur expliquer qu’il n’a jamais voulu provoquer Boher, mais son attitude trouble continue de semer le doute. Barbara, lucide, sent qu’il cache encore quelque chose. Dans un dialogue plein de sous-entendus, elle lui lance : « Tu veux qu’on croie que t’es la victime, mais t’as toujours une longueur d’avance sur tout le monde. » Ulysse esquisse un sourire, sans rĂ©pondre.

De son cĂŽtĂ©, Patrick doit faire face Ă  ses propres dĂ©mons. En prenant la dĂ©cision de sanctionner Boher, il a peut-ĂȘtre franchi une ligne. Le commissaire sait qu’il vient de briser une amitiĂ© de vingt ans. Il confie Ă  Babeth son dĂ©sarroi : « J’ai fait ce que je devais faire, pas ce que je voulais. » Une phrase lourde de sens qui illustre tout le poids de sa fonction. Babeth, toujours aussi clairvoyante, lui rĂ©pond : « Parfois, protĂ©ger les autres, c’est aussi les Ă©loigner un moment. » Mais Patrick n’est pas convaincu.

Dans les jours qui suivent, les rĂ©percussions de cette dĂ©cision se font sentir. L’équipe du commissariat se divise : certains soutiennent Patrick, d’autres pensent qu’il aurait dĂ» couvrir Boher, au moins le temps que la vĂ©ritĂ© Ă©clate. Ariane, de son cĂŽtĂ©, dĂ©cide d’agir en secret. PersuadĂ©e que Boher est victime d’une manipulation, elle fouille les dossiers et dĂ©couvre un Ă©lĂ©ment troublant : une conversation enregistrĂ©e entre Ulysse et un homme non identifiĂ©, la veille de l’incendie du port.

La tension remonte d’un cran. Ariane confronte Patrick avec ces nouveaux Ă©lĂ©ments. Ce dernier rĂ©alise alors que son choix pourrait avoir Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ©. A-t-il suspendu le mauvais homme ? Le doute s’installe. Patrick dĂ©cide de rouvrir discrĂštement l’enquĂȘte, sans prĂ©venir Ulysse.

Le final de l’épisode est digne d’un thriller. Dans une ruelle du Mistral, Ulysse reçoit un appel mystĂ©rieux : « Le plan a marchĂ©, Boher est Ă©cartĂ©. Maintenant, il ne reste plus qu’à s’occuper de Nebout. » Un sourire glacial se dessine sur son visage. Le spectateur comprend alors que tout ce qui s’est jouĂ© n’était qu’une premiĂšre Ă©tape d’une manipulation bien plus vaste.

Dans les derniĂšres secondes, Boher, dĂ©sormais en civil, aperçoit Ulysse de loin. Il se jure de faire Ă©clater la vĂ©ritĂ©, mĂȘme s’il doit tout perdre. Pendant ce temps, Patrick, seul dans son bureau, regarde par la fenĂȘtre, visiblement hantĂ© par ses propres dĂ©cisions. Entre devoir, loyautĂ© et vĂ©ritĂ©, la ligne devient de plus en plus floue.