😱 [USGS Résumé] Becker tient enfin Lavergne ! Élise panique, Yann agit ! La fin approche… | Épisode 1772 FR3

Le compte à rebours est lancé à Montpellier. Dans Un si grand soleil, la traque de Lavergne atteint enfin son apogée. Après des semaines de tension, de manipulations et de faux-semblants, Becker et son équipe semblent enfin tenir le fugitif qui a fait basculer tant de vies. Mais cette victoire apparente pourrait bien se transformer en cauchemar. Élise, au bord de la panique, commet une erreur fatale, tandis que Yann, poussé par l’instinct et la colère, prend une décision qui changera tout. L’épisode 1772 marque une étape charnière : les masques tombent, les alliances se fissurent, et la fin de ce chapitre brûlant se profile avec une intensité rare.

Tout commence dans une atmosphère électrique. Becker, épuisé mais plus déterminé que jamais, tient enfin un indice concret : un témoin anonyme affirme avoir aperçu Lavergne à la périphérie de Montpellier. Après des semaines de fausses pistes, la cellule d’enquête reprend espoir. Le commissaire rassemble ses troupes, prêt à frapper fort. « Cette fois, on le tient », lâche-t-il d’une voix ferme. Autour de lui, les visages sont tendus : personne ne veut rater cette occasion. Mais derrière la satisfaction apparente se cache une inquiétude croissante — Becker sait que Lavergne est dangereux, imprévisible, et qu’il a toujours un coup d’avance.

Pendant que le piège se met en place, Élise est rattrapée par ses démons. Son implication dans l’affaire, qu’elle croyait secrète, menace d’être révélée. Depuis plusieurs jours, elle vit dans la peur que son mensonge éclate au grand jour. Une erreur d’appréciation, un silence mal interprété… et tout peut voler en éclats. Ses nuits sont hantées par des cauchemars : elle revoit sans cesse la scène du crime, les regards accusateurs, le sang. Le moindre appel téléphonique la fait sursauter. Son entourage sent qu’elle cache quelque chose, mais personne ne mesure l’ampleur de sa détresse.

Yann, de son côté, refuse de rester en retrait. Obsédé par l’idée de rendre justice, il se lance dans une enquête parallèle, hors des règles. Ce comportement inquiète Manu, qui le met en garde : « Si tu franchis la ligne, tu ne pourras plus revenir en arrière. » Mais Yann n’écoute plus personne. Son instinct lui dit que Lavergne se cache parmi eux, protégé par quelqu’un d’inattendu. Déterminé à aller jusqu’au bout, il prend des risques considérables, quitte à compromettre la mission de Becker.

Les heures qui suivent sont haletantes. Une opération est lancée à l’aube, dans une zone industrielle abandonnée. Becker dirige ses hommes avec précision, mais une erreur logistique met tout en péril. Élise, paniquée, fait un choix désastreux : au lieu de suivre les ordres, elle prend l’initiative d’intervenir seule, persuadée qu’elle peut sauver la situation. Cette impulsion, née de la peur, tourne à la catastrophe. Une fusillade éclate. Des cris, des coups de feu, puis le silence. Quand la poussière retombe, Becker découvre que Lavergne a encore réussi à s’échapper… et qu’un de ses agents est grièvement blessé.

La colère du commissaire est terrible. Pour lui, c’est une humiliation de trop. Il comprend que quelqu’un dans son équipe a parlé, qu’une fuite a permis à Lavergne d’éviter le piège. Tous les regards se tournent vers Élise, dont le comportement incohérent attire les soupçons. Sous pression, elle tente de se justifier, mais ses explications sonnent faux. Yann, qui a toujours eu une certaine complicité avec elle, commence lui aussi à douter. Leur relation professionnelle, déjà fragile, se fissure.

Pendant ce temps, Lavergne poursuit son jeu d’ombre. Il contacte un complice et prépare un dernier coup avant de disparaître. Son objectif n’est plus de fuir, mais de faire payer ceux qui l’ont trahi. Sa vengeance vise directement Becker, et il sait exactement comment l’atteindre : en s’en prenant à sa famille. L’épisode prend alors une tournure dramatique. Cécile, ignorant tout du danger, reçoit un colis suspect. À l’intérieur, une photo d’Achille et une lettre signée d’un simple « L. ». Le message est clair : le cauchemar n’est pas terminé.

Becker, en découvrant la menace, perd son sang-froid. Il ordonne une surveillance renforcée et jure de neutraliser Lavergne coûte que coûte. Mais son obsession inquiète ses proches. Même Manu, fidèle entre les fidèles, commence à craindre que Becker ne franchisse la ligne rouge. « Tu veux l’arrêter, mais à quel prix ? », lui lance-t-il dans une scène tendue.

Pendant ce temps, Élise s’effondre. Rongée par la culpabilité, elle finit par tout avouer à Yann : elle a commis une faute grave lors d’une précédente mission, et Lavergne s’en est servi pour la faire chanter. Sa panique, sa confusion, tout s’explique enfin. Yann, partagé entre colère et compassion, comprend qu’elle est devenue une victime du même manipulateur qu’ils traquent. Ensemble, ils décident d’agir sans prévenir Becker, espérant réparer leurs erreurs avant qu’il ne soit trop tard.

La fin de l’épisode est un crescendo dramatique. Becker reçoit enfin un appel crucial : Lavergne a été repéré près du port de Sète. Tous les effectifs sont mobilisés pour l’arrestation. Une course-poursuite s’engage dans la nuit, filmée comme un véritable thriller. Entre les containers et les quais déserts, les lampes torches balayent l’obscurité. Puis, un coup de feu retentit. Becker s’arrête, le souffle court. Devant lui, Lavergne gît au sol, blessé. Mais avant d’être arrêté, il prononce une phrase énigmatique : « Tu crois avoir gagné, Becker… mais tu ne sais rien. »

Ces mots résonnent comme une menace. Et pour cause : au commissariat, Manu découvre un document dans le dossier de l’enquête, dissimulé depuis des semaines. Ce fichier prouve qu’un haut responsable a couvert Lavergne dès le départ. Becker réalise alors qu’il a peut-être combattu le mauvais ennemi.

La dernière scène, d’une intensité saisissante, montre Élise quittant le commissariat, bouleversée. Yann la rattrape, lui promettant de la protéger. Mais à ce moment précis, un véhicule noir s’arrête brusquement devant eux. La portière s’ouvre… et un homme masqué descend. L’écran devient noir.

👉 Un si grand soleil atteint ici un sommet de tension. Entre la chute de Lavergne, les mensonges d’Élise et la rage de Becker, l’épisode 1772 annonce une fin de cycle explosive. Rien ne sera plus comme avant à Montpellier : les alliances vont se briser, et la vérité, enfin, va tout emporter sur son passage.