Spoiler USGS 1772 (la dernière partie) : Lavergne capturé, Élise au bord du gouffre, Yann entre en scène… Le verdict approche !

Spoiler USGS 1772 (la dernière partie) : Lavergne capturé, Élise au bord du gouffre, Yann entre en scène… Le verdict approche !

L’épisode final de cette intrigue explosive marque un tournant décisif dans “Un si grand soleil”. Après des semaines de tension, de mensonges et de manipulations, tout s’accélère : la vérité éclate, les masques tombent, et les destins se brisent les uns après les autres. Lavergne, qui croyait pouvoir échapper à la justice, voit son empire s’effondrer sous ses yeux. Sa capture, fruit d’un plan minutieusement orchestré par Manu et Becker, ne se déroule pas sans heurts. L’homme, acculé, tente une ultime fuite, mais le piège se referme sur lui. L’arrestation est violente, tendue, presque irréelle. Dans ses yeux, on lit encore la rage et l’orgueil d’un manipulateur persuadé d’avoir toujours un coup d’avance. Mais cette fois, c’est terminé : les preuves sont accablantes, et ses alliés se sont retournés contre lui.

Pour Élise, en revanche, c’est la descente aux enfers. Ce qu’elle a vécu ces derniers jours l’a brisée. Déchirée entre la culpabilité et la peur, elle voit son monde s’effondrer. La vérité qu’elle redoutait tant finit par éclater, et son rôle dans toute cette affaire est désormais connu de tous. Elle n’était pas seulement une victime des événements : elle en a été l’un des maillons involontaires. Contrainte de collaborer avec la police pour faire tomber Lavergne, elle a dû revivre ses pires souvenirs, affronter des visages qu’elle aurait voulu oublier à jamais. Aujourd’hui, même après la capture du monstre, elle ne trouve aucun soulagement. Les blessures sont trop profondes, et son esprit chancelle.

Autour d’elle, le climat est lourd, presque suffocant. Manu, toujours animé par le devoir, tente de garder la tête froide, mais on sent que cette affaire l’a touché plus qu’il ne veut l’admettre. Becker, de son côté, sait que l’enquête touche à sa fin, mais il redoute les conséquences. Lavergne n’était qu’un pion dans un jeu bien plus vaste, et ses aveux risquent d’éclabousser des noms que personne n’osait encore prononcer. La tension monte d’un cran lorsque Yann fait son grand retour. Sa présence change la donne : enquêteur redouté, souvent prêt à franchir la ligne rouge, il ne supporte ni les injustices ni les zones grises. Et pour lui, il n’y a pas de doute : Lavergne doit payer, peu importe le prix.

Les confrontations s’enchaînent, intenses, pleines de non-dits. Lavergne, interrogé, garde son air froid et arrogant. Il joue avec les nerfs de tout le monde, laissant planer des menaces voilées. Il sait des choses, beaucoup de choses. Et il compte bien s’en servir. Son face-à-face avec Yann est électrique : deux hommes aux antipodes, mais mus par la même obsession de contrôle. Yann tente de le pousser dans ses retranchements, Lavergne riposte par des provocations cinglantes. Entre eux, le silence devient une arme, chaque regard une promesse d’affrontement.

Pendant ce temps, Élise s’enfonce dans une spirale de désespoir. Elle ne dort plus, ne mange plus, hantée par les images de ce qu’elle a traversé. Les paroles de Lavergne résonnent encore dans sa tête, comme un poison lent. Elle se sent responsable de tout, incapable de tourner la page. Son entourage tente de la soutenir, mais rien n’y fait. Même les mots rassurants de Manu glissent sur elle sans effet. On la voit vaciller, prête à tout abandonner, au bord du gouffre. Une scène bouleversante montre son effondrement total, seule, face à la mer, comme si elle cherchait une forme de pardon impossible.

C’est alors que Yann entre véritablement en scène. Son instinct lui souffle qu’Élise détient encore des informations cruciales. Malgré sa fragilité, il tente de la convaincre de parler, de livrer les derniers secrets de Lavergne. Mais il comprend vite que la jeune femme ne pourra rien dire de plus sans s’écrouler. Son humanité refait surface, inattendue. Derrière le policier implacable, on découvre un homme prêt à tendre la main, à apaiser une âme brisée. Cette complicité nouvelle entre Élise et Yann donne au récit une intensité émotionnelle rare. Deux êtres blessés par la vie, réunis par le poids du même combat : celui de la vérité.

Pendant ce temps, Lavergne, en détention provisoire, tente un dernier coup. Il veut négocier. En échange d’une réduction de peine, il promet de révéler des noms, des comptes, des connexions. Becker et Manu hésitent : faut-il lui laisser la parole ou le laisser croupir sans rien obtenir ? Le suspense atteint son paroxysme lorsque Lavergne lâche une bombe : il affirme détenir des preuves compromettantes sur un haut fonctionnaire, impliqué dans la dissimulation de certaines affaires du passé. Le parquet s’enflamme, la hiérarchie tremble, et Yann, lui, sent que tout cela va bien au-delà du simple cas Lavergne.

Alors que la tempête médiatique s’abat, Élise craque. Elle décide de tout avouer, sans calcul ni stratégie. Dans une séquence déchirante, elle se rend au commissariat pour livrer sa version complète, celle qu’elle n’avait jamais osé dire. Elle raconte la manipulation, la peur, la façon dont Lavergne s’est infiltré dans sa vie, jusqu’à l’isoler complètement. Ses mots bouleversent tout le monde, y compris Yann, qui voit en elle la victime d’un système qui broie les plus fragiles.

À mesure que le verdict approche, les tensions internes explosent. Becker doit faire face à des pressions politiques, Manu à ses propres doutes, et Yann à sa conscience. Le procès s’annonce comme un champ de bataille. Les témoins défilent, les révélations s’enchaînent, et Lavergne, imperturbable, joue sa dernière carte : le chantage. Mais cette fois, plus personne n’est dupe. Élise, malgré ses tremblements, trouve enfin la force de témoigner. Son courage fait basculer le jugement.

Le verdict tombe : Lavergne est reconnu coupable de tous les chefs d’accusation. Le soulagement se mêle aux larmes. Élise, en larmes, s’effondre dans les bras de Yann, consciente qu’un chapitre se ferme, mais que les cicatrices, elles, mettront du temps à guérir. Manu, en retrait, regarde la scène avec émotion : la justice a triomphé, mais à quel prix ?

Dans les dernières minutes de l’épisode, le silence domine. Élise, désormais libre, contemple le lever du soleil, symbole d’un nouveau départ. Yann, lui, reste à distance, pensif, comme s’il pressentait que cette histoire n’est pas totalement terminée. Le calme avant une nouvelle tempête ? Peut-être. Une chose est sûre : “Un si grand soleil” n’a pas fini de jouer avec nos émotions.

Ce final, à la fois intense et émouvant, clôt avec puissance l’intrigue Lavergne tout en ouvrant la porte à de nouveaux mystères. Les héros sortent meurtris, mais grandis. Et le spectateur, lui, reste suspendu à une seule question : jusqu’où iront-ils encore, quand la vérité devient une arme ?