Plus Belle La Vie, Encore Plus Belle : “Il faut que tu me dises ce que tu sais…” Le résumé du 13 octobre (SPOILERS)

 


🎬 Plus Belle La Vie, Encore Plus Belle : “Il faut que tu me dises ce que tu sais…” — Le résumé du 13 octobre (SPOILERS)

L’épisode du 13 octobre s’ouvre dans une atmosphère lourde et tendue. Le Mistral s’éveille à peine, mais déjà les regards se croisent avec méfiance. Quelque chose ne tourne pas rond, et tout le monde le sent. Ophélie, encore bouleversée par les événements de la veille, n’arrive pas à trouver le sommeil. Ses pensées tournent en boucle autour d’une seule phrase, prononcée par Hugo avant de disparaître : « Il faut que tu me dises ce que tu sais. » Ces mots résonnent comme un avertissement, ou peut-être comme une supplique. Quoi qu’il en soit, ils marquent le début d’une journée où la vérité risque de tout faire exploser.

Pendant ce temps, au commissariat, Boher et Ariane reconstituent les dernières heures avant la disparition d’Hugo. Le jeune homme, soupçonné d’avoir un lien avec les événements tragiques qui ont frappé le quartier, semble s’être volatilisé sans laisser de trace. Mais Ariane n’est pas dupe. En fouillant son passé récent, elle découvre une série de messages codés envoyés à Ophélie. Ces échanges laissent penser qu’Hugo savait bien plus qu’il ne le laissait entendre — et qu’il cherchait désespérément à prévenir quelqu’un d’un danger imminent.

Ophélie, quant à elle, se renferme. Ses proches remarquent son agitation, ses silences, ses absences. Apolline tente de la raisonner, mais rien n’y fait : Ophélie est déterminée à comprendre ce que cachait Hugo. Dans une scène d’une rare intensité, elle se rend sur les quais où il avait l’habitude de se réfugier. Elle y retrouve une enveloppe glissée entre deux planches de bois, contenant une photo d’elle et Hugo, accompagnée d’un mot : « Si tu lis ça, c’est qu’il est déjà trop tard. Ne fais confiance à personne. »

Le choc est brutal. Ophélie sent que tout ce qu’elle croyait savoir s’effondre. Elle comprend qu’Hugo était mêlé à quelque chose de bien plus grand — et qu’elle en fait, malgré elle, partie. Mais à qui ces mots étaient-ils vraiment destinés ? À elle, ou à quelqu’un d’autre ? Et surtout, de quoi Hugo voulait-il la protéger ?

À la coloc, Ulysse tente de maintenir une apparente normalité. Mais son comportement trahit une inquiétude qu’il ne peut plus cacher. Il reçoit un appel mystérieux d’un numéro inconnu, puis quitte brusquement l’appartement, prétextant un rendez-vous d’affaires. Apolline, intriguée, décide de le suivre discrètement. Ce qu’elle découvre la glace : Ulysse retrouve Vanessa dans un café reculé, loin du centre-ville. Leur échange est vif, presque violent. On entend des bribes de phrases — « tu n’aurais jamais dû lui parler », « il est en danger », « quelqu’un nous observe » — sans que rien ne soit vraiment clair.

Apolline comprend que quelque chose de grave se prépare, mais elle ignore encore à quel point. Lorsqu’elle rentre, Ophélie l’attend, les traits tirés. Elle lui montre la lettre d’Hugo. Apolline blêmit en la lisant : le message semble faire référence à un dossier disparu, celui que Vanessa avait en sa possession il y a quelques semaines. Un dossier qui pourrait contenir la clé de toute cette affaire.

Le suspense monte d’un cran lorsque Boher reçoit de nouvelles informations. Des caméras de surveillance ont filmé Hugo près d’un entrepôt abandonné la veille de sa disparition. Sur les images, on distingue aussi une silhouette féminine portant une veste claire… qui ressemble étrangement à celle d’Ophélie. Le doute s’installe immédiatement. A-t-elle menti à la police ? Était-elle sur place ? Ou essaie-t-on de la piéger ? Boher, partagé entre son instinct de flic et sa bienveillance envers la jeune femme, décide de la confronter directement.

La scène entre eux est électrique. Boher la fixe, impassible :
« Il faut que tu me dises ce que tu sais, Ophélie. Tout. Maintenant. »
Mais Ophélie garde le silence. Les larmes lui montent aux yeux, et sa voix tremble quand elle répond :
« Vous ne pouvez pas comprendre. Si je parle, quelqu’un d’autre mourra. »

Cette réplique glace Boher sur place. Derrière la peur d’Ophélie, il perçoit une vérité qu’elle ne peut pas encore révéler. Il la laisse partir, mais la fait discrètement suivre par un collègue. De son côté, Apolline continue d’enquêter en secret. En fouillant le téléphone d’Ulysse, elle découvre des messages supprimés entre lui et Vanessa. Le ton y est menaçant, presque accusateur. Elle comprend que tous mentent, que personne n’est totalement innocent.

La tension atteint son paroxysme lorsque Vanessa reçoit un appel d’Hugo, enregistré il y a plusieurs jours. Dans cet audio, il semble affolé : « Ils savent. Dis à Ophélie de ne pas parler. Il y a quelqu’un parmi vous qui travaille pour eux. » Cette révélation jette un froid glacial sur tout le groupe. Qui est ce « eux » ? Une organisation ? Un réseau ? Ou une vengeance plus personnelle encore ?

Le soir tombe sur Marseille, et avec lui l’espoir d’une nuit tranquille. Ophélie retourne sur les lieux du premier drame, incapable de rester les bras croisés. Elle fouille, cherche des indices, et finit par trouver un médaillon brisé. À l’intérieur, une photo d’elle enfant, avec sa mère… et un homme qu’elle ne reconnaît pas. Tout s’éclaire soudain : Hugo cherchait à lui révéler un secret de famille, un lien caché entre leur passé et les événements actuels.

Alors que les sirènes résonnent au loin, Ophélie comprend enfin la portée des mots d’Hugo : « Il faut que tu me dises ce que tu sais. » Ce n’était pas une menace, mais une demande désespérée. Il voulait qu’elle se souvienne, qu’elle fasse face à la vérité qu’elle refoulait depuis des années. Quelque chose que sa mère lui avait toujours caché.

La dernière scène de l’épisode est d’une intensité rare. Ophélie, debout face à la mer, tient le médaillon dans sa main. Apolline la rejoint, sans un mot. Les deux femmes échangent un regard lourd de sens. Ophélie murmure simplement :
« Je crois que je sais enfin qui je suis. Mais il va falloir payer le prix. »

Un vent froid souffle sur le port, emportant avec lui les secrets et les mensonges qui ont enflammé le Mistral. Rien ne sera plus jamais comme avant.