[DNA Résumé] Marceau prépare le pire ! Augustin arrêté ! Bart perd tout… même Sara ? | 2054 TF1

Cette semaine dans Demain nous appartient, les destins des habitants de Sète s’entrecroisent dans un enchaînement d’événements aussi tragiques qu’imprévisibles. L’épisode du jour nous plonge au cœur d’une spirale infernale où mensonges, trahisons et décisions irréversibles s’entremêlent. Marceau, plus sombre et calculateur que jamais, met la dernière touche à un plan machiavélique qui pourrait bien tout détruire. Augustin, pris dans une affaire qui le dépasse, voit sa vie basculer d’un instant à l’autre. Quant à Bart, il est au bord du gouffre : après avoir tout risqué pour sauver ceux qu’il aime, il se retrouve isolé, perdu, et sur le point de tout perdre… même Sara.

L’épisode s’ouvre sur une tension palpable. Marceau, retranché dans son bureau, contemple une série de documents classés confidentiels. Son visage impassible trahit à peine la satisfaction glaciale de celui qui sait que le piège se referme. Depuis des semaines, il manipule l’ombre, tissant sa toile autour de ses ennemis. Mais cette fois, son plan atteint son paroxysme. En silence, il passe un dernier appel. Une phrase sibylline : « Tout est prêt. Qu’ils payent pour ce qu’ils ont fait. » Les dés sont jetés.

Pendant ce temps, Augustin tente de se justifier auprès de la police. Accusé d’avoir participé à une série d’opérations illégales liées à Marceau, il clame son innocence. Mais les preuves s’accumulent contre lui. Ses empreintes, ses communications, tout semble l’accabler. Les inspecteurs, implacables, le poussent dans ses retranchements. Il ne comprend pas comment tout a pu déraper si vite. Était-il manipulé depuis le début ? Les flashbacks dévoilent un Augustin naïf, embarqué dans une affaire qu’il croyait sans conséquence. Ce qu’il ignorait, c’est que Marceau se servait de lui comme d’un pion dans un jeu beaucoup plus grand.

À l’extérieur, la nouvelle de son arrestation fait l’effet d’une bombe. Camille et Adam, bouleversés, tentent de comprendre. Chacun se demande jusqu’où Marceau est capable d’aller pour atteindre ses objectifs. La peur s’installe à Sète. Même les proches d’Augustin doutent de sa version. Dans les couloirs du commissariat, la tension est à son comble. Martin, en charge de l’enquête, sent que quelque chose cloche. Trop d’éléments concordent trop vite. Et quand il découvre qu’une pièce à conviction a disparu du dossier, le doute s’installe : quelqu’un manipule l’affaire de l’intérieur.

Parallèlement, Bart vit ses heures les plus sombres. Le Spoon, son refuge, est désert. Les affaires vont mal, la pression s’accumule, et les dettes se multiplient. Mais le coup de grâce vient d’ailleurs : Sara, son pilier, s’éloigne peu à peu. Depuis plusieurs jours, elle ne le reconnaît plus. Bart s’enfonce dans ses obsessions, incapable de lâcher prise. Il veut prouver qu’Augustin est innocent, persuadé qu’il y a un lien entre lui et Marceau. Sara, épuisée, tente de le raisonner : « Tu te perds, Bart. Tu te bats contre des fantômes. » Mais ses mots glissent sur lui. Il refuse d’abandonner, quitte à tout sacrifier.

Le soir venu, un événement inattendu bouleverse tout. Un incendie éclate dans un entrepôt appartenant à Marceau. Les pompiers interviennent, les flammes dévorent tout. L’origine du feu reste mystérieuse, mais les enquêteurs découvrent sur place un détail troublant : un téléphone calciné appartenant à Augustin. Comment a-t-il pu arriver là alors qu’il était déjà en garde à vue ? L’hypothèse d’un coup monté prend de l’ampleur. Quelqu’un cherche clairement à l’enfoncer encore davantage.

De son côté, Marceau, imperturbable, joue la comédie. Face à la police, il feint l’indignation. Il se dit victime d’une machination, accuse des concurrents d’avoir saboté son entreprise. Son ton posé et son regard maîtrisé font mouche. Même certains enquêteurs doutent. Mais au fond de lui, il jubile : tout se déroule comme prévu. Le piège est en train de se refermer, et il sait que personne ne verra venir le véritable coup final.

Pendant ce temps, Bart reçoit un message anonyme. Une adresse, une heure. Il hésite, puis décide d’y aller, convaincu que cela pourrait l’aider à prouver la vérité. Sara, inquiète, tente de le retenir, mais il n’écoute pas. Lorsqu’il arrive sur place, une vieille friche industrielle à la périphérie de la ville, il découvre un sac contenant des documents. En les feuilletant, il comprend tout : Marceau a monté une opération pour faire tomber Augustin… et détruire Bart dans le même mouvement. Les papiers contiennent la preuve que tout était planifié depuis des mois. Mais avant qu’il ne puisse s’enfuir, une silhouette surgit. Un coup violent. L’écran devient noir.

Au commissariat, Sara sent que quelque chose ne va pas. Bart ne répond plus à ses messages. Son instinct de policière reprend le dessus. Elle se lance dans une course contre la montre pour le retrouver. En fouillant les traces GPS de son téléphone, elle remonte la piste jusqu’à la friche. Ce qu’elle découvre sur place glace le sang : le sac de Bart, son téléphone brisé, et des traces de lutte. Elle comprend qu’il a été enlevé. L’épisode atteint son apogée dans une séquence d’une tension insoutenable. Sara, les larmes aux yeux, appelle à l’aide : « Il est parti seul… et maintenant, il a disparu. »

Dans les dernières minutes, la caméra se fixe sur Marceau, seul dans sa voiture. Il observe au loin les gyrophares qui illuminent la nuit. Un léger sourire se dessine sur ses lèvres. Il décroche son téléphone et prononce ces mots glaçants : « Un de moins. Le suivant, c’est elle. » L’écran se fige, laissant le spectateur sans voix.

Ce nouvel épisode de Demain nous appartient joue avec les nerfs du public. Les scénaristes livrent un récit haletant, où le suspense se mêle à l’émotion. Entre la chute d’Augustin, la manipulation de Marceau et la détresse de Bart, la série atteint un sommet dramatique. Chaque scène est un coup de massue, chaque silence un présage. On ne sait plus qui ment, qui manipule, ni qui survivra à cette guerre de l’ombre.

Et alors que tout semble perdu, une question reste en suspens : Sara réussira-t-elle à sauver Bart avant qu’il ne soit trop tard ? Rien n’est moins sûr. Car à Sète, le danger rôde toujours là où on l’attend le moins… et Marceau n’a pas encore joué sa dernière carte.