Demain nous appartient : Laurie, son frère Augustin s’en prend à Bart et cette fois, c’est terminé pour de bon [SPOILERS]

L’épisode du 14 octobre 2025 s’annonce comme un véritable tournant dans Demain nous appartient. Ce soir-là, la tension atteint son apogée, les secrets explosent, et les émotions déferlent avec une intensité rare. Laurie, acculée, voit son monde s’effondrer tandis que son frère Augustin franchit une ligne de non-retour. Ce qui devait être une confrontation de trop entre lui et Bart se transforme en une scène bouleversante, où les masques tombent définitivement. Et cette fois, oui, c’est bel et bien terminé pour de bon.

Depuis plusieurs jours, Laurie vit dans la peur. Rongée par la culpabilité, elle sait que le piège qu’elle et Augustin ont tendu à Bart risque de leur revenir en plein visage. Le plan, pourtant minutieusement préparé, s’est fissuré sous le poids de la vérité. Bart, bien qu’atteint, a commencé à douter, à recouper les événements, à flairer la manipulation. Et lorsque la vérité éclate, c’est tout l’équilibre fragile des relations à Sète qui vole en éclats.

Tout commence dans la pénombre du port, là où tout a commencé entre eux. Laurie y retrouve Bart, dans un face-à-face chargé de tension. Elle veut tout lui dire, tout lui avouer, espérant qu’il puisse comprendre. Sa voix tremble, ses mains se crispent. Bart, lui, reste silencieux, son regard dur et glacé. Il ne veut plus d’excuses. Trop de mensonges, trop de blessures. Laurie implore, mais la distance entre eux semble désormais infranchissable. Les souvenirs de leur complicité, de leur amour fragile, s’éteignent dans le brouillard du port.

Au même moment, Augustin, consumé par la colère, décide d’en finir à sa manière. Persuadé que Bart a détruit la vie de sa sœur, il se lance dans une quête aveugle de vengeance. Ignorant les appels de Laurie qui tente désespérément de le retenir, il se met en chasse, déterminé à “rétablir la justice”. Dans sa tête, tout est clair : Bart doit payer. Mais ce que le jeune homme ne sait pas encore, c’est que sa colère va tout détruire, y compris ce qu’il voulait protéger.

Le destin finit par les réunir dans un endroit symbolique : le bar de Bart, ce lieu où tant de souvenirs heureux et douloureux se sont entrecroisés. L’affrontement est inévitable. Augustin surgit, furieux, le regard noir. Bart tente de garder son calme, mais la tension est telle qu’un simple mot pourrait mettre le feu aux poudres. Laurie arrive à son tour, en larmes, suppliant son frère d’arrêter avant qu’il ne soit trop tard. Mais Augustin, aveuglé par la haine, ne l’écoute plus.

Le ton monte, les reproches fusent, les vérités éclatent. Bart accuse Augustin de manipulation, d’avoir détruit sa confiance et trahi son amour. Augustin riposte, hurlant que Bart n’a fait que briser sa sœur, la poussant à bout. Entre eux, il n’y a plus de dialogue, seulement deux hommes prisonniers de leur douleur. Et dans cette explosion d’émotions, tout dérape.

Un bruit sec, un cri, puis le silence. Augustin vient de frapper Bart. Le choc est violent. Bart s’effondre, sous le regard horrifié de Laurie. Le temps semble suspendu. Laurie court vers Bart, le prend dans ses bras, paniquée. Elle hurle à son frère de s’arrêter, mais Augustin, déjà pris de remords, reste figé, incapable de bouger. Ce qu’il vient de faire le dépasse. La colère retombe, laissant place à la terreur.

Les secours arrivent rapidement, alertés par les témoins. Bart, inconscient, est transporté à l’hôpital dans un état critique. Laurie, bouleversée, s’effondre en larmes. Elle comprend qu’en voulant cacher la vérité, elle a condamné tout le monde. Son frère, désormais recherché par la police, prend la fuite, tandis qu’elle reste sur place, dévastée. Les regards des habitants de Sète se posent sur elle, lourds de jugement et d’incompréhension.

À l’hôpital, le pronostic vital de Bart est engagé. Roxane, prévenue par Nordine, accourt au chevet de son ami. La scène est poignante : elle reste des heures à son chevet, espérant un signe, un souffle, une main qui bouge. Mais Bart reste plongé dans le silence, entre la vie et la mort. Pendant ce temps, Laurie est interrogée par la police. Elle refuse d’abord de parler, cherchant à protéger Augustin, mais la culpabilité finit par la rattraper. En pleurs, elle avoue tout : les mensonges, le chantage, la vengeance… tout ce qui a conduit à ce drame.

Le lendemain, la nouvelle se répand à Sète comme une traînée de poudre. Augustin est introuvable. Des rumeurs circulent : certains disent qu’il aurait quitté la ville, d’autres qu’il se cache près du port. Laurie, elle, reste prostrée. Elle sait qu’elle a tout perdu : l’homme qu’elle aimait, la confiance des siens, et peut-être même son frère. Ses remords la rongent, et sa détresse devient insoutenable.

Dans une scène d’une intensité bouleversante, elle se rend à l’hôpital, seule, pour faire face à Bart une dernière fois. Elle s’assied à son chevet, lui parle doucement, comme s’il pouvait l’entendre. « Je suis désolée… je n’ai jamais voulu que ça finisse comme ça. » Ses larmes coulent sans retenue. Elle caresse sa main, espérant un miracle, mais Bart ne réagit pas. La caméra se resserre sur son visage, dévasté.

 

Pendant ce temps, Augustin est finalement arrêté par la police. L’image de sa sœur en pleurs est la dernière qu’il gardera en mémoire avant d’être menotté. Dans le fourgon, il baisse la tête, brisé. La vengeance qu’il croyait juste s’est transformée en tragédie.

 

L’épisode se conclut sur une double détresse : celle d’une femme déchirée entre l’amour et la culpabilité, et celle d’un frère détruit par ses propres excès. Laurie, seule face à ses choix, comprend qu’il n’y aura pas de retour en arrière. L’écran se fige sur son visage, le regard perdu dans le vide, tandis qu’une voix off murmure : « Parfois, vouloir protéger ceux qu’on aime, c’est ce qui finit par les détruire. »

Ce drame marque un avant et un après dans Demain nous appartient. Une histoire d’amour transformée en cauchemar, une fraternité pervertie par la vengeance, et un Bart entre la vie et la mort. Une chose est certaine : plus rien ne sera jamais comme avant à Sète. Cette fois, c’est bel et bien terminé pour de bon.