Demain nous appartient : “Évidemment, je m’inquiète !” — Le résumé du 22 octobre (SPOILERS)

Demain nous appartient : “Évidemment, je m’inquiète !” — Le résumé du 22 octobre (SPOILERS)

L’épisode du mardi 22 octobre de Demain nous appartient promet de nouvelles tensions, des émotions fortes et des révélations inattendues à Sète. Entre inquiétude, secrets de famille et décisions douloureuses, chacun des personnages se retrouve confronté à un choix crucial. La journée commence dans une atmosphère pesante : les visages sont fermés, les mots se font rares, et une inquiétude sourde plane sur la ville.

Dès les premières minutes, le ton est donné. Chloé, visiblement nerveuse, observe Alex depuis la fenêtre de la maison Delcourt. Il n’a presque pas dormi de la nuit et semble perdu dans ses pensées. Depuis l’arrivée de Maëva, la jeune femme qui prétend être sa fille, la tension n’a cessé de grimper. Chloé essaie de rester calme, mais la situation la dépasse. Elle finit par lui dire, d’une voix tremblante : “Évidemment, je m’inquiète, Alex ! Tu ne dis rien, tu t’enfermes dans ton silence… Qu’est-ce que tu veux que je pense ?”

Alex tente d’apaiser les choses, mais son attitude distante ne fait qu’attiser les doutes. Il assure qu’il veut juste du temps pour comprendre cette histoire, pour vérifier les dires de Maëva avant de tirer des conclusions hâtives. Mais Chloé, blessée, y voit une nouvelle fuite. Leur couple, déjà fragilisé, menace de s’effondrer à nouveau. Pendant ce temps, Judith, leur fille, se sent prise au piège entre ses parents. Elle voudrait soutenir son père, mais la douleur de sa mère la touche profondément. Son regard envers Alex a changé : un mélange d’admiration ternie et de déception amère.

À quelques rues de là, au Spoon, les discussions vont bon train. Les rumeurs sur la prétendue fille cachée d’Alex circulent, alimentées par les clients et amplifiées par les réseaux sociaux. Bart tente de calmer le jeu, mais il comprend bien que le scandale est déjà trop grand. Il confie à Mona qu’il s’inquiète pour la famille Delcourt : “Ils n’ont pas besoin de ça en ce moment.” Mona, toujours pragmatique, lui répond : “À Sète, les secrets ne restent jamais secrets très longtemps, tu le sais bien.”

Pendant ce temps, Maëva, la jeune femme au cœur du scandale, se réfugie sur le port. Elle observe la mer, le visage empli de mélancolie. Elle se sent perdue, tiraillée entre le désir d’être reconnue par son père et la culpabilité de provoquer autant de souffrance autour d’elle. Quand elle croise Nordine, ce dernier la reconnaît immédiatement : “C’est toi, la fameuse Maëva dont tout le monde parle ?” Leur échange, d’abord distant, devient plus sincère. Nordine perçoit la détresse de la jeune femme et lui conseille de ne pas fuir : “Affronte-les. Si ce que tu dis est vrai, ils finiront par t’écouter.”

De son côté, Alex décide de confronter son passé. Il se rend chez Tristan, espérant trouver des réponses. Les deux hommes discutent longuement, évoquant une période trouble de leur jeunesse. Alex finit par admettre qu’il a peut-être commis des erreurs irréparables. Tristan le met face à ses responsabilités : “Tu ne peux pas juste espérer que ça disparaisse. Si cette fille est vraiment ta fille, tu dois être là pour elle, même si ça te coûte tout le reste.” Ces paroles résonnent douloureusement, mais elles marquent un déclic chez Alex.

Au commissariat, Martin reçoit une plainte anonyme évoquant une fraude d’identité autour de Maëva. Intrigué, il décide d’enquêter discrètement. Il interroge la jeune femme, qui jure qu’elle ne cherche ni argent ni vengeance. Elle veut simplement comprendre pourquoi son père l’a abandonnée. Touché, Martin décide de lui accorder le bénéfice du doute. Cependant, il reste méfiant : à Sète, les apparences sont souvent trompeuses.

Pendant ce temps, chez les Moreno, une autre intrigue se joue. Christelle s’inquiète pour Charlie, qui semble étrange depuis quelques jours. Elle reçoit des messages mystérieux et cache son téléphone dès que quelqu’un entre dans la pièce. Sylvain, toujours enclin à plaisanter, minimise la situation, mais Christelle ne décolère pas : “Quand une fille change de comportement comme ça, c’est qu’il y a quelque chose de grave.” Et effectivement, la jeune femme semble cacher un secret qui pourrait bien se mêler à l’affaire d’Alex d’une façon inattendue.

De retour à la maison Delcourt, l’ambiance devient électrique. Chloé tente une nouvelle fois de parler à Alex, mais celui-ci, excédé, lui lance : “Tu veux que je dise quoi ? Que j’ai été un salaud ? Que je ne mérite pas cette famille ?” Les mots dépassent sa pensée, et Chloé, bouleversée, quitte la pièce en larmes. Judith, témoin de la scène, prend sur elle pour intervenir. Elle supplie son père de se battre pour sa famille : “Si tu crois encore à nous, prouve-le !” Ces mots touchent profondément Alex, qui comprend qu’il ne peut plus fuir.

Dans la soirée, il décide de retrouver Maëva. Il lui propose un test ADN, non pas pour se défendre, mais pour mettre fin au doute. La jeune femme accepte, émue. Le moment est chargé d’émotion : Alex, pour la première fois, ose lui dire qu’il ne la rejettera pas, quoi qu’il arrive. Maëva, en pleurs, murmure : “J’ai attendu ce moment toute ma vie.”

Alors que la nuit tombe sur Sète, d’autres regards observent cette scène de loin. Quelqu’un, dissimulé derrière un lampadaire, prend une photo des deux ensemble. Cette image pourrait bien devenir la preuve d’un nouveau scandale prêt à éclater.

L’épisode se conclut sur une série de plans intenses : Chloé seule dans sa chambre, fixant une photo de famille déchirée ; Judith, silencieuse, notant quelque chose dans son carnet ; Maëva, espérant enfin trouver sa place ; et Alex, sur le quai, l’air résolu mais terriblement fatigué. Il murmure, presque pour lui-même : “Je vais réparer mes erreurs, même si c’est trop tard.”

Ce nouvel épisode de Demain nous appartient plonge les spectateurs dans une spirale d’émotions. Entre la peur de perdre ceux qu’on aime, le poids du passé et les vérités qui explosent au grand jour, chaque personnage se bat avec ses propres démons. Et dans cette bataille entre le cœur et la raison, une seule certitude demeure : à Sète, rien ne reste jamais caché bien longtemps…