[USGS Spoiler] Alex découvre la vérité ?! Le mystère Boris : hantise, mensonge ou vérité ? |FR3

🎬 Titre : “Un si grand soleil : Alex face à l’impensable – Le mystère Boris enfin dévoilé ? Hantise, mensonge ou vérité ?”

L’épisode de ce soir d’Un si grand soleil (diffusé sur France 3) plonge les spectateurs dans un tourbillon de doutes et de révélations, où la frontière entre le réel et l’imaginaire devient de plus en plus floue. Alex, rongé par une angoisse croissante, se retrouve au cœur d’un mystère qui remet en question tout ce qu’il croyait savoir. L’ombre de Boris plane sur lui, entre souvenirs douloureux, hallucinations et secrets inavouables. Est-il vraiment revenu… ou n’a-t-il jamais disparu ?

L’histoire s’ouvre sur une Montpellier enveloppée de brume. Alex, seul dans son appartement, peine à trouver le sommeil. Depuis plusieurs nuits, il entend des bruits étranges, des murmures étouffés, et parfois, la sensation glaciale d’une présence. Sur sa table, une photo de Boris, son ancien ami et collègue, disparu depuis des mois, semble le fixer. Un courant d’air fait voler la photo au sol. Le ton est donné : le passé revient frapper à sa porte.

Au commissariat, Alex tente de garder contenance. Ses collègues remarquent pourtant son état nerveux. Becker le met en garde : “Tu as besoin de repos, Alex. Cette affaire t’a bouffé.” Mais Alex refuse de lâcher prise. Pour lui, la disparition de Boris cache quelque chose de bien plus profond qu’un simple accident. Il en est convaincu : quelqu’un ment.

Parallèlement, Élise découvre un nouveau témoignage dans l’enquête sur la disparition. Une femme affirme avoir vu Boris récemment, dans un quartier isolé près de la Mosson. Alex, bouleversé, exige de s’y rendre immédiatement. Sur place, l’atmosphère est pesante. Des traces récentes de passage, un briquet gravé aux initiales “B.L.”… et ce parfum familier que seul Boris portait. Tout semble indiquer qu’il est en vie.

Mais alors qu’il fouille les environs, Alex croit l’apercevoir : une silhouette masculine, vêtue d’un manteau sombre, l’observant à distance. Il crie son nom, court, trébuche, mais la silhouette s’évapore comme une illusion. Cette scène, filmée avec un jeu d’ombres et de silences, crée une tension quasi surnaturelle. Le spectateur se demande : Boris est-il revenu… ou Alex perd-il pied ?

Pendant ce temps, Clara, la compagne d’Alex, s’inquiète de son comportement. Elle le trouve distant, absent, hanté. Lorsqu’elle découvre dans son sac une lettre signée de Boris, datée de la veille, elle comprend que quelque chose ne tourne pas rond. Le papier semble vieux, mais l’écriture est bien la sienne. Alex, bouleversé, lui jure ne pas comprendre d’où elle vient. Pour la première fois, il doute de lui-même.

Les jours passent, et la tension monte. Alex commence à avoir des visions de Boris dans des lieux familiers : le bar où ils avaient l’habitude de se retrouver, le terrain vague où ils enquêtaient sur une affaire jamais résolue… Partout, il croit le voir. Chaque apparition devient plus précise, plus troublante. Lors d’une scène poignante, il murmure : “Si tu es là, dis-moi ce que tu veux.” Une ombre passe derrière lui, et une voix répond : “La vérité.”

De son côté, Manu enquête discrètement sur le comportement d’Alex. Il craint que son ami ne replonge dans ses vieux démons. Pourtant, une découverte vient tout bouleverser : les empreintes retrouvées sur le briquet appartiennent bel et bien à Boris. Impossible, selon les dossiers officiels, puisqu’il est censé être mort dans un incendie deux ans plus tôt. La certitude vacille.

L’épisode prend alors une tournure haletante. Alex décide de rouvrir le dossier secret que la police avait classé à l’époque : celui de la disparition de Boris. On y découvre des incohérences, des rapports manquants, et surtout un nom qui revient sans cesse : Hélène, une psychiatre qui aurait traité Boris avant sa mort présumée. Lorsqu’Alex la retrouve, elle refuse d’abord de parler, puis finit par lâcher une phrase énigmatique : “Certains esprits refusent de partir tant que la vérité n’est pas dite.”

Le soir, Alex retourne sur les lieux de l’incendie. Une vieille bâtisse calcinée, envahie par les herbes et le silence. Dans une séquence magistrale, il pénètre à l’intérieur, lampe torche à la main. Sur un mur noirci, il découvre un mot tracé à la craie : “Je t’ai prévenu.” Le souffle court, il recule et aperçoit une silhouette dans le reflet d’un miroir brisé. Boris. Il prononce son nom, mais la vision disparaît aussitôt. Alex tombe à genoux, pris de vertiges. Est-il victime d’un choc post-traumatique… ou Boris cherche-t-il réellement à lui dire quelque chose ?

De retour chez lui, il confronte Clara. Il pense qu’on tente de le manipuler, de le pousser à bout. Elle, terrifiée, le supplie de consulter. Mais au moment où elle quitte la pièce, la caméra s’attarde sur le téléphone d’Alex : un message vient d’apparaître. “Tu veux savoir la vérité ? Rejoins-moi demain à minuit.” L’expéditeur : Boris Lenoir.

Le lendemain, la tension atteint son paroxysme. Alex se rend seul à l’adresse indiquée : un hangar abandonné au bord de la rivière. La scène se déroule dans le silence absolu, seulement rythmé par les pas résonnant sur le béton. Une lumière vacillante au fond du bâtiment. Alex avance, arme au poing. Puis une voix retentit : “Tu n’as jamais voulu voir la vérité.” Et enfin, dans la pénombre, Boris apparaît, bien vivant, amaigri, mais indéniablement réel.

Le choc est total. Boris explique qu’il a dû disparaître après avoir découvert un réseau de corruption au sein même de la police. Il a simulé sa mort pour survivre, mais quelqu’un continue de le traquer. Alex, bouleversé, comprend qu’il a été manipulé depuis le début. Tout ce qu’il a ressenti, vu, cru entendre… n’était pas une folie, mais une mise en scène destinée à le déstabiliser.

Mais alors qu’ils s’apprêtent à quitter les lieux, un coup de feu éclate. Boris s’effondre. Alex se précipite, hurle son nom. Dans ses bras, Boris murmure : “Ce n’est pas fini… cherche la vérité dans le dossier H14.” Puis il s’éteint, une seconde fois.

L’épisode se termine sur un plan d’Alex, debout dans la pénombre, les yeux fixés sur le vide. Entre hallucination et réalité, il reste seul avec un nouveau mystère : qui voulait la mort de Boris ? Et surtout, pourquoi ? La dernière image montre le dossier H14 posé sur son bureau, marqué d’un sceau : “Confidentiel – Ne pas rouvrir.”

Cette fin bouleversante, entre polar et drame psychologique, laisse le public suspendu à la question centrale : Alex a-t-il réellement trouvé la vérité… ou vient-il de plonger dans un mensonge encore plus grand ?

(Spoiler – environ 900 mots, sans lien)