Saison 7, Épisode 1740 – PLUS BELLE LA VIE | Riva fait la connaissance de Thomas ! – Plus Belle la Vie – YouTube


🎬 Plus Belle la Vie – Saison 7, Épisode 1740 : Quand Riva rencontre Thomas, le destin s’écrit dans un café du Mistral ! [SPOILER CHOC]

Cet épisode culte de Plus Belle la Vie marque un moment fondateur dans l’histoire de la série : la rencontre entre Riva et Thomas. Ce face-à-face, à la fois simple et bouleversant, va non seulement changer le destin des deux hommes, mais aussi redéfinir la dynamique du Mistral pour les saisons à venir. Entre maladresses, émotions contenues et regards pleins de sens, cette rencontre devient le point de départ d’une relation qui bouleversera le cœur du quartier et celui des téléspectateurs.

L’épisode s’ouvre sur une journée apparemment ordinaire au Mistral. Le soleil brille sur la place, les habitants vaquent à leurs occupations habituelles : Roland essuie son comptoir, Mélanie prépare les cafés, et Mirta observe le va-et-vient des clients avec son éternel mélange de bienveillance et de méfiance. Pourtant, derrière cette routine familière, un événement discret mais crucial se prépare : l’arrivée d’un nouvel habitant, le docteur Romain Vidal, plus connu sous le nom de Riva. Médecin compétent, charmeur, mais un peu secret, il s’apprête à intégrer l’hôpital de Marseille-Est, sans imaginer que son premier jour va marquer un tournant dans sa vie personnelle.

Dès les premières scènes, Riva intrigue. Son aisance, sa prestance et son humour séduisent autant qu’ils déstabilisent. À l’hôpital, il fait forte impression sur ses collègues, notamment sur Céline, toujours curieuse des nouvelles têtes. Mais c’est en fin de journée, alors qu’il cherche un endroit où se détendre après sa prise de poste, que tout commence véritablement : il pousse la porte du bar du Mistral. Le hasard — ou peut-être le destin — le conduit droit vers Thomas Marci.

Thomas, de son côté, traverse une période de doutes. Serveur au bar familial, il cache derrière ses sourires une certaine lassitude. Son père Roland lui met la pression, lui rappelant sans cesse que le Mistral repose sur leurs épaules. Thomas, bienveillant mais impulsif, se sent étouffé. Il rêve d’autre chose sans vraiment savoir quoi. Ce soir-là, il est fatigué, distrait, et ne remarque pas tout de suite l’homme élégant qui vient de s’asseoir au comptoir.

Le premier échange entre eux est anodin, presque banal. Riva commande un café, Thomas le sert machinalement, les yeux ailleurs. Mais un détail attire l’attention du médecin : le sourire sincère de Thomas lorsqu’il le remercie. Ce sourire, il ne l’oubliera pas. Une conversation s’engage, d’abord timide, puis plus naturelle. Riva se présente, évoque son arrivée à Marseille, tandis que Thomas plaisante sur la “folie du Mistral” et la clientèle haute en couleur du quartier. L’alchimie opère, subtile mais immédiate.

Ce moment suspendu contraste avec l’agitation habituelle du bar. Même Roland, d’ordinaire bavard, observe la scène avec une curiosité silencieuse. Il sent, sans pouvoir l’expliquer, qu’il se passe quelque chose d’important. Le spectateur, lui, perçoit déjà les prémices d’un lien unique : un mélange d’attirance, de complicité et d’incompréhension mutuelle.

Mais tout n’est pas si simple. Riva, bien qu’attiré, garde ses distances. Son passé, encore flou, pèse sur lui. Il a connu des échecs, des blessures, et il craint de s’attacher trop vite. Thomas, de son côté, reste sur la défensive. Les relations, il en a connu, mais aucune n’a vraiment duré. Et surtout, il a du mal à faire confiance. Ce qu’il ignore, c’est que Riva, derrière ses airs sûrs de lui, partage les mêmes peurs.

Le lendemain, leurs chemins se croisent de nouveau — cette fois à l’hôpital. Thomas accompagne un voisin blessé après une petite chute, et tombe nez à nez avec Riva en blouse blanche. La surprise est totale, les regards s’échangent, et une tension nouvelle s’installe. Ce n’est plus le cadre décontracté du bar : ici, Riva est dans son élément, professionnel et concentré. Thomas le découvre sous un autre jour, impressionné par sa rigueur et sa douceur envers les patients. Ce mélange de charisme et de bienveillance ne laisse personne indifférent.

Peu à peu, le hasard semble se transformer en destin. Chaque rencontre entre eux devient plus chargée, plus intense. Un dîner improvisé chez Roland, un verre partagé après le service, une discussion tardive sur la terrasse du Mistral… Chaque instant rapproche les deux hommes sans qu’ils osent se l’avouer. Leurs échanges oscillent entre taquineries légères et silences lourds de sens. L’un teste les limites, l’autre les redéfinit.

C’est dans une scène nocturne, d’une grande sobriété, que tout bascule. Thomas ferme le bar après le départ des derniers clients. Riva, resté dans un coin, propose de l’aider à ranger. Le silence s’installe. Les mots deviennent inutiles. Leurs regards se croisent, hésitants mais sincères. Un moment suspendu, fragile, comme si le temps s’arrêtait. Riva esquisse un sourire : “On dirait que je ne suis pas le seul à avoir besoin d’un verre ce soir.” Thomas répond d’un ton léger, mais son regard en dit long. Ce n’est pas seulement un verre qu’ils partagent, mais une promesse silencieuse.

Le lendemain matin, au Mistral, les rumeurs commencent déjà à circuler. Mirta, avec sa curiosité légendaire, remarque leur complicité. Roland, lui, se montre protecteur : “Fais attention, mon fils, ce médecin a l’air charmant, mais tu ne le connais pas encore.” Thomas, touché mais agacé, refuse de se laisser influencer. Il sait qu’il doit suivre son instinct, même si cela le mène sur un terrain inconnu.

Riva, quant à lui, lutte contre ses émotions. Sa raison lui dit de rester prudent, mais son cœur le trahit. Il revient au bar, prétextant un oubli, juste pour le revoir. Leurs échanges deviennent plus francs, plus intenses. Thomas, d’abord méfiant, finit par céder à la curiosité. Ce qui commence comme une amitié teintée de séduction se transforme, lentement mais sûrement, en une histoire d’amour en devenir.

Dans la dernière séquence de l’épisode, tout se joue dans un simple geste. Riva, sur le point de partir, se retourne et lance : “On se revoit, n’est-ce pas ?” Thomas, surpris, répond après une courte hésitation : “Tu sais où me trouver.” Les spectateurs comprennent alors que quelque chose de fort vient de naître — quelque chose qui marquera à jamais Plus Belle la Vie.

Ce 1740e épisode n’est pas seulement une rencontre amoureuse, mais un moment charnière dans la série. Il symbolise l’ouverture à une nouvelle ère, celle où les émotions se vivent sans peur, où les personnages apprennent à s’accepter tels qu’ils sont. Riva et Thomas deviennent, dès cet instant, l’un des duos les plus emblématiques du Mistral : passionnés, sincères, imparfaits, mais profondément humains.

Entre le sourire complice de Thomas et le regard apaisé de Riva, l’épisode se clôt sur une note douce et pleine d’espoir. Le générique retentit, mais le spectateur le sait déjà : une grande histoire vient de commencer.


(Spoiler librement paraphrasé – environ 900 mots, ton narratif dramatique et cinématographique, sans lien.)