Ici tout commence : “Je n’ai aucune envie de faire votre connaissance !” … Teyssier déjà en conflit avec la famille Jourdain au sein de l’hôtel d’application
Voici une paraphrase complète et développée (environ 900 mots) sous forme de spoiler narratif pour le titre demandé :
Ici tout commence : “Je n’ai aucune envie de faire votre connaissance !” – Teyssier déjà en conflit avec la famille Jourdain au sein de l’hôtel d’application
L’atmosphère s’annonce électrique dans le nouvel épisode d’Ici tout commence, où tensions, ego et rivalités culinaires se mêlent au cœur de l’Institut Auguste Armand. Alors que la rentrée gastronomique promettait un vent de nouveauté, c’est un véritable ouragan qui s’abat sur l’établissement : la famille Jourdain fait son arrivée, et déjà, le ton monte. Et comme souvent, c’est Emmanuel Teyssier qui déclenche la première étincelle.
Depuis plusieurs jours, un projet inédit est en préparation à l’hôtel d’application de l’Institut : une collaboration exceptionnelle entre les élèves et une nouvelle famille d’investisseurs, les Jourdain, propriétaires d’une chaîne d’hôtels de luxe. Cette association, voulue par Antoine Myriel, a pour but de renforcer la visibilité de l’école et d’ouvrir de nouvelles perspectives aux étudiants. Une belle opportunité, en théorie… sauf que tout ne se passe pas comme prévu.
Dès leur arrivée, Vincent Jourdain, patriarche charismatique mais autoritaire, impose sa présence. Accompagné de sa femme Claire et de leurs deux enfants, Élodie et Mathias, il débarque à l’Institut avec des idées bien arrêtées. Leur mission : observer le fonctionnement de l’hôtel d’application, goûter les plats, proposer des améliorations et éventuellement investir. Mais cette intrusion ne plaît pas à tout le monde, surtout pas à Teyssier, pour qui l’Institut est son royaume et sa cuisine, un territoire sacré.
Lors de la première rencontre, le ton est donné. Vincent, sûr de lui, fait quelques remarques désobligeantes sur le menu du jour.
— « C’est bon, mais un peu trop classique. On sent que vous jouez la sécurité. »
Teyssier, fidèle à sa réputation, ne se laisse pas marcher dessus :
— « Je préfère jouer la sécurité que cuisiner pour flatter des investisseurs qui pensent connaître la gastronomie parce qu’ils dînent dans leurs propres hôtels. »
Un silence tendu s’installe. Antoine tente d’apaiser la situation, mais c’est trop tard : la guerre est déclarée. La phrase que Teyssier lâche quelques instants plus tard résonne comme une gifle :
— « Je n’ai aucune envie de faire votre connaissance. »
Dès lors, les hostilités s’enchaînent. Les Jourdain, vexés, décident de rester plusieurs jours à l’hôtel pour “observer le personnel en condition réelle”. Élodie, la fille aînée, prend un malin plaisir à tester les élèves en salle, tandis que Mathias, lui, semble plus intéressé par la cuisine… et par une certaine Billie. Entre jeux de séduction, rivalités et maladresses, l’ambiance devient rapidement explosive.
Dans les cuisines, Teyssier, de plus en plus irritable, redouble d’exigence avec ses élèves. Il ne supporte pas l’idée d’être observé ni critiqué. Son perfectionnisme frôle l’obsession, au point que Clotilde Armand le confronte en privé :
— « Tu ne peux pas les humilier devant tout le monde, Emmanuel. Ils ne sont pas nos ennemis. »
Mais Teyssier réplique, mordant :
— « Quand on me juge sur mon propre terrain, ça devient une guerre, pas une collaboration. »
Pendant ce temps, Antoine tente désespérément de maintenir la diplomatie. Il propose un dîner-test où les deux familles, Armand et Jourdain, pourraient échanger dans une ambiance conviviale. Mais rien ne se déroule comme prévu. Lors de ce dîner, Élodie critique publiquement un plat préparé par Enzo, le jugeant “fade et scolaire”. Enzo, blessé, quitte la salle sous le regard impassible de Teyssier. Ce dernier, hors de lui, s’adresse alors aux Jourdain avec son franc-parler habituel :
— « Vous n’êtes pas ici pour distribuer des notes, mais pour comprendre ce que c’est que la passion. Et ça, manifestement, vous ne savez pas faire. »

Les mots fusent, les regards s’endurcissent. Antoine tente de reprendre le contrôle, mais Teyssier est lancé : il accuse les Jourdain d’utiliser l’Institut pour redorer leur image.
— « Vous voulez investir ? Très bien. Mais vous ne transformerez pas mon école en vitrine pour vos hôtels aseptisés. »
Le lendemain, les conséquences tombent. Antoine convoque Teyssier pour un entretien disciplinaire. Le directeur adjoint, furieux, lui rappelle qu’il représente l’Institut et qu’il ne peut pas se permettre de parler ainsi à des partenaires potentiels. Teyssier, imperturbable, refuse de s’excuser :
— « Je défends la cuisine, pas les courbettes. »
Pourtant, au fil des jours, une vérité plus nuancée commence à émerger. Derrière leur arrogance, les Jourdain cachent une certaine fragilité. Vincent, l’homme d’affaires redoutable, est sur le point de perdre un de ses hôtels phares. Cette collaboration avec l’Institut représente pour lui une planche de salut, un moyen de sauver sa réputation et son empire. Quant à Élodie, elle avoue à Billie qu’elle a toujours rêvé d’intégrer une école comme l’Institut, mais que son père l’en a empêchée.
Ces confessions adoucissent légèrement les tensions. Teyssier, contre toute attente, semble toucher par la sincérité d’Élodie. Lors d’un service du soir, il l’observe en train de dresser des assiettes avec précision et murmure :
— « Finalement, tu as peut-être plus de talent que ton père. »
Mais alors que l’accalmie semble s’installer, un nouveau scandale éclate. Une critique gastronomique anonyme circule sur les réseaux sociaux, dénigrant le restaurant de l’Institut et attribuant les propos à Teyssier lui-même. Antoine est furieux, les élèves sont démoralisés, et les Jourdain menacent de rompre la collaboration. Rapidement, il apparaît que la critique provient… de Vincent Jourdain. Il aurait voulu “tester la solidité” de l’équipe face à la pression médiatique. Une provocation de trop pour Teyssier, qui claque la porte de la salle de réunion et lance :
— « Vous jouez avec le feu, et vous allez vous brûler. »
Dans les dernières minutes de l’épisode, Teyssier confronte Vincent dans la cuisine, seul à seul. Le ton monte encore :
— « Vous croyez acheter le talent comme on achète un hôtel. Mais ici, c’est la passion qui gouverne. »
— « Et la passion ne paie pas les factures », rétorque froidement Vincent.
L’épisode se termine sur un face-à-face tendu entre les deux hommes, une guerre de valeurs qui dépasse la simple rivalité professionnelle. D’un côté, Teyssier, gardien du goût, de l’exigence et de l’intégrité. De l’autre, Vincent Jourdain, stratège prêt à tout pour sauver son empire. Entre eux, les élèves, tiraillés entre loyauté, ambition et peur de tout perdre.
Le ton est donné pour les prochains épisodes : cette arrivée de la famille Jourdain à l’Institut n’est pas qu’un simple partenariat commercial. C’est un choc de mondes, une bataille d’ego, et peut-être le début d’une série de révélations qui mettront à l’épreuve la cohésion du corps enseignant.
Teyssier, plus que jamais fidèle à lui-même, semble prêt à défendre son territoire coûte que coûte… quitte à tout faire exploser.
Souhaitez-vous que je poursuive avec la suite du spoiler, centrée sur l’évolution du conflit entre Teyssier et Élodie Jourdain, et la manière dont les élèves vont se retrouver pris entre deux feux ?