Ici tout commence en avance : Clotilde et Andréa s’unissent pour faire échouer Teyssier, Coline découvre le secret de César… Le résumé de l’épisode 1301 du jeudi 6 novembre 2025

Le nouvel épisode d’Ici tout commence s’annonce explosif, révélant des alliances inattendues, des secrets profondément enfouis et des trahisons qui risquent de bouleverser l’équilibre déjà fragile de l’institut. Dans cette intrigue haletante, la tension atteint son comble entre Clotilde, Andréa et Teyssier, tandis que Coline découvre une vérité qui pourrait tout changer. Rien ne sera plus jamais comme avant à l’Institut Auguste Armand.

Tout débute dans une atmosphère lourde. Après les événements récents, Clotilde est plus déterminée que jamais à reprendre le contrôle de la situation. Elle ne supporte plus la manière autoritaire et provocatrice de Teyssier, qui, fidèle à lui-même, semble prêt à tout pour garder la direction. Mais cette fois, Clotilde n’est pas seule : Andréa, animé par un sentiment de justice et de loyauté envers elle, décide de s’allier à sa cause. Leur duo, aussi surprenant qu’efficace, prépare dans l’ombre un plan pour mettre fin à la domination de Teyssier sur l’institut.

Dans le même temps, Teyssier, sûr de sa puissance et de son charisme, multiplie les manipulations pour garder la mainmise sur les élèves et les enseignants. Il veut lancer un nouveau concours interne destiné à prouver son génie culinaire, mais surtout à discréditer ceux qui osent s’opposer à lui. Clotilde, lucide, comprend qu’il s’agit d’une manœuvre pour écarter définitivement ses rivaux. Elle en parle à Andréa, qui décide de l’aider à saboter discrètement le projet. Ensemble, ils mettent en place une stratégie subtile : retourner les élèves contre Teyssier en révélant ses méthodes douteuses et son mépris pour les traditions de l’institut.

Peu à peu, les tensions montent dans les cuisines. Entre les élèves divisés, les professeurs nerveux et l’atmosphère électrique, chaque mot peut déclencher un incendie. Teyssier, qui sent que quelque chose se trame, commence à douter de la loyauté de son entourage. Il observe Andréa d’un œil méfiant, soupçonnant que ce dernier en sait plus qu’il ne veut bien l’admettre. Ce jeu d’échecs entre eux devient un affrontement psychologique redoutable, où chaque geste compte.

Pendant ce temps, dans un tout autre registre, Coline traverse une période de trouble. Depuis plusieurs jours, elle remarque le comportement étrange de César, son compagnon. Distant, préoccupé, souvent sur la défensive, il semble cacher quelque chose d’important. Poussée par la curiosité et une certaine inquiétude, Coline décide de mener sa propre enquête. En fouillant parmi ses affaires, elle découvre un document qu’il avait soigneusement dissimulé : une lettre écrite par un proche disparu, mentionnant un passé secret.

Cette découverte bouleverse Coline. Elle comprend que César lui ment depuis longtemps. Ce qu’elle croyait savoir de lui n’était qu’une façade. Le « secret de César », comme elle le nomme désormais, la hante. Elle hésite à le confronter, craignant d’entendre une vérité qu’elle n’est pas prête à accepter. Finalement, dans une scène pleine d’émotion, elle finit par l’affronter. César, acculé, avoue qu’il a caché ses origines et son lien avec une figure importante de l’institut. Ce secret, s’il venait à être révélé publiquement, pourrait non seulement ruiner sa carrière, mais aussi entacher la réputation de Clotilde et de Teyssier eux-mêmes.

Ce double fil narratif — la lutte de pouvoir entre Clotilde et Teyssier d’un côté, et la révélation du secret de César de l’autre — tisse un épisode riche en rebondissements. À mesure que les vérités éclatent, les alliances se redessinent. Andréa, fidèle à ses convictions, s’impose comme un allié précieux pour Clotilde, mais aussi comme un nouvel ennemi redoutable pour Teyssier. Ensemble, ils décident de frapper un grand coup : dévoiler les manipulations financières et les pratiques douteuses de Teyssier dans la gestion de l’institut.

La tension culmine lors d’une confrontation spectaculaire dans le bureau de la direction. Devant plusieurs témoins, Clotilde et Andréa accusent Teyssier de trahison envers les valeurs d’Auguste Armand. Le ton monte, les mots deviennent des armes. Teyssier, pris de court, tente de se défendre, mais Andréa sort une preuve irréfutable : un document prouvant que Teyssier a détourné des fonds pour financer son projet personnel. L’effet est immédiat. L’assemblée est sous le choc, et même ses plus fidèles partisans peinent à le soutenir.

Mais Teyssier, fidèle à son tempérament imprévisible, refuse de se laisser abattre. Il riposte en révélant à son tour des informations compromettantes sur Clotilde, insinuant qu’elle manipule Andréa pour servir ses intérêts. La scène tourne à la guerre ouverte, où chacun se bat pour sauver son honneur. Le face-à-face atteint une intensité rare : le charisme glacial de Teyssier contre la détermination inébranlable de Clotilde.

Pendant ce temps, Coline, bouleversée par les révélations de César, cherche du réconfort auprès de ses amis. Elle hésite à rendre public ce qu’elle sait, consciente que cette vérité pourrait bouleverser l’équilibre déjà précaire de l’institut. Finalement, elle choisit de garder le silence — pour l’instant. Mais son regard trahit sa peur : elle sait que ce secret finira par ressurgir, d’une manière ou d’une autre.

La fin de l’épisode laisse les téléspectateurs suspendus à un fil. Teyssier, affaibli mais toujours combatif, jure de se venger. Clotilde et Andréa, désormais alliés dans l’adversité, célèbrent une victoire fragile, conscients qu’ils ont déclenché une guerre dont ils ne maîtrisent pas encore les conséquences. Quant à Coline, seule face à la vérité, elle comprend qu’aimer César signifie désormais affronter son passé.

Ce 1301ᵉ épisode marque un tournant décisif dans la série. Derrière les alliances et les trahisons, c’est tout un système de loyautés et de secrets qui s’effrite. Le pouvoir, la vérité et l’amour s’entrechoquent dans un ballet dramatique où personne n’est totalement innocent. Et alors que la nuit tombe sur l’institut, un pressentiment plane : la bataille ne fait que commencer.