Plus belle la vie en avance : Chabrol a été tué, Barbara découvre la vérité sur Zoé… Le résumé de l’épisode 463 du jeudi 13 novembre 2025
🎬 Plus belle la vie – Zoé démasquée : la vérité sur le meurtre de Chabrol
Le Mistral n’a jamais été aussi secoué. Une nouvelle tragédie vient frapper la communauté : Chabrol a été retrouvé mort, victime d’un meurtre brutal qui plonge tout le quartier dans une atmosphère de suspicion et de peur. Les habitants, encore sous le choc, se demandent comment un homme aussi discret a pu devenir la cible d’un tel acte. Mais ce qu’aucun d’eux n’imagine, c’est que cette affaire va révéler un secret bien plus profond, et que Barbara, sans le vouloir, s’apprête à mettre au jour la vérité sur Zoé.
Tout commence à l’aube. Le corps de Chabrol est découvert par hasard dans un entrepôt désaffecté, à la périphérie de Marseille. La police, menée par Ariane et Samuel, s’empresse de sécuriser la zone. Très vite, les premières constatations tombent : pas de trace d’effraction, pas de vol apparent. Ce crime n’a rien d’un cambriolage. C’est un règlement de comptes, minutieusement orchestré. Ariane, en observant les marques sur le sol, devine que Chabrol connaissait son agresseur.

Pendant ce temps, au Mistral, la nouvelle se répand comme une traînée de poudre. Barbara, encore secouée par les récents événements de sa vie personnelle, apprend la mort de Chabrol par hasard, en entendant un client en parler au Mistral Bar. Sous le choc, elle se replie sur elle-même. Chabrol n’était pas un inconnu : il travaillait autrefois pour la même entreprise de livraison que Zoé, sa nouvelle amie et confidente. Très vite, Barbara sent que cette mort n’a rien d’anodin.
Zoé, de son côté, semble étrangement nerveuse. Depuis plusieurs jours, elle évite le regard de Barbara, s’isole, prétexte des absences soudaines. Ses mensonges deviennent de plus en plus visibles. Barbara, d’abord pleine d’empathie, commence à douter. Quel lien Zoé avait-elle réellement avec Chabrol ? Et pourquoi ne dit-elle rien ?
Les policiers interrogent le voisinage. Un témoin affirme avoir vu Chabrol la veille de sa mort, accompagné d’une jeune femme blonde. La description correspond… à Zoé. Ariane, méfiante, se souvient que cette dernière a déjà été citée dans une autre enquête, sans jamais être inquiétée. Elle décide de creuser.
Barbara, elle, n’en peut plus d’attendre. Dans un élan impulsif, elle confronte Zoé. La scène est tendue, presque suffocante. Zoé nie tout d’abord, joue l’innocence, puis craque sous la pression : oui, elle connaissait Chabrol. Oui, elle l’avait revu récemment. Mais selon elle, c’était pour « régler une vieille histoire ». Barbara, bouleversée, sent qu’elle ne dit pas tout.
Au commissariat, les indices s’accumulent. L’arme du crime, un couteau de cuisine, a été retrouvée dans une benne à ordure proche du port. Sur le manche, des empreintes partielles. L’analyse ne tarde pas : elles appartiennent à Zoé. Ariane décide de la placer en garde à vue. Mais lorsqu’ils arrivent pour l’arrêter, elle a déjà disparu.
C’est le chaos. La presse s’empare de l’affaire, les réseaux sociaux s’enflamment. Au Mistral, tout le monde a son opinion : certains croient Zoé innocente, d’autres la condamnent déjà. Barbara, elle, est tiraillée. Malgré la trahison, elle veut comprendre. Quel secret se cache derrière tout ça ? Pourquoi Zoé aurait-elle tué Chabrol ?
Les heures passent, et un détail change tout. Samuel découvre que Chabrol avait retiré une grosse somme d’argent deux jours avant sa mort. Une somme identique à celle que Zoé devait pour effacer une vieille dette. Le mobile semble tout trouvé. Mais Barbara refuse d’y croire. Contre l’avis de tous, elle décide de mener sa propre enquête.
En fouillant dans les affaires de Zoé, elle tombe sur un carnet caché dans un double fond de tiroir. À l’intérieur, des notes, des dates, des initiales. Et surtout, des mentions répétées d’un mot codé : « Projet C ». Intriguée, Barbara comprend qu’il s’agit d’un plan, peut-être d’une vengeance. En recoupant les dates, elle réalise que Chabrol et Zoé étaient liés à une même entreprise il y a plusieurs années, une société impliquée dans un trafic de produits de luxe volés.
Soudain, tout s’éclaire. Zoé n’était pas une simple amie : elle faisait partie d’un réseau, et Chabrol détenait des informations compromettantes. Le meurtre n’était pas un geste de colère, mais un acte désespéré pour protéger un secret.
Barbara, bouleversée, se rend compte qu’elle a hébergé une fugitive sous son propre toit. Pire encore : Zoé l’a utilisée. Elle comprend aussi que Zoé a voulu se rapprocher d’elle non pas par amitié, mais pour surveiller la progression de l’enquête policière.
La tension atteint son apogée lorsqu’Ariane retrouve la trace de Zoé dans un hangar près du port. La jeune femme, acculée, tente de fuir. Un face-à-face haletant s’engage. Zoé pleure, crie son innocence, affirme que tout était un piège. Selon elle, Chabrol n’était pas la victime qu’il paraissait : il la faisait chanter depuis des semaines. Ariane hésite. Mais avant qu’elle puisse l’arrêter, Zoé s’échappe dans la nuit, laissant derrière elle une seule phrase :
« Ce n’est pas fini, Barbara doit savoir la vérité. »
Le lendemain, Barbara reçoit une lettre glissée sous la porte de son appartement. Une écriture qu’elle reconnaît immédiatement : celle de Zoé. Dans ce message, elle avoue tout – le chantage, la peur, le meurtre commis « par accident ». Mais elle y ajoute une révélation qui glace le sang : quelqu’un d’autre tire les ficelles. Un homme puissant, resté dans l’ombre, qui aurait manipulé Chabrol et orchestré tout le drame pour couvrir un réseau plus vaste.
L’épisode se clôt sur un plan saisissant : Barbara, seule dans sa cuisine, tenant la lettre tremblante entre ses doigts. Derrière elle, la caméra s’attarde sur la fenêtre entrouverte… et une silhouette indistincte qui l’observe depuis la rue. Le danger, manifestement, n’a pas disparu.