Bérénice brise le cœur de Carla : “Ne fais pas ça” — le mariage vole en éclats 💔 (Ici tout commence, épisode 1289 du mardi 21 octobre 2025)

Bérénice brise le cœur de Carla : “Ne fais pas ça” — le mariage vole en éclats 💔 (Ici tout commence, épisode 1289 du mardi 21 octobre 2025)

Le soleil se lève sur l’Institut Auguste Armand, mais l’atmosphère y est glaciale. Alors que tout le monde pensait assister à l’union la plus romantique de la saison, les couloirs de l’école deviennent le théâtre d’un drame bouleversant. L’amour, la passion et la trahison s’y mêlent dans une symphonie douloureuse. Ce jour qui devait sceller à jamais le lien entre Carla et Bérénice se transforme en cauchemar éveillé. Une phrase, un regard, un silence suffisent à faire tout basculer : « Ne fais pas ça… » murmure Bérénice, la voix tremblante, tandis que le rêve s’effondre sous les yeux de tous.

Depuis plusieurs semaines, la tension monte entre les deux jeunes femmes. L’organisation du mariage, censée être un moment de joie, s’est peu à peu changée en épreuve. Carla, impatiente et entière, veut tout contrôler : les fleurs, le menu, les invités, chaque détail doit être parfait. Bérénice, elle, semble ailleurs. Ses sourires paraissent forcés, ses regards fuyants. Derrière ses silences se cache une peur qu’elle n’ose pas affronter : celle de ne pas être prête, de ne pas être à la hauteur de cet engagement.

À mesure que la cérémonie approche, ses doutes se multiplient. Les répétitions tournent au chaos, les remarques blessantes fusent. Carla, épuisée par les hésitations de sa fiancée, finit par exploser. Entre elles, la communication se rompt, remplacée par des non-dits et des reproches. Malgré tout, chacune s’accroche à l’idée que l’amour suffira à réparer les fissures. Mais parfois, l’amour seul ne sauve pas tout.

Le grand jour arrive. L’Institut est décoré avec soin, les élèves ont préparé un festin à la hauteur de l’événement. Teyssier, revenu depuis peu, observe la scène avec un mélange d’ironie et de tendresse. Tout semble prêt : les invités s’installent, Carla avance dans sa robe immaculée, radieuse et nerveuse. Mais Bérénice, de son côté, hésite encore. Ses mains tremblent, son cœur bat à tout rompre. À quelques minutes de dire “oui”, elle sent que quelque chose en elle se fissure.

Alors que la musique s’élève, le silence s’impose. Carla la regarde avec amour, persuadée que tout ira bien. Bérénice tente de soutenir ce regard, mais ses yeux se brouillent. Les mots qu’elle redoute de prononcer se coincent dans sa gorge. Puis, soudain, tout s’arrête. Devant l’assemblée médusée, Bérénice lâche d’une voix étranglée : « Je… je ne peux pas. » Un murmure parcourt la salle. Carla, figée, croit d’abord à une mauvaise blague. Mais la panique dans les yeux de Bérénice la trahit.

« Ne fais pas ça… » implore Carla, la voix brisée. Elle tente de la retenir, de comprendre, mais c’est trop tard. Bérénice recule, submergée par les larmes. Elle sait que ses mots blessent, mais elle ne peut plus mentir — ni à Carla, ni à elle-même. Dans un élan de sincérité déchirant, elle avoue qu’elle n’est pas prête, qu’elle a peur de se perdre dans une relation qu’elle ne comprend plus. Elle aime Carla, mais elle n’est plus certaine de ce que cet amour signifie.

Le choc est total. Les invités détournent le regard, mal à l’aise. Les professeurs tentent de calmer les esprits, mais Carla s’effondre. Son monde s’écroule en une seconde. Cette journée qu’elle avait rêvée depuis des mois se transforme en humiliation publique. Elle quitte la salle en courant, le cœur en miettes. Derrière elle, Bérénice reste seule, paralysée par le poids de sa décision.

Dans les heures qui suivent, les réactions fusent à l’Institut. Les élèves se divisent : certains soutiennent Bérénice, comprenant qu’elle ait préféré la vérité à un mensonge ; d’autres prennent le parti de Carla, indignée par ce qu’ils considèrent comme une trahison. Lionel et Jim tentent de raisonner les deux camps, tandis que Billie, proche des deux femmes, se retrouve au milieu du conflit, déchirée.

Carla, réfugiée dans le parc, ressasse la scène. Sa colère se mêle à la douleur. Elle se remémore chaque moment partagé avec Bérénice, chaque promesse échangée. Comment tout a-t-il pu voler en éclats aussi brutalement ? Quand Bérénice la rejoint, espérant lui parler, la confrontation est inévitable. Les mots fusent, les reproches éclatent. Carla accuse, Bérénice se défend, mais aucune des deux ne parvient à apaiser l’autre. Le fossé entre elles semble désormais infranchissable.

Pendant ce temps, les professeurs s’interrogent sur les conséquences de ce drame personnel sur la vie de l’Institut. Teyssier, dans un rare moment d’humanité, confie à Constance qu’il comprend la douleur de Bérénice : « Mieux vaut briser un rêve que de vivre dans le mensonge. » Une phrase lourde de sens, qui résonne bien au-delà du mariage raté.

Le soir, alors que la fête annulée laisse place au silence, un dernier rebondissement vient bouleverser encore la donne. Carla découvre une lettre laissée par Bérénice. Dans ce mot tremblant, elle lui explique tout : son trouble, sa peur, son incapacité à vivre un amour qu’elle sentait étouffant. Elle avoue qu’elle a voulu protéger Carla en renonçant, plutôt que de la tromper. Ces mots sincères ne suffisent pas à apaiser la douleur, mais ils éveillent une forme de compréhension. Carla réalise que, malgré la blessure, Bérénice a agi par amour — un amour maladroit, mais vrai.

La journée se termine dans une atmosphère mélancolique. Sous les étoiles, chacune médite sur ce qu’elle vient de perdre. Carla pleure la fin d’un rêve, tandis que Bérénice, seule dans sa chambre, regarde la bague qu’elle n’a pas osé passer à son doigt. Deux cœurs brisés, deux destins désormais séparés… mais peut-être pas pour toujours.

Dans cet épisode intense d’Ici tout commence, l’amour laisse place à la vérité brute. Le mariage tant attendu se transforme en drame émotionnel, rappelant que même les plus belles histoires peuvent se briser quand la peur s’invite dans le cœur. Le spectateur, bouleversé, ne peut qu’espérer une chose : que le temps, et la sincérité, finissent par recoller les morceaux.
Et maintenant, une seule question brûle toutes les lèvres : Bérénice et Carla pourront-elles un jour se pardonner ?