Boris passe aux aveux : “C’est moi, j’ai tué Eliott Faure” – Un si grand soleil, épisode 1785 du 4 novembre 2025 (résumé complet)
Boris passe aux aveux : “C’est moi, j’ai tué Eliott Faure” – Un si grand soleil, épisode 1785 du 4 novembre 2025 (résumé complet)
L’épisode du 4 novembre 2025 d’Un si grand soleil s’annonce comme l’un des plus bouleversants de la saison. Après plusieurs jours d’enquête, de tensions et de soupçons, la vérité éclate enfin. Le nom du meurtrier d’Eliott Faure est révélé, et contre toute attente, c’est Boris Leclerc qui passe aux aveux. Un retournement de situation inattendu qui va laisser les téléspectateurs sans voix et bouleverser profondément les habitants de Montpellier. Ce drame, au cœur d’une intrigue haletante, marque un tournant tragique dans la série.
Tout commence dans une ambiance lourde, presque suffocante. Le corps d’Eliott a été retrouvé quelques jours plus tôt dans des circonstances mystérieuses. Les premières analyses ont révélé qu’il ne s’agissait pas d’un accident, mais bien d’un meurtre. Rapidement, la police de Montpellier se mobilise pour découvrir qui a pu vouloir la mort du jeune homme. Entre ses anciennes affaires, ses dettes et ses ennemis, la liste des suspects est longue. Manu, Yann et Becker sont déterminés à faire éclater la vérité, mais chaque nouvel indice semble brouiller davantage les pistes.
Eve, effondrée, ne parvient pas à accepter la mort de son fils. Elle erre entre colère, douleur et incompréhension. “Quelqu’un doit payer pour ce qu’il lui est arrivé”, répète-t-elle sans cesse. Autour d’elle, les proches d’Eliott tentent de la soutenir, mais la tension est palpable. Sam, elle aussi dévastée, cherche des réponses. Elle refuse de croire qu’il ait pu être victime d’un règlement de comptes, convaincue que son meurtre cache autre chose.

Pendant ce temps, Boris, le meilleur ami d’Eliott, semble étrangement nerveux. Depuis l’annonce de la mort, il se renferme sur lui-même. Il évite les regards, fuit les questions, et son comportement alimente les rumeurs. Alix, qui le connaît bien, remarque son malaise et tente de le confronter. “Boris, qu’est-ce que tu me caches ? Tu n’étais pas censé être avec lui ce soir-là ?” Mais il reste évasif, incapable de soutenir son regard. Son silence en dit long, mais personne n’ose imaginer l’impensable.
L’enquête avance lentement. La police met la main sur une vidéo de surveillance qui montre Eliott et Boris ensemble quelques heures avant le drame. C’est la première fissure dans le mensonge. Becker interroge Boris, qui prétend qu’ils se sont quittés sans heurts. Pourtant, ses incohérences s’accumulent. Yann, flairant quelque chose, insiste : “Tu mens, Boris. Et plus tu attends, plus ce sera difficile pour toi.” Le jeune homme reste muet, visiblement tourmenté.
Au fil des jours, la culpabilité le ronge. Il ne dort plus, ne mange plus, et finit par sombrer dans une spirale de remords. Un soir, incapable de supporter le poids du secret, il se rend au commissariat. Le visage pâle, les mains tremblantes, il demande à voir Manu Becker. Ce dernier le reçoit, surpris par son état. Et c’est là que tout bascule : d’une voix brisée, Boris lâche les mots que personne n’aurait jamais cru entendre. “C’est moi… C’est moi, j’ai tué Eliott Faure.”
Le silence qui suit est glacial. Manu le fixe, abasourdi, tentant de comprendre. “Tu réalises ce que tu dis, Boris ?” – “Oui. Je ne peux plus mentir. C’était un accident… enfin, je crois.” Commence alors un long et terrible récit. Boris explique qu’il avait rejoint Eliott ce soir-là pour une discussion houleuse. Les deux amis s’étaient disputés violemment à propos d’une affaire illégale que Boris voulait abandonner. Eliott, lui, refusait de lâcher prise. Les mots ont dépassé la raison, les gestes se sont faits brusques… jusqu’à ce que le drame survienne.
Selon ses aveux, Boris aurait repoussé Eliott, qui serait tombé lourdement contre une pierre avant de s’effondrer. Pris de panique, il aurait tenté de le ranimer, sans succès. Effrayé, il a fui la scène, incapable de composer le numéro de la police. “Je ne voulais pas le tuer… je voulais juste qu’il m’écoute”, répète-t-il en larmes. Son visage est celui d’un homme brisé, conscient qu’il vient de ruiner sa vie.
Les enquêteurs, partagés entre stupeur et compassion, confirment rapidement certains éléments de sa version. L’autopsie révèle une chute violente, compatible avec ses explications. Mais le procureur reste ferme : même involontaire, il s’agit d’un homicide. Boris est placé en garde à vue, puis mis en examen. La nouvelle se répand comme une traînée de poudre à Montpellier.
Eve, apprenant la confession, est anéantie. “Non… ce n’est pas possible. Boris l’aimait comme un frère !” hurle-t-elle, incapable d’y croire. Pour elle, c’est une double perte : celle de son fils, et celle d’un garçon qu’elle considérait presque comme le sien. Sa colère explose lorsqu’elle croise Boris menotté. “Tu l’as tué ! Tu l’as tué alors qu’il t’aurait tout pardonné !” crie-t-elle, avant de s’effondrer en larmes dans les bras de Manu.
Sam, quant à elle, reste dans un silence glaçant. L’amour qu’elle portait à Eliott se transforme en désespoir absolu. Elle ne comprend pas comment une amitié si forte a pu se terminer dans la tragédie. “Vous deviez veiller l’un sur l’autre, pas vous détruire”, murmure-t-elle en regardant une photo d’eux deux.
Au commissariat, Manu, bouleversé, peine à garder la distance professionnelle nécessaire. Il a vu grandir Boris, il connaît son histoire, ses failles, ses regrets. Il sait que ce meurtre n’était pas prémédité, mais il ne peut pas l’excuser. “Tu as détruit ta vie, et celle de tous ceux qui t’aimaient”, lui dit-il d’une voix lasse.
Dans les dernières minutes de l’épisode, une scène d’une intensité rare clôt ce chapitre tragique. Dans sa cellule, Boris repense à cette nuit fatale. Des flashbacks montrent sa dispute avec Eliott, leurs éclats de voix, la chute, le choc… puis le silence. Les larmes lui montent aux yeux. “Pardon, Eliott… je n’ai jamais voulu ça”, murmure-t-il, écrasé par le poids de la culpabilité.
À l’extérieur, le soleil se lève sur Montpellier, indifférent à la douleur de ceux qu’il éclaire. Eve se rend sur la tombe de son fils, une rose blanche à la main. “Tu étais mon fils, mon combat, ma fierté. Repose en paix”, dit-elle, la voix tremblante. La caméra s’éloigne lentement, laissant derrière elle le visage d’une mère détruite, d’un ami brisé, et d’une ville encore sous le choc.
Avec cet épisode déchirant, Un si grand soleil livre l’un de ses arcs narratifs les plus forts. La mort d’Eliott Faure et les aveux de Boris rappellent à quel point la frontière entre l’amour et la tragédie peut être mince. Ce drame humain, empreint de douleur et de remords, marquera à coup sûr les mémoires des fans. Rien ne sera plus jamais comme avant à Montpellier : l’amitié a tourné au drame, et la lumière du soleil semble, pour un temps, s’être éteinte.