Catherine folle de rage : Muriel a ruiné la vie de Boris – Un si grand soleil 5 novembre 2025 (épisode 1786 – résumé complet USGS)

🎬 Titre : “Un si grand soleil : Catherine hors d’elle, Muriel responsable du naufrage de Boris – La vengeance d’une mère blessée (épisode 1786 du 5 novembre 2025)”

L’épisode du 5 novembre 2025 d’Un si grand soleil plonge les téléspectateurs dans une tempête d’émotions où la colère, la culpabilité et les secrets éclatent de toutes parts. Au cœur de ce drame, Catherine, mère protectrice jusqu’à l’obsession, voit son monde s’effondrer en découvrant que Muriel, la femme qu’elle considérait autrefois comme une amie, est la cause directe de la chute de Boris. Ce nouvel épisode s’impose comme une tragédie moderne, où l’amour maternel vire à la folie et où la vérité devient une arme aussi tranchante que la haine.

Tout commence dans la maison des Leclerc, baignée d’un calme trompeur. Catherine, seule, fixe une photo de son fils Boris. Ses mains tremblent, son regard est dur. Depuis des jours, elle ne dort plus. L’effondrement psychologique de Boris l’a détruite. Elle ne reconnaît plus ce fils qu’elle a élevé dans la rigueur et l’amour. Autrefois plein de vie, Boris n’est plus que l’ombre de lui-même. Et pour Catherine, une seule personne porte la responsabilité de ce désastre : Muriel.

La tension monte dès les premières minutes. On retrouve Muriel, visiblement épuisée, tentant de reprendre le cours de sa vie après les récentes révélations qui ont secoué Sète. Elle s’occupe au bar, essaie de sourire, mais son esprit reste ailleurs. Une discussion avec Chloé révèle sa culpabilité : “J’ai voulu bien faire, mais tout s’est retourné contre moi.” Ce qu’elle ignore, c’est que Catherine a décidé de ne plus se taire.

À l’hôpital, Boris est encore sous surveillance médicale. Sa dépression s’est aggravée, et il refuse de parler. L’équipe médicale, démunie, contacte Catherine pour l’informer de son état. Lorsqu’elle arrive, elle découvre son fils affaibli, le regard vide. “Je suis désolé, maman…” murmure-t-il. Ces mots déclenchent en elle une rage sourde. Elle comprend que Muriel l’a trahi, manipulé, et que tout ce qu’il endure aujourd’hui découle d’une relation toxique qui l’a vidé de toute énergie.

De retour chez elle, Catherine explose. Elle brise des objets, crie, puis se fige face au miroir. “Elle va payer”, murmure-t-elle, la voix glaciale. Ce n’est plus la mère aimante que l’on connaissait, mais une femme consumée par la rancune. Dès lors, son seul but est de confronter Muriel, de lui faire sentir la douleur qu’elle a infligée à son fils.

En parallèle, Alix, témoin involontaire de cette dégringolade émotionnelle, tente d’avertir Muriel. “Tu devrais te méfier, Catherine ne va pas bien. Elle t’en veut à mort.” Mais Muriel refuse d’écouter. Elle croit encore qu’un dialogue est possible, qu’elle pourra expliquer les circonstances, convaincre Catherine que tout n’est pas de sa faute. Cette naïveté va lui coûter cher.

Dans une scène d’une intensité rare, Catherine débarque sans prévenir au cabinet où travaille Muriel. Les deux femmes se retrouvent face à face. Le silence est lourd. Catherine serre les poings, la voix tremblante :
— “Tu savais très bien ce que tu faisais. Tu l’as détruit.”
Muriel tente de se défendre, mais Catherine l’interrompt violemment :
— “Tu lui as menti, tu l’as utilisé ! Mon fils t’aimait, et toi, tu as joué avec lui comme avec un pantin.”

Le ton monte. Muriel, les larmes aux yeux, explique qu’elle n’a jamais voulu de mal à Boris, qu’elle aussi a souffert, qu’elle s’est retrouvée prise dans une spirale d’événements incontrôlables. Mais Catherine ne veut rien entendre. Elle la traite de manipulatrice, d’égoïste, de femme sans cœur. La confrontation dégénère, et Muriel finit par lui demander de partir. Avant de franchir la porte, Catherine lâche une phrase glaçante :
— “Tu m’as volé mon fils. Maintenant, c’est toi qui vas tout perdre.”

Pendant ce temps, à l’hôpital, Boris commence à émerger de sa torpeur. Il se confie à Claire, l’infirmière qui veille sur lui : “Ma mère ne va pas bien… Si elle fait une bêtise, ce sera à cause de moi.” Ces mots résonnent comme une prémonition. Il supplie Claire de prévenir quelqu’un, mais il est trop tard. Catherine a déjà commencé à agir.

Elle se rend chez Muriel en pleine nuit. La pluie tombe, l’atmosphère est oppressante. Muriel, surprise par les coups frappés à sa porte, ouvre, croyant voir un voisin. Elle découvre Catherine, trempée, le regard fou. La tension est à son comble. Catherine entre sans être invitée. “Je veux que tu me regardes dans les yeux et que tu reconnaisses ce que tu as fait.” Muriel tente de la calmer, mais Catherine hurle, la voix déchirée : “Il t’aimait ! Et toi, tu l’as anéanti !”

La scène tourne au drame. Muriel, paniquée, attrape son téléphone pour appeler à l’aide, mais Catherine le lui arrache. “Tu ne t’en tireras pas comme ça.” Les deux femmes se battent, les cris résonnent dans la maison. Finalement, Muriel parvient à s’échapper et se réfugie chez Chloé. Tremblante, elle raconte tout : “Elle est folle, Chloé ! Elle veut ma mort !”

Le lendemain, la police intervient. Manu interroge Muriel, tandis que Becker convoque Catherine. Cette dernière, imperturbable, nie toute intention violente : “Je voulais simplement qu’elle me dise la vérité.” Mais sa colère trahit son discours. Manu, lucide, comprend qu’elle est sur le fil du rasoir. “Vous avez besoin d’aide, Catherine. Si vous continuez, vous allez tout perdre.”

Mais Catherine n’écoute plus personne. Son obsession la pousse à franchir une nouvelle limite. Elle s’introduit discrètement dans le bureau de Muriel et détruit plusieurs documents importants. Un acte de vengeance froide et méthodique. Lorsqu’elle rentre chez elle, elle découvre Boris debout, prêt à partir. “Je veux la voir, maman. Je dois lui parler.” Catherine tente de l’en empêcher, mais Boris est déterminé : “C’est ma faute, pas la sienne.”

Le face-à-face entre Boris et Muriel clôture l’épisode. Muriel, encore bouleversée, s’effondre en le voyant : “Je croyais que tu étais perdu.” Boris, ému, lui répond : “Je le suis encore. Mais je veux comprendre.” Ce dialogue sincère et douloureux marque une tentative de réconciliation fragile. Pourtant, Catherine, cachée à l’extérieur, les observe à travers la vitre. Ses yeux se remplissent de larmes et de rage. “Elle recommence… elle va encore le briser.”

L’épisode se termine sur un plan d’une intensité glaçante : Catherine, seule dans sa voiture, serrant le volant, promet vengeance. Sa voix intérieure résonne : “Tant qu’elle sera là, il ne guérira jamais.” La caméra s’éloigne sur la route détrempée de Montpellier, laissant planer le doute sur ce qu’elle s’apprête à faire.

Ce 1786ᵉ épisode d’Un si grand soleil offre une plongée vertigineuse dans les ténèbres de l’amour maternel et de la culpabilité. Catherine, figure tragique, devient à la fois victime et bourreau, tandis que Muriel affronte les conséquences de ses choix passés. La guerre entre ces deux femmes promet d’embraser les prochains épisodes, dans un crescendo d’émotions où la frontière entre justice et folie s’efface peu à peu.

(Spoiler complet – environ 900 mots, sans lien)