Demain nous appartient, le résumé en avance du vendredi 28 novembre : Georges est mis à pied
🔥 Demain Nous Appartient – Spoiler : Georges suspendu, une enquête explosive fait vaciller tout Sète (Résumé anticipé du 28 novembre)
L’épisode du vendredi 28 novembre s’ouvre dans un climat électrique où chaque personnage semble au bord de la rupture. Les conséquences de l’enquête en cours frappent de plein fouet Georges, dont la vie professionnelle — et personnelle — bascule soudain dans une zone de turbulences extrêmes. Rien ne se déroule comme prévu, et les événements s’enchaînent avec une intensité qui laisse peu d’espace pour respirer.
Le public retrouve Georges dès les premières minutes, visiblement tendu, tentant de masquer son stress derrière un calme apparent. Pourtant, ceux qui le connaissent voient clair dans son jeu. Martin Constant lui-même remarque son agitation inhabituelle. Georges assure qu’il va bien, mais ses mains tremblent lorsqu’il consulte son téléphone, comme s’il redoutait un message — ou une convocation — qui pourrait tout faire voler en éclats.
Un début de journée qui tourne au cauchemar
Alors qu’il s’apprête à prendre son service au commissariat, Georges est intercepté par Martin, dont le visage fermé annonce immédiatement une mauvaise nouvelle. Le ton est grave, presque solennel. Il lui demande de le suivre dans son bureau, à l’écart des regards. Georges s’exécute, mais son instinct lui souffle déjà que la suite ne sera pas une simple mise au point.
À peine la porte fermée, Martin lui tend un dossier. Georges le parcourt, les sourcils froncés. Ce qu’il y découvre le sidère : une réclamation officielle, déposée contre lui, dans le cadre de l’enquête qu’il mène depuis plusieurs jours. On l’accuse d’avoir outrepassé ses fonctions, d’avoir manipulé des preuves et d’avoir enfreint le protocole. Les accusations sont lourdes, injustes selon lui, mais elles suffisent à justifier des mesures disciplinaires.
Le couperet tombe. Avec une froideur dictée par son devoir, Martin lui annonce qu’il est mis à pied à titre conservatoire. Le sol se dérobe sous les pieds de Georges.

Les retombées immédiates : un choc collectif
La nouvelle circule rapidement au sein du commissariat, créant une onde de choc. Certains agents sont incrédules, d’autres murmurent déjà des hypothèses. Parmi eux, Sara Raynaud peine à cacher sa colère et son inquiétude. Elle tente de parler à Martin, convaincue que Georges ne ferait jamais rien de contraire à l’éthique, mais la décision est irrévocable pour le moment.
Sara rejoint ensuite Roxane Thiemen pour partager la nouvelle. Cette dernière accuse le coup : Georges est un ami proche, presque un membre de la famille pour elle. L’idée qu’il soit injustement ciblé lui est insupportable. Elle soupçonne immédiatement qu’un piège lui a été tendu, qu’un tiers tente de détourner l’enquête en plaçant Georges au centre d’un faux scandale.
Georges se retrouve face à l’impensable
De son côté, Georges quitte le commissariat – désormais en tant que simple civil – avec une boule au ventre. Il ne comprend pas qui pourrait vouloir le discréditer. Son esprit tourne en boucle : a-t-il laissé une faille ? quelqu’un a-t-il eu accès à ses dossiers ? un témoin a-t-il menti pour le compromettre ?
Il repense à sa dernière interrogation musclée, à certains détails qu’il a peut-être négligés. Il sait que la moindre ambiguïté peut être exploitée. Mais il ne s’attendait pas à être accusé aussi violemment. Et ce qui le ronge le plus, c’est de ne pas pouvoir poursuivre l’enquête qu’il avait commencé à assembler patiemment.
Une enquête qui dérape
Alors que Georges tente de remettre de l’ordre dans ses pensées, le commissariat continue de travailler sur l’affaire qu’il avait initiée. Martin confie la suite de l’investigation à Aurore Jacob, convaincu qu’elle pourra faire avancer les choses avec rigueur. Mais très vite, elle remarque que certains éléments du dossier semblent avoir été modifiés ou déplacés. Des incohérences apparaissent dans les rapports, comme si une main anonyme avait infiltré l’enquête pour brouiller les pistes.
Aurore en parle à Martin. Lui aussi commence à douter : et si Georges n’était pas fautif, mais victime ? Mais à ce stade, la procédure disciplinaire est lancée, et ils ne peuvent qu’avancer avec prudence.
Roxane enquête officieusement
Convaincue que Georges est piégé, Roxane décide de fouiller discrètement. Grâce à ses compétences en informatique, elle analyse l’historique des fichiers liés à l’affaire. Elle découvre des connexions suspectes, des modifications effectuées à des horaires où Georges n’était même pas au commissariat. Mais cette découverte ne peut pas être utilisée officiellement — elle ne respecte aucun protocole.
Elle hésite : doit-elle en parler à Aurore ou à Martin ? Ou doit-elle aller plus loin, quitte à franchir elle-même les limites légales ?
Un autre personnage jette de l’huile sur le feu
Pendant ce temps, un témoin clé de l’enquête, Violette Raynaud, apporte une nouvelle déclaration. Mais son témoignage est confus, presque contradictoire avec celui donné plus tôt. Aurore perçoit immédiatement qu’on lui met la pression ou qu’elle est manipulée. La simple idée que quelqu’un puisse orchestrer tous ces mouvements pour orienter l’enquête accable encore un peu plus l’équipe.
Georges affronte un dilemme personnel
Isolé, amer, Georges retourne chez lui. Roxane et Sara viennent le voir le soir même pour le rassurer, mais il reste convaincu qu’il a été trop naïf. Il oscille entre colère et résignation. À un moment, il confie qu’il a pensé à tout abandonner : “Peut-être que la police n’est plus faite pour moi.” Une phrase qui glace les deux femmes.
Roxane refuse de le laisser sombrer et lui dit qu’elle prouvera son innocence, coûte que coûte. Mais Georges sait que, même si la vérité éclate, sa carrière sera marquée par cette mise à pied.
Fin d’épisode : un retournement brutal
Juste avant la fin, un élément inattendu surgit : Aurore reçoit un rapport technique qui confirme que le dossier de l’enquête a été altéré extérieurement. Ce n’est plus un doute, mais un fait.
Elle échange un regard lourd avec Martin. L’idée est désormais évidente : quelqu’un a saboté l’enquête pour faire tomber Georges.
L’épisode se clôt sur cette révélation inquiétante, laissant planer une question :
Qui a intérêt à détruire la carrière de Georges ? Et jusqu’où ira cette personne ?