Demain nous appartient : Marceau va se venger de Bastien pour de bon… Personne ne pouvait imaginer son plan
Voici un spoiler complet d’environ 900 mots, sans lien, dans le style dramatique et immersif d’un résumé d’épisode :
Demain nous appartient : Marceau va se venger de Bastien pour de bon… Personne ne pouvait imaginer son plan
Dans cet épisode saisissant de Demain nous appartient, les tensions atteignent un niveau inédit. Les masques tombent, les rancunes explosent, et les esprits s’embrasent. Marceau, rongé par la colère et l’humiliation, prépare sa vengeance contre Bastien, celui qu’il considère comme la source de sa chute. Ce qu’il a prévu dépasse tout ce que les habitants de Sète pouvaient imaginer.
L’épisode débute au lever du jour, dans une atmosphère pesante. Le port de Sète est encore enveloppé de brume, symbole d’un mystère qui s’épaissit. Marceau, seul dans sa voiture, fixe l’horizon. Son regard est vide, mais ses pensées bouillonnent. Depuis des semaines, il rumine sa haine. Bastien lui a tout pris — sa réputation, ses amis, sa tranquillité. Ce matin, il en est convaincu : il ne peut plus reculer. Aujourd’hui, il va reprendre le contrôle… à sa manière.
Pendant ce temps, Bastien mène une vie presque normale. Il pense que les choses se sont apaisées depuis le scandale qui a secoué le lycée. Il a repris son travail, retrouve ses proches, tente de se reconstruire. Mais quelque chose le ronge : un sentiment diffus que tout n’est pas terminé. La mise en scène accentue ce malaise, avec des plans serrés sur son regard inquiet, ses gestes nerveux. Sa sœur, Manon, le sent perturbé et tente de le rassurer. « Marceau a disparu de la circulation, tout ça, c’est du passé », lui dit-elle. Bastien acquiesce, sans vraiment y croire.
À la station de police, Martin reçoit un appel anonyme signalant des comportements suspects près de la marina. Un témoin aurait aperçu un homme chargé de sacs lourds, rôdant près des entrepôts abandonnés. Karim et Nordine partent vérifier, pensant à un cambriolage ordinaire. Mais la découverte qu’ils s’apprêtent à faire changera tout. Dans un recoin sombre, ils trouvent des plans, des outils, et des photos… de Bastien. Marceau n’a pas disparu. Il prépare quelque chose de précis, méticuleux, calculé.
L’épisode prend alors une tournure haletante. Tandis que la police tente de comprendre les intentions de Marceau, celui-ci passe à l’action. Il s’introduit dans un hangar où Bastien doit se rendre pour un chantier. L’endroit est désert, silencieux, parfait pour un face-à-face. Marceau installe son piège avec sang-froid : des câbles, une caméra, un dispositif de verrouillage automatique. Rien n’est laissé au hasard. On découvre à quel point il a planifié chaque détail, comme un stratège obsédé par son objectif.
En parallèle, Chloé et Alex, au courant des tensions entre les deux hommes, sentent que quelque chose de grave se prépare. Chloé tente de prévenir Bastien, mais il ne décroche pas. Trop occupé, trop confiant, il ignore le danger. Pendant ce temps, Martin comprend qu’ils ont affaire à une vengeance personnelle. « Il ne veut pas le tuer tout de suite », dit-il à Karim. « Il veut qu’il souffre d’abord. » Ces mots glacials résonnent comme un avertissement.
Lorsque Bastien arrive enfin au hangar, il ne se doute de rien. Il avance, appelle, cherche le responsable du chantier. Puis la porte se referme derrière lui, brusquement. Le bruit métallique du verrou retentit. Bastien comprend trop tard qu’il est pris au piège. Une lumière s’allume, et la voix de Marceau retentit dans les haut-parleurs. « Tu pensais que tu pouvais me détruire sans conséquence ? » Bastien regarde autour de lui, paniqué. Sur les murs, des photos de lui, de sa famille, de ses amis. Marceau a tout collecté, chaque souvenir, chaque faiblesse.
La scène qui suit est d’une intensité rare. Marceau apparaît enfin, dans l’ombre. Le dialogue entre les deux hommes devient un véritable duel psychologique. Bastien tente de raisonner son ancien ami, lui parle de pardon, de seconde chance. Mais Marceau n’écoute plus. Son esprit est consumé par la vengeance. « Tu m’as humilié, Bastien. Tu m’as tout pris. Maintenant, c’est ton tour de perdre. » Sa voix tremble, à mi-chemin entre la rage et la douleur.
Pendant ce temps, la police, grâce au signal GPS du téléphone de Bastien, localise sa position. Karim et Nordine foncent sur les lieux, tandis que Martin coordonne l’opération. L’adrénaline monte. Le spectateur sent que chaque seconde compte. Dans le hangar, la tension atteint son apogée : Marceau force Bastien à avouer ce qu’il considère comme une trahison. Bastien, désespéré, finit par crier la vérité : il n’a jamais voulu le nuire. Ce qui s’est passé était un accident, une erreur de jugement. Mais Marceau n’y croit pas.
Le face-à-face dégénère. Une lutte éclate. Le dispositif piégé se déclenche, un feu se déclare, les flammes se propagent. Marceau, pris au piège de sa propre folie, tente de s’enfuir. Bastien, malgré la peur, essaie de l’aider. Ce renversement inattendu bouleverse le spectateur : la victime devient sauveteur, le bourreau perd pied. Dans une scène poignante, Bastien parvient à sortir Marceau du hangar en flammes, juste avant l’explosion.
À l’extérieur, les policiers arrivent à temps pour les secourir. Marceau, blessé et en état de choc, murmure : « Pourquoi tu m’as sauvé ? » Bastien, épuisé, répond simplement : « Parce que je ne voulais pas te ressembler. » Ces mots résonnent comme une leçon de morale sur la vengeance, qui finit toujours par consumer celui qui la nourrit.
Plus tard, à l’hôpital, Chloé rend visite à Bastien. Elle lui confie combien tout le monde a eu peur pour lui. Martin, en observant Marceau sous surveillance policière, déclare à Karim : « Il voulait détruire une vie, et c’est la sienne qu’il a réduite en cendres. » La caméra s’attarde sur le visage de Marceau, perdu, vide, conscient trop tard de l’ampleur de ses actes.

L’épisode se conclut sur un plan symbolique : le hangar, réduit en ruines, fumant encore. Le vent disperse les cendres, comme pour effacer les traces de cette folie. Mais une phrase en voix off rappelle que rien n’est vraiment fini : « Le mal, quand il s’installe dans le cœur, ne disparaît jamais totalement. »
Ce nouvel épisode de Demain nous appartient explore avec brio les ravages de la rancune et la frontière ténue entre justice et vengeance. Marceau, en cherchant à se venger, n’a fait que s’enfermer dans sa propre prison intérieure. Bastien, lui, en choisissant le pardon, prouve qu’il existe toujours une issue — mais qu’elle se paie cher.
Dans cette bataille morale et humaine, personne n’en sort indemne. Et à Sète, tous savent désormais qu’un seul geste, une seule erreur, peut suffire à faire basculer une vie entière.
Souhaitez-vous que je rédige l’épisode suivant, comme une suite directe de cette vengeance ?