Demain Nous Appartient spoiler : Jack et Lizzie assistent à un drame ! (vidéo épisode du 9 décembre)
Demain Nous Appartient – Spoiler explosif : Jack et Lizzie témoins d’un drame qui change tout (Épisode du 9 décembre)
L’épisode du 9 décembre de Demain Nous Appartient s’annonce comme l’un de ceux qui marqueront durablement les téléspectateurs. Ce chapitre, construit comme un crescendo dramatique, place Jack et Lizzie au cœur d’un événement qui dépasse tout ce qu’ils ont connu jusqu’ici. Ce qu’ils vont voir — ou plutôt subir — va secouer Sète, bouleverser plusieurs personnages, et ouvrir une intrigue sombre où secrets, culpabilité et manipulations vont se mêler.
Tout commence tôt le matin, avec une ambiance pourtant légère. Jack et Lizzie se préparent pour une répétition musicale au studio de Gabriel. Lizzie, enthousiaste, parle d’un projet de cover qu’elle souhaite enregistrer, tandis que Jack, plus préoccupé, essaie de masquer un malaise interne qu’il n’a pas encore confessé à sa sœur. Entre eux, la complicité est intacte, mais on sent dès les premières minutes que quelque chose couve.
Pendant que les jumeaux s’organisent, au commissariat, l’atmosphère est toute autre. Martin, après une brève réunion, informe son équipe qu’un individu recherché depuis plusieurs semaines aurait été repéré non loin du parc des Amandiers. Aurore, persuadée que l’affaire est liée à une série d’actes de vandalisme récents, demande à mener les investigations elle-même. Mais Karim, méfiant, insiste pour l’accompagner. Cette tension policière va se rejoindre, bien malgré elle, à la trajectoire des jumeaux.

Du côté de Chloé, une inquiétude diffuse s’installe. La veille, elle a reçu un message anonyme contenant une photo floue du lycée, prise de nuit, accompagnée d’un texte ambigu : « Ils doivent voir ce que vous avez ignoré. » Elle hésite à en parler à Alex, préférant croire à une mauvaise plaisanterie. Mais son instinct lui souffle que quelque chose cloche.
Pendant ce temps, Jack et Lizzie sortent du studio après leur répétition et décident de passer par le port pour acheter un goûter avant de rentrer. Le soleil commence à décliner, la lumière se fait plus dorée, la ville semble paisible. C’est précisément à ce moment-là qu’un détail les alerte : un bruit sec, violent, suivi d’un écho métallique provenant d’un hangar désaffecté à quelques mètres d’eux. D’abord hésitants, les jumeaux se rapprochent, pensant qu’il s’agit d’un simple accident ou d’un animal coincé.
Mais une fois devant la porte entrouverte, tout bascule.
À l’intérieur, ils assistent à une scène qu’ils n’auraient jamais dû voir : un homme est au sol, blessé, tandis qu’une silhouette encapuchonnée l’enjambe avant de prendre la fuite par l’arrière du bâtiment. Durant un long instant, Jack et Lizzie restent paralysés par la surprise et l’effroi. Lizzie lâche un cri, ce qui pousse la silhouette à se retourner un bref instant — sans qu’ils puissent distinguer son visage. Ce simple mouvement, pourtant, suffit à marquer un tournant : désormais, ils savent qu’ils ont été vus.
La panique s’installe immédiatement. Lizzie, en pleurs, veut partir au plus vite, mais Jack, malgré sa peur, refuse de laisser l’homme agonisant. Il s’approche, constate qu’il respire encore mais qu’il perd énormément de sang. Sans réfléchir, il appelle les secours. Sa voix tremble mais il parvient à donner sa position. Lizzie, elle, fixe l’entrée, redoutant que l’agresseur revienne.
Quelques minutes plus tard, Aurore et Karim, déjà en patrouille tout près du port, sont les premiers à arriver. Ils découvrent la scène à peine croyable : les jumeaux livides, l’homme inconscient, et des traces évidentes d’une lutte violente. Aurore tente de rassurer Lizzie qui peine à reprendre son souffle, tandis que Karim vérifie l’état de la victime. La situation se révèle encore plus grave lorsqu’ils identifient enfin l’homme blessé : il ne s’agit pas d’un inconnu, mais d’Antoine Derval, un ancien journaliste local récemment revenu à Sète pour un projet mystérieux.
Sa présence ici, dans un hangar abandonné, ne peut être un hasard.
Pendant que les secours prennent le relais, Aurore interroge rapidement Jack. Il tente d’être précis, mais il est encore sous le choc. Une information, cependant, retient toute l’attention d’Aurore : Jack affirme avoir reconnu le manteau sombre porté par l’agresseur. Selon lui, il pourrait appartenir à un homme aperçu à proximité du lycée quelques jours plus tôt. S’agit-il de la même personne que celle qui a envoyé le message à Chloé ?
De son côté, Lizzie, trop bouleversée pour parler, reste serrée contre Martin, arrivé pour épauler son équipe. Elle tremble encore, convaincue que la silhouette qui les a vus reviendra pour les empêcher de parler. Martin tente de la rassurer, mais son regard indique qu’il partage cette inquiétude.
Au même moment, l’hôpital se prépare à accueillir Antoine Derval. Victoire prend en charge la victime et informe immédiatement ses collègues que son état est critique. Elle remarque également des marques étranges sur ses poignets — comme s’il avait été attaché avant l’agression. Cela fait naître l’hypothèse qu’il était en train d’enquêter sur quelque chose de dangereux… ou qu’il détenait des informations que quelqu’un voulait absolument faire disparaître.
L’épisode prend un tournant encore plus sombre lorsque Chloé, avertie par Aurore que ses enfants ont été témoins d’un drame, accourt au commissariat. Elle découvre Lizzie en état de choc, et Jack tentant de garder contenance pour sa sœur. Les mots qu’ils prononcent — « il nous a vus », « il voulait le tuer », « on a entendu un bruit comme si… » — transpercent Chloé qui réalise que ses enfants viennent peut-être d’être mêlés à une affaire bien plus vaste qu’elle ne le pensait.
La scène finale de l’épisode renforce encore le suspense : dans une ruelle sombre, la silhouette encapuchonnée observe de loin le bâtiment du commissariat. Ses mains tremblent légèrement, mais sa posture indique une détermination glaçante. On le voit déposer quelque chose dans une boîte aux lettres — une enveloppe destinée à Aurore. L’épisode se termine sur un zoom inquiétant : à travers le papier léger, on distingue vaguement la forme d’une clé USB.
Un signe évident que ce drame n’était que la première étape.