Ici tout commence : Bérénice prépare sa demande en mariage mais Carla est au plus mal, rien ne se passe comme prévu (voir commentaire)

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Ici tout commence : Bérénice prépare sa demande en mariage mais Carla est au plus mal, rien ne se passe comme prévu (voir commentaire)

L’épisode à venir d’Ici tout commence promet une avalanche d’émotions à l’Institut Auguste Armand. Alors que Bérénice s’apprête à franchir l’une des étapes les plus importantes de sa vie en préparant une demande en mariage romantique, Carla, elle, sombre dans une spirale d’angoisse et de doutes. Entre amour, maladresses, révélations et blessures profondes, rien ne va se dérouler comme prévu.

Une demande en mariage pleine de sincérité

Depuis plusieurs jours, Bérénice a une idée fixe : demander Carla en mariage. Son amour pour elle est sincère, fort, et après les tempêtes qu’elles ont traversées, elle veut officialiser leur union. Soutenue par Souleymane et Maya, elle imagine un moment inoubliable, fait de simplicité et d’émotion, à son image.
Mais derrière son enthousiasme, Bérénice cache une peur : celle de ne pas être à la hauteur. Perfectionniste, elle veut que tout soit parfait, du lieu à la mise en scène, jusqu’aux moindres détails culinaires. Elle sollicite même l’aide de Clotilde, qui la guide pour créer un repas d’exception, symbole de leur histoire.

Carla en crise : un bonheur impossible ?

Pendant ce temps, Carla vit des jours sombres. Derrière son sourire apparent, elle cache un profond mal-être. Les événements récents l’ont fragilisée, et la perspective d’un avenir à deux réveille ses insécurités. Si elle aime Bérénice plus que tout, elle ne parvient pas à se sentir digne de cet amour.
En coulisses, Mehdi remarque que quelque chose ne va pas. Il tente d’en parler à Bérénice, mais cette dernière, absorbée par les préparatifs, ne voit rien. Pour elle, Carla sera simplement émue par la surprise. Pourtant, les signaux sont là : absences, sautes d’humeur, crises de larmes silencieuses… Carla est au bord de l’effondrement.

L’annonce du grand jour

La journée de la demande arrive. L’Institut s’agite autour du festival culinaire d’Alice, mais Bérénice, discrète, s’éclipse pour tout mettre en place. Dans le parc, elle installe une table décorée de fleurs, de bougies et de photos souvenirs. Un moment suspendu dans le temps, conçu avec un soin presque douloureux.
Pendant ce temps, Carla, encore ignorante du projet, se confie à Billie : elle avoue se sentir inutile et dépassée. “J’ai l’impression que tout le monde avance sauf moi”, dit-elle. Billie tente de la rassurer, mais rien n’y fait. Carla s’enferme dans une spirale d’auto-dévalorisation.
C’est alors que Maya arrive pour l’emmener “quelque part”. Elle invente un prétexte, prétextant un test culinaire collectif, et Carla finit par la suivre, sans se douter de ce qui l’attend.

Une surprise qui vire au malaise

Lorsqu’elle découvre le décor préparé par Bérénice, Carla reste figée. Le moment est magnifique : les lumières, la musique douce, le regard tendre de Bérénice qui lui prend la main. Tout semble réuni pour un instant parfait. Bérénice se lance, tremblante, les yeux brillants : “Carla, tu es la personne que j’aime plus que tout au monde. Veux-tu m’épouser ?”
Mais au lieu des larmes de joie espérées, un long silence s’installe. Carla recule, bouleversée. Elle bredouille quelques mots, incapable de répondre. Les émotions se mélangent : surprise, panique, culpabilité. Le choc est total.
Bérénice, désorientée, tente de comprendre. “Tu ne veux pas ?” demande-t-elle, la voix brisée. Carla s’effondre : “Je ne peux pas… pas maintenant.”

La chute

Le rêve tourne au cauchemar. Bérénice, anéantie, s’isole dans les jardins. Elle croyait offrir un moment d’amour, mais se retrouve face à un refus qu’elle n’avait pas imaginé. Pendant ce temps, Carla s’enfuit dans sa chambre, en proie à une crise de panique.
C’est Antoine, témoin de la détresse de Bérénice, qui tente de la réconforter. Il lui explique que parfois, les blessures de l’autre ne permettent pas de recevoir l’amour, même quand il est sincère. Mais les mots ont du mal à apaiser la douleur.

Le secret de Carla

Le lendemain, la vérité éclate. Dans une discussion poignante avec Maya, Carla révèle ce qui la ronge : “Je ne me sens pas assez bien pour elle. J’ai peur de tout gâcher, comme d’habitude.” Maya comprend alors que le refus n’a rien à voir avec l’amour, mais avec le manque de confiance de Carla en elle-même.
Bérénice, de son côté, apprend la nouvelle par hasard en surprenant une conversation. Au lieu de se vexer, elle décide de se battre. Elle écrit une lettre à Carla, pleine de tendresse, dans laquelle elle lui dit qu’elle l’attendra, peu importe le temps que cela prendra.

Une réconciliation pleine d’émotion

Le soir, Carla retrouve Bérénice dans les cuisines, là où tout a commencé entre elles. Les deux femmes s’observent en silence avant que Carla n’éclate en sanglots. “Je t’aime, mais je suis perdue.” Bérénice la prend dans ses bras, sans un mot. C’est un moment de grâce, simple et sincère.
Elles décident de remettre leur projet à plus tard, mais promettent de continuer à avancer ensemble, à leur rythme. “Je ne veux pas te perdre”, dit Bérénice. “Tu ne me perdras pas. Juste… attends-moi un peu”, répond Carla.

Les répercussions à l’Institut

Cet épisode bouleverse tout l’Institut. Les élèves, touchés par la sincérité du couple, réalisent combien les apparences peuvent être trompeuses. Même Teyssier, pourtant peu enclin à l’émotion, glisse un commentaire ironique mais bienveillant : “L’amour, c’est comme un plat : trop pressé, il tourne.”
Clotilde, fière de Bérénice, la félicite pour sa maturité. “Tu as su aimer sans forcer, et c’est la plus belle preuve d’amour”, lui dit-elle. Pendant ce temps, Billie et Maya organisent un petit dîner pour redonner le sourire à Carla, qui retrouve peu à peu confiance.

Un avenir incertain, mais porteur d’espoir

L’épisode se conclut sur une note douce-amère. Si la demande n’a pas abouti, elle a ouvert un dialogue sincère entre les deux jeunes femmes. Le spectateur comprend que leur histoire n’est pas terminée : elle entre dans une nouvelle phase, plus mature, plus fragile aussi.
Au loin, on aperçoit Bérénice observant Carla en train de rire avec ses amis. Son sourire est discret, mais vrai. Elle sait que le moment viendra, tôt ou tard. Et lorsqu’il viendra, ce sera le bon.

À l’Institut Auguste Armand, les histoires d’amour se vivent souvent entre la passion et la douleur, mais celle de Bérénice et Carla prouve une fois de plus que les plus beaux sentiments sont ceux qui prennent leur temps.