Ici tout commence : ce qui vous attend dans l’épisode 1317 du lundi 1er décembre 2025 [SPOILERS]

 


Ici Tout Commence – L’Heure Suspendue : le jour où Pénélope s’effondre (SPOILERS épisode 1317, 1er décembre 2025)

Le film s’ouvre sur une atmosphère inhabituellement lourde à l’Institut Auguste Armand, comme si un souffle d’inquiétude avait envahi les cuisines avant même que les premiers étudiants ne franchissent les portes. Ce lundi 1er décembre, pourtant banal en apparence, va se transformer en une journée charnière, où chaque geste, chaque regard, chaque décision conduira à un événement tragique que personne n’aurait pu prévoir.

Le récit s’amorce avec Pénélope Lemoine, concentrée dans le laboratoire de pâtisserie. Elle prépare une création culinaire pour un examen blanc crucial. Tout semble aller parfaitement — du moins en surface. Mais la caméra s’attarde sur ses mains légèrement tremblantes, sur les ombres sous ses yeux, sur ce soupir qu’elle retient à peine. Pénélope ne se sent pas bien depuis plusieurs jours. Elle l’a caché, se répétant que ce n’était “que de la fatigue”, qu’elle “tiendrait le coup”.

Mais aujourd’hui, son corps ne lui laissera plus le choix.

Pendant ce temps, Bérénice Leclerc s’affaire dans l’amphithéâtre pour préparer une présentation. Elle plaisante avec quelques camarades, mais son esprit revient sans cesse à Pénélope. Elle a remarqué son état, ses absences, son essoufflement. Bérénice hésite à en parler à un professeur, mais se ravise : Pénélope déteste qu’on s’inquiète pour elle. Elle se dit que ce n’est probablement rien… Un mauvais calcul, dont les conséquences n’apparaîtront que trop tard.

Dans les cuisines, Hortense Rochemont et Eliott Prévost tentent d’apaiser la tension grandissante entre les brigades. Les examens approchent, et chacun ressent la pression. Mais même eux remarquent que quelque chose cloche chez Pénélope. Hortense insiste pour qu’elle prenne une pause. Pénélope sourit faiblement, promet qu’elle va bien… puis retourne à son plan de travail.

La mise en scène devient alors plus serrée, presque oppressante. Les bruits de cuisine se fondent, étouffés par un bourdonnement sourd. La caméra suit Pénélope de très près, capturant chaque respiration qui se raccourcit, chaque geste qui se ralentit. Son cœur cogne, de plus en plus fort. Une main sur le plan de travail, elle tente de reprendre son souffle. Personne ne la regarde à ce moment précis. Tout le monde est absorbé par sa propre préparation. Et c’est précisément là que la tragédie se scelle.

Le film change brusquement de rythme. Pénélope vacille. Ses yeux se voilent. La spatule qu’elle tient tombe au sol dans un bruit métallique qui coupe brièvement les conversations. Elle porte une main à sa poitrine, souffle un “non…” presque inaudible… puis s’effondre lourdement.

La panique éclate immédiatement. Hortense hurle son nom, Eliott se précipite. Le chef le plus proche ordonne d’appeler les secours, mais ses mains tremblent en cherchant son téléphone. La cuisine, si disciplinée d’ordinaire, devient un chaos total. Bérénice, alertée par des cris, accourt et s’immobilise en voyant Pénélope immobile sur le sol. Son visage se fige dans une expression de terreur brute.

Les minutes qui suivent sont filmées comme un compte à rebours. Leur intensité contraste avec le silence presque religieux qui s’installe autour du corps de Pénélope. Hortense tente de la ranimer, suivant des gestes appris lors d’un cours de premiers secours. Eliott lui parle, comme si la voix pouvait ramener quelqu’un du bord du gouffre. “Tiens bon… Pénélope, ouvre les yeux… regarde-moi…” Il tremble, mais s’accroche.

L’arrivée de Clotilde Armand ajoute une couche dramatique supplémentaire. Elle observe la scène quelques secondes, consciente que chaque détail compte. Ses directives sont fermes, chirurgicales. Elle organise l’espace, calme les étudiants paniqués, et s’efforce de maintenir un minimum de contrôle. Mais son regard trahit l’inquiétude profonde qu’elle tente de dissimuler.

Lorsque les secours arrivent enfin, l’ambiance change de nouveau. Les ambulanciers prennent le relais, mais leurs échanges à voix basse sont lourds de sens. Une crise cardiaque à cet âge-là… l’idée est impensable, et pourtant, c’est bien ce qu’ils soupçonnent.

La scène suivante transporte le spectateur à l’hôpital, où la tension ne se relâche pas. L’équipe médicale annonce un pronostic réservé. Pénélope est dans un état critique, plongée dans une urgence vitale. Les étudiants sont regroupés dans le hall, certains pleurent, d’autres restent silencieux, sidérés. Les professeurs, eux, oscillent entre culpabilité et impuissance.

Bérénice craque en premier. Elle avoue à Hortense qu’elle savait que Pénélope n’allait pas bien, qu’elle aurait dû parler, qu’elle aurait pu éviter ça. Hortense tente de la rassurer, mais elle-même est rongée par le doute. Et si c’était elle qui avait manqué quelque chose ? Un signe ? Une parole non dite ? Le film insiste lourdement sur cette culpabilité collective, cette prise de conscience que parfois, on voit les symptômes… mais on choisit de ne pas regarder vraiment.

Un silence s’installe à l’approche de Antoine Myriel, qui revient de l’hôpital après avoir parlé avec les médecins. Son visage est grave. Il annonce que Pénélope a été prise en charge juste à temps, mais que son état demeure extrêmement fragile. Les prochaines heures seront décisives. Un murmure traverse l’assemblée. Est-elle morte ? Est-elle sauvée ? La frontière semble si mince que personne n’ose poser la question à haute voix.

La mise en scène du film alterne ensuite entre des images de Pénélope inconsciente, branchée à des machines qui rythment son souffle artificiel, et les réactions des autres personnages. Chacun exprime à sa manière la peur de la perdre. Certains s’effondrent, d’autres se replient, d’autres encore cherchent un coupable. La musique, douce et lancinante, accentue le sentiment de fragilité extrême.

Le film se clôt sur une note volontairement ambiguë. Antoine sort de la chambre de Pénélope, son visage impossible à déchiffrer. Les étudiants se lèvent d’un seul mouvement, suspendus à ses lèvres. Il ouvre la bouche… puis la caméra coupe avant l’annonce finale, laissant le spectateur dans un suspense insoutenable.

Pénélope survivra-t-elle ? Ou l’Institut s’apprête-t-il à affronter l’une de ses pertes les plus tragiques ?