Ici tout commence du 22 octobre : ça tourne au drame pour Carla ! (résumé + vidéo épisode 1290 en avance)

D’accord. Voici un spoiler complet d’environ 900 mots pour le film intitulé :


Ici tout commence du 22 octobre : ça tourne au drame pour Carla ! (SPOILER)

L’épisode du 22 octobre s’ouvre dans une atmosphère lourde et chargée d’émotions à l’Institut Auguste Armand. Alors que les élèves s’affairent dans les cuisines, une tension palpable s’installe : Carla, d’ordinaire pleine d’assurance, semble ailleurs. Depuis son récent malaise, rien ne va plus pour la jeune femme. Ses proches s’inquiètent, et son comportement étrange intrigue tout le monde. Ce jour-là, l’impensable va se produire : un drame qui marquera durablement la vie de plusieurs protagonistes.

Dès les premières minutes, on retrouve Carla dans le parc, le regard vide, désorientée. Bérénice, bouleversée, tente de la rejoindre. Mais Carla ne la reconnaît pas. L’amnésie semble totale. La jeune femme, déboussolée, peine à comprendre où elle se trouve. Bérénice, d’abord convaincue qu’il s’agit d’une mauvaise blague, réalise peu à peu que la situation est grave. Elle appelle aussitôt Constance, qui accourt pour venir en aide à Carla. L’infirmière comprend rapidement que la perte de mémoire est réelle et alerte immédiatement les professeurs.

Dans les couloirs, la rumeur se propage : Carla aurait tout oublié, y compris sa relation avec Bérénice. Cette révélation bouleverse l’équilibre du couple. Bérénice, effondrée, ne sait plus comment réagir face à celle qu’elle aime et qui ne la reconnaît plus. Jim, toujours prompt à défendre Carla, entre en conflit avec Bérénice. Il reproche à cette dernière de ne pas voir l’évidence : Carla a besoin d’aide, pas de reproches. Mais les tensions montent, et chacun cherche à comprendre ce qui a bien pu provoquer cette amnésie soudaine.

Pendant ce temps, Constance informe Antoine et Rose de la situation. Tous se demandent s’il ne s’agit pas d’un choc post-traumatique. Récemment, Carla avait montré des signes de fatigue intense et des vertiges. Son malaise de la veille aurait-il déclenché quelque chose de plus profond ? Rose, inquiète, pense à des antécédents familiaux. Mais sans dossier médical complet, difficile d’en savoir plus. Antoine, pragmatique, décide de suspendre Carla temporairement des cours de cuisine, le temps que son état se stabilise.

Dans la cuisine pédagogique, la tension est à son comble. Les élèves chuchotent, certains par compassion, d’autres par curiosité malsaine. Maya, toujours franche, tente de calmer les rumeurs : « Ce n’est pas un jeu, Carla ne va pas bien ». En parallèle, Malik, plus discret, se remémore le jour où il avait vu Carla s’effondrer. Il confie à Jim qu’il a remarqué quelque chose d’étrange dans son attitude juste avant le malaise. Un détail le hante : Carla semblait fuir quelqu’un ou quelque chose.

Pendant ce temps, Constance et le docteur Lenglart examinent Carla. Son état neurologique paraît stable, mais la perte de mémoire persiste. Aucun souvenir ne remonte, pas même son prénom. Lorsque Bérénice lui tend une photo d’elles deux ensemble, Carla la regarde comme une étrangère. La douleur est insoutenable pour Bérénice, qui quitte la pièce en larmes. Dans le couloir, Jim la rejoint, mais leur échange tourne court. La colère, la tristesse et la peur se mêlent à la confusion générale.

L’après-midi, Rose rend visite à Carla. Elle tente une approche douce, espérant réveiller des souvenirs enfouis. Mais rien n’y fait. Carla reste distante, presque méfiante. Elle confie avoir l’impression d’être prisonnière d’un corps qu’elle ne reconnaît pas. Cette phrase frappe Rose en plein cœur. Elle réalise que la jeune femme est perdue à un point que personne ne peut encore mesurer.

Alors que la nuit tombe sur l’Institut, un nouvel événement va tout précipiter. Carla disparaît. Son lit est vide, sa veste a disparu. Panique générale : tout le monde se met à sa recherche. Bérénice, prise de panique, s’en veut de ne pas avoir insisté plus tôt pour rester près d’elle. Jim, de son côté, organise une battue dans les jardins. Les élèves, les professeurs et le personnel participent à cette recherche désespérée.

Après de longues minutes d’angoisse, c’est Maya qui finit par retrouver Carla, effondrée près du lac. Elle tremble, confuse, incapable d’expliquer ce qu’elle fait là. Lorsqu’elle aperçoit Bérénice, elle recule, terrorisée. Elle dit simplement : « Ne m’approchez pas, je ne vous connais pas ». Cette phrase résonne comme un coup de poignard. Bérénice s’effondre, consciente que la femme qu’elle aime a disparu quelque part à l’intérieur d’elle-même.

De retour à l’Institut, Constance décide de la placer sous surveillance médicale. Rose propose de contacter un spécialiste en mémoire traumatique. Antoine, quant à lui, s’interroge : cette crise n’est-elle pas liée à une pression trop forte ? Depuis son arrivée, Carla n’a cessé de vouloir prouver sa valeur, quitte à ignorer les signaux d’alarme. Le corps et l’esprit semblent avoir dit stop.

Dans les dernières minutes de l’épisode, un détail vient semer le trouble. En fouillant dans les affaires de Carla, Bérénice trouve une note mystérieuse, griffonnée sur un coin de carnet : « Si je perds la mémoire, ne me fais pas revenir ». Cette phrase glace le sang. Était-ce un pressentiment ? Une menace ? Ou le signe qu’elle savait ce qui allait arriver ?

L’épisode se conclut sur un plan intense : Carla, seule dans son lit, fixe le plafond. Une larme coule sur sa joue. Dans un murmure à peine audible, elle prononce un prénom : « Bérénice ». La lueur d’un souvenir ? Peut-être. Mais pour l’instant, l’avenir reste incertain.

Entre émotions, mystères et drames intimes, cet épisode du 22 octobre promet de bouleverser les fans d’Ici tout commence. Carla, autrefois si sûre d’elle, se retrouve face à une bataille intérieure terrifiante. Bérénice devra, elle, affronter l’impossible : aimer une personne qui ne la reconnaît plus. Et dans l’ombre, certains se demandent si cette amnésie est vraiment le fruit du hasard… ou si quelqu’un, quelque part, a voulu effacer la mémoire de Carla pour de bon.


Souhaitez-vous que je reformule ce spoiler avec un ton plus journalistique (magazine TV) ou plutôt narratif dramatique (comme un résumé de film) pour vos prochaines demandes ?