Ici tout commence : Gaspard manipulé par sa mère Éléonore… trahi, il a tout perdu et se venge pour de bon

 


Ici tout commence : Gaspard manipulé par sa mère Éléonore… trahi, il a tout perdu et se venge pour de bon

L’Institut Auguste Armand traverse une semaine sous haute tension. Derrière les cuisines immaculées et les sourires de façade, les trahisons et les secrets continuent de mijoter. Et cette fois, c’est Gaspard, le jeune cuisinier plein de promesses, qui se retrouve au centre d’un tourbillon d’émotions et de drames. Trompé, humilié et manipulé par celle qu’il aimait plus que tout — sa propre mère, Éléonore — il finit par tout perdre. Mais dans sa chute, il prépare aussi sa vengeance, froide et implacable.

Depuis plusieurs semaines, la tension entre Éléonore et Gaspard s’est accentuée. Les deux ont des visions opposées de la cuisine et du pouvoir. Gaspard, idéaliste, veut se faire un nom par le talent et le mérite. Éléonore, stratège, préfère les alliances et les jeux d’influence. Sous ses airs bienveillants, elle tire les ficelles dans l’ombre, plaçant ses pions pour servir sa propre ascension à l’Institut.

Au début, Gaspard ne voit rien venir. Il croit encore à la sincérité de sa mère, qui prétend vouloir l’aider à réussir. Ensemble, ils travaillent sur un projet ambitieux pour la nouvelle carte de l’Institut, une création censée marquer les esprits. Mais dans les coulisses, Éléonore manipule les votes du jury et prend tout le crédit. Gaspard, humilié, comprend trop tard qu’il a été instrumentalisé.

C’est lors de la présentation officielle du menu que tout éclate. Alors qu’il s’apprête à défendre sa création, Gaspard découvre que son plat a été rebaptisé au nom d’Éléonore. Pire encore, elle le remercie publiquement comme “simple assistant de recherche culinaire”. Sous le choc, il quitte la salle sans un mot, le regard vidé.

Théo et Charlène, témoins de la scène, tentent de le réconforter, mais Gaspard reste silencieux. Son monde s’effondre. Il pensait pouvoir réparer le lien brisé entre lui et sa mère, mais il réalise qu’elle n’a jamais cherché la réconciliation. Ce qu’elle voulait, c’était le contrôle total.

Le soir même, il confronte Éléonore dans son bureau. La tension est palpable.

— “Tu m’as utilisé. Tout ce que je t’ai confié, tu l’as retourné contre moi.”
— “Je t’ai appris la réalité de ce milieu”, réplique-t-elle froidement. “La cuisine, ce n’est pas que du talent. C’est du pouvoir.”

Ces mots achèvent de le détruire. Gaspard quitte l’Institut, décidé à ne plus jamais remettre les pieds dans cet endroit. Mais sa colère grandit. Et très vite, la douleur se transforme en soif de vengeance.

Pendant ce temps, les rumeurs circulent. Certains élèves murmurent que Gaspard aurait volé des recettes ou saboté le travail de ses camarades. Ces accusations viennent évidemment d’Éléonore, qui veut s’assurer qu’il soit totalement discrédité. En quelques jours, la réputation du jeune homme est ruinée.

Mais ce qu’elle ignore, c’est que Gaspard n’est pas aussi naïf qu’elle le croit. Avant de partir, il a récupéré plusieurs documents compromettants dans son bureau — des preuves d’arrangements douteux, de favoritisme et de manipulations au sein du concours de l’Institut. Il décide alors de tout révéler.

Avec l’aide d’Enzo, qui refuse de voir un autre élève brisé par le système, Gaspard prépare sa riposte. Ensemble, ils montent une vidéo où il raconte toute la vérité, preuves à l’appui. Il y dénonce les pratiques de sa mère, les pressions qu’elle exerce sur les étudiants, et sa manière d’écraser toute concurrence.

La vidéo est publiée anonymement sur les réseaux, et c’est un séisme. En quelques heures, l’Institut est en ébullition. Les professeurs s’indignent, les élèves se divisent. Certains soutiennent Gaspard, d’autres crient à la trahison. Éléonore, elle, comprend immédiatement d’où vient le coup.

Furieuse, elle tente de retourner la situation. Devant le directeur, elle joue la carte de la victime :

“Mon fils est instable. Il a toujours eu du mal à gérer la pression. Cette vidéo est un règlement de comptes.”

Mais les preuves sont trop solides. Des mails, des enregistrements, des signatures… tout concorde. Le directeur n’a d’autre choix que de la suspendre temporairement, le temps de l’enquête.

Gaspard, bien qu’ayant gagné la bataille, n’en tire aucune satisfaction. Il a détruit la carrière de sa mère, mais il sait que le prix à payer est lourd. Il n’a plus de famille, plus d’amis, plus de place à l’Institut. Seul face à ses choix, il s’isole.

Un soir, Théo le retrouve devant le lac, assis en silence.

“Tu as fait ce qu’il fallait”, lui dit-il doucement.
“Non”, répond Gaspard d’une voix brisée. “Je suis devenu ce que je détestais.”

Mais le destin n’en a pas fini avec lui. Quelques jours plus tard, une nouvelle révélation vient tout remettre en question : un courriel anonyme, adressé à la direction, laisse entendre qu’Éléonore n’était pas seule. Quelqu’un d’autre, au sein de l’administration, l’aurait aidée à manipuler les concours.

Cette fois, Gaspard comprend que sa vengeance n’a été qu’un maillon d’un jeu plus vaste. Il n’a pas détruit un système injuste, il a simplement ouvert une nouvelle guerre.

Dans les épisodes suivants, la tension promet d’atteindre son apogée : Gaspard, désormais libre mais hanté, décide de revenir à l’Institut, non plus comme victime, mais comme adversaire. Il veut tout reprendre depuis le début — et faire tomber ceux qui, dans l’ombre, tirent encore les ficelles.

Mais une chose est sûre : la blessure qu’Éléonore lui a infligée ne se refermera jamais. La mère et le fils sont désormais ennemis jurés, liés par la haine et le regret. Et dans les cuisines d’Auguste Armand, la guerre ne fait que commencer…