Ici tout commence – Spoiler choc : Pénélope disparaît du jour au lendemain… La décision radicale qui bouleverse l’Institut (épisode 1320 – 4 décembre 2025)
Ici tout commence – Spoiler choc : Pénélope disparaît du jour au lendemain… La décision radicale qui bouleverse l’Institut (épisode 1320 – 4 décembre 2025)
À L’Institut, l’ambiance semble d’abord ordinaire, mais sous la surface, tout est en train de se fissurer. Depuis plusieurs jours, Pénélope se débat avec une angoisse persistante, rongée par un secret qu’elle n’arrive plus à porter seule. Ses proches la sentent à fleur de peau, mais personne ne s’attend à ce qu’elle s’apprête à commettre l’acte le plus radical de sa vie. Et pourtant, en ce jeudi 4 décembre 2025, tout bascule : elle prend une décision irréversible qui va secouer l’Institut comme jamais.
Dès l’aurore, quelque chose cloche. Habituellement ponctuelle, vive, toujours prête à se jeter dans le bain de la cuisine, Pénélope n’est nulle part. Ni en cuisine, ni en salle, ni dans les couloirs. Les élèves échangent des regards intrigués, mais très vite, les rumeurs s’allument comme des mèches. Certains murmurent qu’elle a passé une mauvaise soirée la veille, d’autres évoquent un clash dont personne ne connaît encore les détails. Mais la vérité est bien plus lourde que ça.
Peu à peu, l’épisode remonte le fil des dernières heures de la jeune femme, révélant les pièces manquantes d’un puzzle émotionnel explosif. Les tensions avec Ninon, d’abord discrètes, se sont transformées en une véritable tempête intérieure. Cette relation, oscillant entre admiration, proximité et un malaise difficile à nommer, a fini par créer chez elle un vertige. Trop de pression, trop de non-dits, trop de culpabilité aussi. Pénélope a commencé à se sentir étouffée, piégée dans une spirale émotionnelle incontrôlable.
La veille au soir, tout s’est envenimé. Une conversation à cœur ouvert avec Ninon – que cette dernière pensait salvatrice – a plutôt ouvert la boîte de Pandore. Ninon a cherché des réponses, a demandé des clarifications, a mis des mots sur des zones sensibles que Pénélope ne voulait pas explorer. Le ton est monté, des vérités maladroites ont échappé, et Pénélope s’est sentie exposée, vulnérable, terrifiée même par ce qu’elle ressentait et par ce qu’on lui renvoyait.

Au petit matin, son esprit déjà fragilisé a cédé à une impulsion : partir. Couper court. Fuir cette relation compliquée, fuir le regard de Ninon, fuir l’Institut, fuir tout ce qu’elle ne se sent plus capable d’affronter. Ce n’est pas seulement une fuite géographique : c’est un effondrement intérieur qui se traduit par un choix brutal.
Elle laisse derrière elle une chambre vide, un sac à moitié défait, un uniforme abandonné sur une chaise, comme si elle avait reculé au dernier moment… avant de finalement franchir la ligne. Un simple message manuscrit reste sur son oreiller. Personne ne le voit encore, mais il deviendra le point de bascule de l’épisode.
Pendant ce temps, l’Institut s’agite. Les professeurs commencent à remarquer son absence : ce n’est plus un simple retard. Teyssier, dans ses grands jours d’autorité tranchante, pense d’abord à une provocation, une façon de se faire remarquer. Mais quand plusieurs élèves indiquent qu’ils ne l’ont pas vue depuis la veille, l’inquiétude devient collective.
Ninon, elle, est incapable de rester en place. Elle rejoue mentalement leur conversation, ses propres mots, les nuances, les silences. Une intuition glaciale lui traverse la poitrine : quelque chose ne va pas. Elle est persuadée d’avoir provoqué chez Pénélope un choc émotionnel dont elle n’a pas mesuré l’ampleur. La culpabilité l’envahit progressivement.
Lorsque Ninon arrive finalement à la chambre de Pénélope et découvre l’espace déserté, son visage se ferme instantanément. Elle comprend. Pas complètement, pas les détails, mais l’intention : Pénélope ne veut plus être là. Et la feuille posée sur l’oreiller en est la preuve irréfutable.
Le mot, bref mais déchirant, fait l’effet d’une onde sismique. Pénélope écrit qu’elle a besoin de disparaître un moment, que tout lui pèse trop, qu’elle a fait du mal malgré elle, et qu’elle doit s’éloigner pour éviter d’exploser intérieurement. Elle ne mentionne pas explicitement Ninon, mais chaque phrase semble lui être adressée en filigrane. C’est un adieu, ou du moins une fuite sans date de retour.
Ninon, bouleversée, transmet le mot à la direction. Le choc est général. Certains élèves réagissent avec colère, d’autres avec tristesse, et d’autres encore avec inquiétude pour sa sécurité. Dans les cuisines, l’absence de Pénélope se ressent immédiatement : son poste vide semble symboliser le chaos émotionnel de l’Institut. Même ceux qui ne la connaissaient que de loin sentent que quelque chose de grave vient de se produire.
Au fil de l’épisode, une tension particulière s’installe. Tout le monde se demande où elle est partie, si elle est en danger, si elle reviendra. Plusieurs élèves proposent même d’organiser des recherches discrètes, mais la direction préfère éviter de transformer l’affaire en scandale interne. Malgré cela, Ninon refuse de rester sans agir. Elle tente de retracer les derniers lieux fréquentés par Pénélope, interroge les élèves qui l’ont vue la veille, et se heurte à ses propres regrets qui l’emplissent d’un poids de plus en plus insupportable.
L’épisode se clôt sur un plan fort et silencieux : Ninon, seule, relit encore et encore le mot de Pénélope, comme si elle espérait y déceler un indice caché. Pendant que la pluie tombe dehors, l’image suggère que cette disparition n’est que le début d’un arc narratif intense, où les émotions, les secrets et les responsabilités vont exploser au grand jour.
Pénélope a quitté l’Institut. Mais sa disparition pourrait bien faire émerger des vérités que personne n’était prêt à affronter.