Ici tout commence (spoiler) : Gaspard et Ferdinand font un pacte – Une alliance inattendue qui pourrait bouleverser l’Institut !

Ici tout commence (spoiler) : Gaspard et Ferdinand font un pacte – Une alliance inattendue qui pourrait bouleverser l’Institut !

L’épisode à venir d’Ici tout commence promet une tournure aussi surprenante que dangereuse. Dans un climat déjà tendu à l’Institut, Gaspard et Ferdinand, deux personnalités aux tempéraments radicalement opposés, se retrouvent liés par un accord aussi secret qu’improbable. Ce pacte, scellé dans l’ombre des cuisines, pourrait bien faire vaciller des équilibres déjà fragiles et déclencher une série d’événements aux conséquences irréversibles. Ce qui commence comme un simple arrangement finit par se transformer en une alliance calculée, entre ambitions, mensonges et manipulations.

Tout débute au petit matin. L’Institut est encore calme, mais dans les couloirs, l’atmosphère est lourde. Depuis plusieurs jours, une tension palpable règne entre les élèves et certains professeurs. Ferdinand, récemment revenu sur le devant de la scène après une absence remarquée, se retrouve dans le collimateur de plusieurs membres de l’équipe pédagogique. Son attitude autoritaire et ses méthodes peu orthodoxes dérangent. Mais derrière son assurance froide se cache une stratégie bien rodée : il veut retrouver sa place au sommet, coûte que coûte.

De son côté, Gaspard vit une période de doute. Déterminé à prouver sa valeur, il s’est heurté à des échecs cuisants lors de ses dernières évaluations. Ses relations avec ses camarades, notamment Carla et Jasmine, se sont refroidies, et il peine à trouver sa place. Plus le temps passe, plus il a l’impression d’être invisible. C’est dans cet état d’esprit, vulnérable et amer, qu’il croise Ferdinand dans les cuisines. Leur rencontre, d’abord fortuite, devient le point de départ d’un dangereux jeu d’influence.

La scène se déroule dans le calme apparent du laboratoire de pâtisserie. Gaspard, penché sur une préparation ratée, peste à voix basse. Ferdinand, passant par hasard, observe en silence. Puis, d’une voix calme et tranchante, il lâche :
« Tu sais, le talent ne suffit pas ici. Ce qu’il faut, c’est savoir manipuler le système. »

Cette phrase, anodine en apparence, allume une étincelle dans l’esprit de Gaspard. Il relève la tête, intrigué. Ferdinand poursuit, d’un ton plus confidentiel :
« Si tu veux qu’on te prenne au sérieux, il va falloir apprendre à jouer avec les règles… ou à les contourner. »

Ces mots marquent le début d’une étrange complicité. Gaspard, d’abord méfiant, finit par écouter. Il découvre chez Ferdinand une vision du monde aussi cynique que lucide. Pour lui, la réussite n’est pas une question de mérite, mais de stratégie. Peu à peu, le jeune homme se laisse séduire par ce discours. Le professeur, lui, a compris qu’il tient là un pion précieux.

Dans les jours qui suivent, les deux hommes se revoient à plusieurs reprises, à l’abri des regards. Ferdinand commence à lui prodiguer des conseils, non pas sur la cuisine, mais sur l’art de la manipulation : comment gagner la confiance d’un supérieur, comment détourner l’attention, comment faire tomber un rival sans se salir les mains. Gaspard, en quête de reconnaissance, s’imprègne de ces leçons avec avidité. Leur relation se transforme peu à peu en un pacte tacite, fondé sur un échange de services.

Ferdinand lui propose un marché clair : en échange de son aide pour remonter dans les classements, Gaspard devra lui fournir des informations sur certains élèves et sur les décisions internes de l’Institut. L’idée le choque d’abord, mais la tentation est trop forte. Fatigué d’être le second rôle, il finit par accepter. Leur alliance est scellée d’une poignée de main dans l’obscurité des couloirs.

Dès lors, tout change. Gaspard devient plus confiant, plus ambitieux, presque méconnaissable. Sous les conseils de Ferdinand, il commence à manipuler subtilement son entourage. Il glisse des mots bien choisis à ses camarades, influence certaines décisions collectives et se rend indispensable dans les projets de groupe. Peu à peu, il gagne en crédibilité. Mais derrière cette ascension rapide se cache une ombre grandissante : celle de Ferdinand, qui tire les ficelles dans l’ombre.

Parallèlement, plusieurs élèves commencent à remarquer le changement d’attitude de Gaspard. Carla, notamment, se méfie. Elle le trouve plus froid, plus calculateur. Une dispute éclate entre eux lorsqu’elle le surprend en train d’écouter une conversation qui ne le concernait pas. Gaspard esquive les questions, prétextant qu’il voulait simplement aider. Mais son regard trahit une inquiétude grandissante : il sait que s’il est démasqué, tout son plan s’effondre.

Pendant ce temps, Ferdinand multiplie les manœuvres. Il se sert des informations fournies par Gaspard pour influencer certaines décisions administratives et discréditer ses rivaux. Il s’arrange pour que certains professeurs échouent dans leurs projets pédagogiques, pendant qu’il en récolte les bénéfices. À travers Gaspard, il tisse une toile complexe qui lui permet de reprendre le contrôle sans jamais se montrer directement.

Mais dans ce jeu dangereux, les fissures ne tardent pas à apparaître. Gaspard, pris entre sa loyauté envers Ferdinand et sa conscience, commence à douter. Plus il avance, plus il réalise qu’il s’enfonce dans un engrenage dont il ne sortira pas indemne. Les regards des autres, leurs soupçons, les mensonges à répétition — tout cela le ronge. Une nuit, incapable de dormir, il confronte Ferdinand.

La scène, tendue et magistrale, oppose deux volontés : celle d’un jeune homme encore habité par des valeurs morales, et celle d’un manipulateur aguerri. Gaspard veut rompre leur accord, mais Ferdinand le menace subtilement :
« Tu crois pouvoir t’en sortir comme ça ? Tu oublies que tu n’as plus rien d’innocent. Tu es déjà comme moi. »

Ces mots frappent Gaspard de plein fouet. Il comprend alors que le pacte qu’il croyait pouvoir maîtriser est devenu une prison. Il tente de prendre ses distances, mais Ferdinand veille. Les prochains épisodes promettent d’explorer cette relation complexe, entre dépendance, peur et rébellion.

En parallèle, d’autres personnages commencent à remarquer que quelque chose se trame. Théo, intrigué par certains comportements étranges, interroge discrètement Gaspard. De son côté, Clotilde commence à soupçonner Ferdinand de manipulations internes. L’étau se resserre. Et si la vérité éclate, c’est toute la réputation de l’Institut qui risque d’être entachée.

L’épisode s’achève sur une séquence symbolique. Dans la cuisine plongée dans la pénombre, Gaspard observe ses mains couvertes de farine — un contraste fort entre la pureté du métier et la noirceur des actes qu’il a commis. En fond sonore, la voix de Ferdinand résonne encore : « En cuisine comme dans la vie, tout est une question de dosage. »

Ce spoiler d’Ici tout commence annonce donc une intrigue haletante, où ambition et manipulation s’entrelacent dans un jeu d’échecs psychologique. L’alliance entre Gaspard et Ferdinand, aussi fascinante que toxique, marque un tournant majeur pour les deux personnages. Derrière les fourneaux, les recettes se font aussi politiques que gustatives, et le spectateur pressent que ce pacte pourrait bien tout faire exploser.

Entre trahison, culpabilité et soif de réussite, cet épisode s’impose déjà comme l’un des plus intenses de la saison. Rien ne sera plus pareil à l’Institut Auguste Armand — et Gaspard, malgré lui, vient peut-être de signer un contrat avec le diable.