ITC – [SPOILER] – NINON DISPARAÎT APRÈS UN CARNAGE, PÉNÉLOPE EN PANIQUE
Ici tout commence : chaos à l’Institut, Ninon introuvable et la panique s’installe autour de Pénélope
L’Institut Auguste Armand se réveille ce jour-là dans une atmosphère lourde, presque irréelle. Rien ne laissait présager que les événements allaient prendre une tournure aussi violente. Pourtant, très vite, le calme apparent laisse place à un véritable carnage, aussi bien sur le plan matériel qu’émotionnel. Et au cœur de cette tempête : Ninon, qui disparaît mystérieusement, tandis que Pénélope sombre peu à peu dans la panique.
Tout commence par une situation qui dégénère brutalement en cuisine. Une épreuve tourne mal, les tensions explosent, les reproches fusent. Des erreurs s’accumulent, des mots dépassent les pensées, et la pression, déjà écrasante, devient insupportable. Les plans de travail sont retournés, des assiettes brisées jonchent le sol, et les visages se ferment. Ce chaos laisse une impression de désastre total, comme si quelque chose de profondément grave venait d’être brisé à l’Institut.
Ninon se retrouve au centre de la tourmente. Depuis plusieurs jours, elle donnait l’impression de tenir bon, mais ce nouveau choc est celui de trop. Face aux critiques, aux regards accusateurs et à l’intensité de la situation, elle encaisse sans répondre. Son silence inquiète, mais personne ne mesure encore l’ampleur de son mal-être. Lorsqu’elle quitte brusquement les lieux après l’affrontement, personne ne cherche vraiment à la retenir.
C’est Pénélope qui, la première, remarque l’étrangeté de la situation. Ninon ne répond pas aux messages, n’apparaît pas au cours suivant, et son téléphone reste désespérément muet. Au fil des heures, l’inquiétude se transforme en angoisse. Les souvenirs des derniers échanges refont surface, et Pénélope réalise que Ninon montrait des signes de fatigue extrême depuis un moment déjà.
Alors que l’Institut tente de réparer les dégâts causés par le carnage, une question devient obsédante : où est passée Ninon ? Les professeurs se montrent évasifs, tandis que les élèves commencent à murmurer. Certains parlent d’un simple besoin de prendre l’air, d’autres redoutent quelque chose de bien plus grave. L’absence prolongée de Ninon laisse un vide pesant, impossible à ignorer.

Pénélope, incapable de se concentrer, multiplie les initiatives pour retrouver son amie. Elle interroge, fouille, reconstitue le fil des événements. Petit à petit, elle comprend que la disparition de Ninon n’est pas anodine. Une phrase prononcée avant le carnage résonne douloureusement dans son esprit, laissant entendre que Ninon se sentait au bord de la rupture.
La tension monte d’un cran lorsqu’un élément troublant est découvert : les affaires personnelles de Ninon ne sont plus à l’endroit où elle les a laissées. Son casier est presque vide. Cette découverte provoque un électrochoc. Il ne s’agirait donc pas d’une simple absence, mais d’un véritable départ… ou pire encore.
Pénélope est submergée par la peur. Elle se sent coupable de ne pas avoir vu venir le malaise de Ninon, de ne pas avoir insisté davantage. Les émotions la rattrapent : tristesse, colère, panique. Elle tente de garder la tête froide, mais les scénarios les plus sombres s’imposent à son esprit. Pourquoi partir sans prévenir ? Pourquoi couper tout contact ?
Du côté de l’administration, le malaise est palpable. Le carnage en cuisine a laissé des traces, révélant une fois encore la violence de la pression imposée aux élèves. Le départ inexpliqué de Ninon agit comme un révélateur brutal. Certains enseignants commencent à s’interroger sur leurs méthodes, tandis que d’autres redoutent les conséquences de cette disparition.
Plus les heures passent, plus l’angoisse collective grandit. Les élèves parlent à voix basse, lancent des regards inquiets vers les téléphones, espérant un signe. L’Institut, habituellement bruyant et vivant, semble figé dans une attente pesante. L’absence de Ninon devient omniprésente, presque oppressante.
Dans une scène particulièrement poignante, Pénélope craque. Seule, elle laisse éclater sa peur, incapable de contenir ses larmes. Elle redoute le pire tout en refusant de l’admettre. La culpabilité la ronge : aurait-elle pu empêcher tout cela ? Aurait-elle dû alerter quelqu’un plus tôt ?
La fin de l’épisode entretient un suspense glaçant. Aucun message, aucune trace, aucun indice clair sur l’endroit où se trouve Ninon. Le carnage du début apparaît désormais comme le point de non-retour, celui qui a tout fait basculer. Une chose est certaine : cette disparition va avoir des répercussions durables sur l’Institut et sur ceux qui en font partie.
Avec cet épisode, Ici tout commence frappe fort. La série met en lumière les conséquences psychologiques de la pression, la fragilité des équilibres et la violence silencieuse des non-dits. Ninon disparaît, laissant derrière elle une onde de choc, tandis que Pénélope, dévastée, devient le symbole d’une inquiétude partagée par tous. Et une question hante désormais l’Institut : Ninon reviendra-t-elle… ou a-t-elle définitivement tourné le dos à ce lieu qui l’a menée au bord du gouffre ?