ITC – [ SPOILER] – PÉNÉLOPE ACCUSÉE DE TRICHERIE, SON AVENIR CONDAMNÉ SUR TF1 ?
🎬 Ici Tout Commence — Spoiler choc : Pénélope au cœur d’un scandale de tricherie… va-t-elle être expulsée de l’Institut ?
Dans cet épisode brûlant d’Ici Tout Commence, un véritable séisme frappe l’Institut : Pénélope, l’une des élèves les plus appréciées, se retrouve accusée d’avoir triché lors d’une épreuve cruciale. Ce qui n’était d’abord qu’une rumeur glissée à mi-voix entre deux couloirs se transforme rapidement en affaire d’État, menaçant de briser l’avenir de la jeune femme… et de mettre en lumière des rivalités que l’on croyait depuis longtemps apaisées.

L’épisode s’ouvre sur une atmosphère lourde, presque électrique. Les élèves s’agitent, des murmures circulent, et les regards se tournent tous dans la même direction : Pénélope. Depuis quelques heures déjà, une copie circule sous le manteau, présentée comme la preuve que la jeune femme aurait obtenu à l’avance le sujet de l’examen technique de la veille. L’idée semble impensable pour ceux qui la connaissent, mais la “preuve” paraît suffisamment crédible pour ébranler les certitudes.
Pénélope, elle, tombe des nues. Lorsqu’elle apprend que des élèves la soupçonnent, elle croit d’abord à une mauvaise blague. Mais son sourire s’efface très vite lorsque Billie lui annonce que Lisandro demande à la voir immédiatement dans son bureau. Le regard grave du professeur ne laisse rien présager de bon.
À peine entrée dans la pièce, Pénélope comprend que la situation est bien plus grave qu’elle ne l’imaginait. Lisandro lui montre la fameuse copie trouvée dans une salle vide : une feuille contenant le sujet complet, annotée… avec une écriture très proche de la sienne. Pénélope proteste immédiatement, assure qu’elle n’a jamais vu ce document, qu’elle n’aurait jamais triché. Mais Lisandro, obligé de suivre le protocole, lui annonce que le dossier sera transmis au directeur. Une procédure disciplinaire pourrait être ouverte.
Le choc est immense. Pénélope sort du bureau en larmes, suivie de près par Malik, qui tente de la rassurer, puis par Carla, moins tendre, qui laisse entendre qu’elle “n’est peut-être pas si innocente qu’elle en a l’air”. Cette phrase envenime encore plus les tensions. Les élèves se divisent entre ceux qui la soutiennent sans réserve, et ceux qui commencent à douter.
Pendant ce temps, Teyssier apprend la nouvelle. Loin d’être surpris par le chaos — qu’il considère presque comme une routine — il demande un rapport complet et exige que l’enquête interne soit menée avec rigueur. Son regard perçant laisse deviner qu’il soupçonne une manipulation, mais il veut des preuves, pas des impressions.
L’enquête commence. Hortense récupère les copies des élèves, les compare, analyse les annotations. De son côté, Antoine vérifie les heures de présence dans les salles de cours, pour empêcher toute tentative d’accuser quelqu’un sans fondement. Mais plus ils avancent, plus quelque chose semble incohérent : toutes les pistes accusent Pénélope… un peu trop bien.
De son côté, Pénélope tente de comprendre qui pourrait vouloir la piéger. Elle se remémore les jours précédents, essaie de trouver un détail suspect, un geste étrange, une remarque qu’elle aurait mal interprétée. Elle finit par penser à un incident survenu deux jours plus tôt : son sac avait disparu pendant quelques minutes durant un cours de cuisine, avant de réapparaître sans qu’elle y prête vraiment attention. À l’époque, elle avait cru à une mauvaise blague. Aujourd’hui, elle se demande si ce n’était pas déjà le début du piège.
Elle en parle à Anaïs, qui prend immédiatement cela très au sérieux. Ensemble, elles tentent de retracer les déplacements du sac, interrogeant les élèves présents ce jour-là. Mais plusieurs affirment ne rien avoir vu. Jusqu’à ce qu’une piste inattendue surgisse : Souleymane raconte avoir vu quelqu’un fouiller dans des affaires près du vestiaire, mais il ne se souvient pas clairement du visage. Seulement d’un détail : une veste rouge.
Ce détail semble anodin… jusqu’à ce que Billie réalise que seulement trois personnes à l’Institut portent régulièrement une veste rouge bien reconnaissable. Parmi elles, l’une a récemment eu plusieurs accrochages avec Pénélope concernant un poste en cuisine lors d’un atelier : Maya. Les regards se tournent. Pénélope refuse d’accuser sans preuve, mais le doute s’installe.
L’affaire prend une tournure encore plus dramatique lorsqu’un second “indice” est trouvé : une clé USB glissée dans le casier de Pénélope contenant, soi-disant, des brouillons de sujets d’examen. Pour beaucoup, c’est la preuve irréfutable. Pour d’autres, c’est trop parfait, trop calculé. Teyssier, lui, n’est pas dupe : “Quand un coup est aussi propre, c’est qu’il est sale”, lâche-t-il devant Antoine.
La tension atteint son paroxysme lorsque Pénélope est convoquée en commission disciplinaire provisoire. La salle est silencieuse. Teyssier observe, froid et impassible. Antoine prend des notes. Lisandro reste neutre, bien que visiblement affecté. C’est alors que Pénélope, à bout, raconte tout : la disparition de son sac, le harcèlement discret qu’elle subissait depuis deux semaines, et ce fameux détail de la veste rouge. Sa sincérité émeut Antoine, mais pour Teyssier, la sincérité ne suffit pas.
C’est finalement un rebondissement inattendu qui fait basculer l’affaire : un message anonyme envoyé à Anaïs. Une vidéo courte, filmée dans un couloir, où l’on aperçoit une silhouette portant une veste rouge glisser quelque chose dans le casier de Pénélope. L’image est floue, mais l’intention est claire : elle a été piégée.
La vidéo est immédiatement présentée en commission. Teyssier fixe l’écran, un léger sourire en coin : il déteste avoir tort, mais adore confondre ceux qui trichent — ou qui veulent faire accuser un innocent. L’enquête se recentre alors sur Maya, qui finit par craquer sous la pression et avouer qu’elle voulait empêcher Pénélope d’obtenir une place convoitée dans un futur restaurant éphémère.
Pénélope est innocentée. Maya, elle, risque très gros.
L’épisode se clôture sur une Pénélope soulagée mais profondément marquée, consciente qu’un simple instant peut suffire à détruire une réputation… et qu’à l’Institut, la vérité finit toujours par éclater, mais rarement sans dégâts.