Karim s’acharne sur Arthur : sa fixette alarme Aurore – Demain nous appartient 5 décembre 2025 (épisode 2089 – résumé complet DNA)

 


⭐ Nouveau titre amélioré

Obsession dangereuse : Karim dépasse les limites avec Arthur — l’enquête d’Aurore vire au choc total (DNA épisode 2089, 5 décembre 2025)


🎬 Spoiler réécrit – environ 900 mots

Dans cet épisode brûlant de Demain nous appartient, l’ambiance à Sète se tend d’heure en heure, et tout semble converger vers un même point : l’obsession de Karim Saeed pour Arthur. Ce qui, aux yeux de ses collègues, n’était au départ qu’un excès de zèle va peu à peu se transformer en véritable dérive. Et c’est Aurore Jacob, clairvoyante comme toujours malgré la pression, qui va comprendre la première que quelque chose cloche profondément.

L’épisode s’ouvre sur un Karim à cran, hanté par une intuition qu’il refuse de lâcher. Depuis plusieurs jours, Arthur Lazzari est au cœur de ses pensées, et il scrute chacun de ses mouvements avec une intensité presque inquiétante. Une simple anomalie dans un témoignage l’a mis en alerte, et depuis, il est persuadé qu’Arthur cache quelque chose d’énorme. Personne ne partage son avis, mais Karim, lui, s’enferre dans sa conviction, comme si toute son énergie dépendait de cette piste.

Dès les premières scènes, on comprend que Karim n’est plus dans son état habituel. Il surveille Arthur au petit matin, étudie ses horaires, analyse ses déplacements, allant jusqu’à interroger des voisins qu’il ne connaît même pas. Ce comportement démesuré a déjà commencé à faire sourciller quelques collègues, mais Karim ne veut rien entendre. Son obsession réveille en lui une part sombre, celle qui pense qu’un détail, même infime, peut cacher une vérité explosive.

Pendant ce temps, Arthur, complètement dépassé, sent qu’on l’épie. Il ne comprend pas d’où vient cette hostilité soudaine. Il veut mener sa vie comme un jeune homme normal, mais chaque fois qu’il sort de chez lui, il tombe sur Karim au détour d’une rue, d’un couloir, d’un lieu anodin où la présence du policier n’a rien de logique. Cette pression permanente finit par l’épuiser, et il finit par en parler à ses proches, qui commencent à soupçonner que quelque chose tourne très mal.

C’est là qu’Aurore entre réellement en scène. En tant que supérieure hiérarchique de Karim, elle remarque chaque variation de comportement, chaque tension mal contenue. Elle perçoit très vite un malaise dans les attitudes de son collègue. D’habitude structuré, précis, parfois même rigide, Karim agit désormais de manière impulsive, presque fébrile. Lorsqu’elle l’interroge, il se braque, s’emporte, défend son intuition avec une intensité rarement vue. Ce n’est plus une enquête : c’est une fixation.

Aurore, loin d’ignorer ces signaux d’alarme, décide de prendre les choses en main. Elle commence par consulter les dossiers, relire les procédures, vérifier ce qui motive réellement l’insistance de Karim. Mais tout semble bancal. Il n’y a aucune preuve solide, aucun élément déterminant qui justifierait une telle pression sur Arthur. Elle pressent donc une faille émotionnelle, peut-être même une blessure personnelle que Karim tente de camoufler derrière son autorité policière.

Face à l’absence de preuves concrètes, Aurore convoque Karim pour une mise au point. Ce moment, lourd et tendu, marque un tournant dans l’épisode. Karim, acculé, se défend bec et ongles, persuadé d’être le seul à percevoir un danger imminent. Il finit par révéler, presque malgré lui, que sa méfiance envers Arthur provient d’un souvenir douloureux — un précédent où il avait ignoré son instinct et où cela avait coûté cher à quelqu’un qu’il voulait protéger. Depuis, il refuse de laisser le moindre doute lui échapper.

Ce récit bouleversant explique l’origine de son obsession, mais Aurore comprend immédiatement que Karim n’est plus objectif. Sa peur de répéter une erreur du passé prend toute la place et l’empêche de garder la distance indispensable à une enquête. Elle tente alors de le raisonner, mais sa détermination est telle qu’il finit par quitter la pièce avant la fin de l’entretien, sourd à tout argument rationnel.

Pendant ce temps, Arthur, conscient que quelque chose de grave se prépare, décide d’affronter la situation. Il sollicite un entretien officiel pour comprendre ce qu’on lui reproche réellement. Mais l’entrevue tourne court : Karim, crispé, adopte un ton accusateur qui met Arthur mal à l’aise. Le jeune homme commence à craindre que cette histoire dégénère, car Karim ne semble plus chercher la vérité, mais uniquement à confirmer sa théorie.

Aurore, témoin de cet entretien chaotique, intervient pour protéger Arthur d’une pression injustifiée. Elle ordonne à Karim de se retirer de l’enquête, ce qui provoque une véritable explosion émotionnelle chez lui. Blessé, vexé, et surtout terrifié à l’idée de laisser filer ce qu’il croit être un danger, il quitte la scène dans un état qui laisse présager le pire.

Et c’est précisément ce qui arrive. Loin d’abandonner, Karim décide de continuer à enquêter en secret. Il suit Arthur discrètement, convaincu que la vérité va enfin émerger. Mais ce qu’il découvre n’a rien à voir avec ses attentes. Une scène inattendue, presque banale, bouleverse complètement son interprétation : Arthur s’était simplement isolé pour aider quelqu’un d’autre, dans une situation délicate qu’il ne voulait pas dévoiler publiquement.

Ce moment de révélation agit comme un électrochoc pour Karim. Non seulement il réalise que sa théorie était fausse, mais il comprend également l’ampleur de son erreur et les dégâts qu’il a causés. Rongé par la honte, il tente de se reprendre, mais il sait que l’impact de son comportement va laisser des traces profondes.

Aurore, de son côté, réussit finalement à recoller les morceaux. Elle rappelle à Karim la nécessité de se recentrer, de ne pas laisser son passé interférer avec ses missions actuelles. Mais elle sait que cet épisode n’est pas anodin : l’équilibre de Karim est fragilisé, et cette affaire pourrait bien provoquer des répercussions inattendues dans les épisodes à venir.

Quant à Arthur, bien qu’innocent, il ressort ébranlé de cette expérience. Être traqué sans raison, soupçonné injustement, observé comme un criminel… cela laisse des cicatrices. Il décide de prendre du recul, mais aussi de rester vigilant : si un policier peut s’acharner ainsi, qui sait ce que l’avenir lui réserve ?

L’épisode se termine sur une atmosphère lourde, presque électrique. Une obsession vient de s’effondrer, mais les tensions qu’elle a créées, elles, mettent du temps à disparaître. Aurore se demande jusqu’où Karim aurait pu aller. Et Karim, lui, ne peut s’empêcher de craindre que ses propres démons ne l’emportent à nouveau un jour.