La semaine prochaine dans « Un si grand soleil », Hélène poignardée ! Résumés et spoilers du 15 au 19 décembre 2025

 

Le film s’ouvre sur une Montpellier nocturne, baignée d’une lumière froide, presque inquiétante. Dès les premières minutes, les spectateurs sentent que cette semaine sera explosive. La voix-off du narrateur annonce : « Certains secrets ne survivent jamais à la lumière… d’autres finissent par coûter du sang. »
Et le sang, c’est celui d’Hélène.

L’intrigue se lance à grande vitesse lorsque le film dévoile Hélène, seule dans sa maison, visiblement tourmentée. Depuis plusieurs jours, elle sent qu’elle est suivie. Les bruits dans le jardin, les ombres fugitives, les appels silencieux… Tout laisse croire qu’une menace plane autour d’elle. Mais personne ne la croit vraiment, et le film installe une atmosphère de paranoïa parfaitement dosée.

La première partie du film alterne entre ses tentatives pour comprendre qui lui en veut et le quotidien des autres personnages, inconscients de ce qui se prépare. Alix traverse une crise professionnelle majeure, Florent tente de colmater les brèches d’un dossier qui lui échappe, Johanna suspecte un témoin d’avoir menti, et Claire découvre un détail troublant dans un rapport médical. Tous avancent dans leurs intrigues respectives, sans se douter que tout converge en réalité vers le drame qui s’apprête à bouleverser leurs vies.

Un indice majeur apparaît lorsque Hélène reçoit une enveloppe anonyme glissée sous sa porte. À l’intérieur, une photo d’elle, prise à son insu, accompagnée d’un simple mot : « Tu n’aurais jamais dû revenir. » Cette scène, filmée en plan serré sur son visage terrifié, marque le véritable début du cauchemar. Hélène comprend que la menace n’est pas un hasard. Quelqu’un lui en veut personnellement. Le spectateur s’interroge : est-ce un ancien patient ? Une personne liée à son passé trouble ? Ou quelqu’un de bien plus proche qu’elle ne veut l’imaginer ?

Pendant ce temps, au commissariat, Manu reçoit des informations concernant une série d’effractions dans le quartier d’Hélène. Il tente de la prévenir, mais elle minimise, incapable d’avouer qu’elle se sent au bord du précipice. Le film joue parfaitement avec la frustration du spectateur : Hélène pourrait être protégée, mais son orgueil, sa peur et son désir d’autonomie la font sombrer dans une imprudence tragique.

L’angoisse monte encore d’un cran lorsque le film présente le point de vue de l’agresseur sans montrer son identité. Une silhouette gantée, des pas feutrés, un plan sur un couteau rangé dans une poche… Chaque mouvement est calculé. On sent que l’attaque est imminente.

La scène centrale survient un soir de tempête. Le vent cogne contre les fenêtres, les lumières vacillent. Hélène, au téléphone avec Claire, tente de masquer sa panique. Soudain, un bruit sourd résonne dans sa maison. Elle sursaute. Claire lui demande si tout va bien, mais la communication se coupe.

La tension atteint son sommet lorsque la caméra suit Hélène avançant lentement dans le couloir plongé dans l’obscurité. Son souffle s’accélère. Un plan furtif laisse entrevoir une ombre derrière elle. La musique s’interrompt brutalement. Puis le choc : un geste rapide, un éclat métallique, un cri étouffé. Hélène s’effondre après avoir été poignardée.

La scène est intense mais pudique. Le film ne mise pas sur le gore, mais sur la violence émotionnelle du moment. Hélène, au sol, tente d’atteindre son téléphone, les yeux emplis d’un mélange de douleur et d’incompréhension. Qui pouvait la haïr à ce point ?

Après l’agression, tout s’accélère. Claire, inquiète, prévient immédiatement les secours. Les policiers investissent la maison en urgence. Manu, bouleversé, se reproche de ne pas avoir insisté davantage. La découverte d’Hélène, inconsciente mais vivante, donne lieu à une scène poignante. Les acteurs livrent une performance d’une intensité remarquable, capturant la terreur des proches et l’urgence de la situation.

À l’hôpital, Florent et Johanna arrivent discrètement : eux aussi craignent que l’agression soit liée à l’une des affaires en cours. Le film dévoile alors une série de flashbacks révélant les dernières disputes d’Hélène, ses conflits, ses secrets. Tout le monde devient suspect. La scénarisation transforme cet événement en une toile complexe de motivations potentielles, accentuant le mystère.

Une séquence particulièrement marquante montre Cécile examinant les preuves trouvées sur place. Une empreinte partielle, un morceau de tissu déchiré, une trace de pas… Chaque indice semble mener à une piste différente. Le film sème volontairement la confusion, créant un véritable thriller psychologique au cœur de la série.

Pendant ce temps, Hélène, entre la vie et la mort, murmure un nom en se réveillant brièvement. Le spectateur n’entend qu’un souffle. Était-ce celui de son agresseur ? Celui d’un complice ? Ou une simple hallucination ? Le doute demeure, et la tension se resserre.

Dans la dernière partie du film, l’enquête se transforme en chasse à l’homme. Manu découvre une vidéo de surveillance qui montre une silhouette fuyant la scène. Il reconnaît un détail troublant : un geste familier, un tic, une manière de marcher. Tout indique qu’il s’agit de quelqu’un que tous connaissent. Quelqu’un qu’Hélène avait protégé par le passé.

Le film se conclut sur un cliffhanger saisissant. La caméra filme l’agresseur de dos, observant l’hôpital depuis un parking désert. La silhouette reste immobile, comme si elle attendait le moment de frapper à nouveau. Puis l’écran devient noir.