Patrick et Idriss arrivent trop tard : Delmas retrouvé sans vie – Plus belle la vie 6 novembre 2025 (épisode 458 – résumé complet PBLV)❓Selon vous, qui est responsable de ce drame ?
Patrick et Idriss arrivent trop tard : Delmas retrouvé sans vie – Plus belle la vie 6 novembre 2025 (épisode 458 – résumé complet PBLV)
Le Mistral s’embrase à nouveau dans un épisode aussi tragique que bouleversant. Ce 6 novembre 2025, Plus belle la vie plonge ses téléspectateurs dans une tension insoutenable : un drame secoue tout Marseille, tandis que des vérités longtemps dissimulées explosent au grand jour. Au cœur de la tourmente : le commissaire Patrick Nebout et son coéquipier Idriss, lancés dans une course contre la montre pour sauver l’un des leurs… mais ils arrivent trop tard. Le corps sans vie de Delmas est retrouvé dans des circonstances glaçantes. Entre mensonges, vengeance et culpabilité, cet épisode marquera un tournant décisif dans la série.

Une matinée sous haute tension
Tout commence à l’aube. La ville semble paisible, mais au commissariat, l’ambiance est électrique. Patrick reçoit un appel qui glace le sang : Delmas, leur collègue, a disparu depuis la veille. Son téléphone ne répond plus, sa voiture a été retrouvée sur un quai désert du Vieux-Port. Immédiatement, Idriss comprend que quelque chose ne tourne pas rond.
Les deux hommes se lancent à sa recherche, tandis qu’Ariane tente de garder son sang-froid et de coordonner les patrouilles. La disparition d’un policier n’est jamais anodine, surtout lorsqu’elle survient en plein cœur d’une enquête sensible. Delmas travaillait sur un dossier explosif, mêlant corruption, menaces et trafics dans les milieux marseillais.
Au même moment, Boher découvre une clé USB dans le bureau de Delmas. Elle contient des documents compromettants, des photos et des rapports d’écoutes qui laissent entendre qu’un membre du commissariat pourrait être lié à un réseau criminel. Patrick serre les poings. Il sait désormais que cette affaire dépasse le cadre d’une simple disparition.
Le piège
Pendant que les policiers s’activent, une scène parallèle nous emmène dans un hangar abandonné près des docks. Un homme, visiblement blessé, tente de se libérer de ses liens. C’est Delmas. On comprend qu’il a été enlevé et interrogé. Ses ravisseurs cherchent quelque chose : un nom, une preuve, une trahison.
Malgré la douleur, il refuse de parler. “Je ne dirai rien”, souffle-t-il d’une voix tremblante. Son courage force le respect, mais son sort est déjà scellé. L’un des hommes, dissimulé dans l’ombre, ordonne froidement : “Faites disparaître tout ça. Ce flic en savait trop.”
La mise en scène est implacable. Les minutes s’écoulent, et au commissariat, Patrick sent l’urgence. Il a l’intuition que Delmas est encore vivant, quelque part. “Il nous enverrait un signe, s’il pouvait”, dit-il, les yeux fixés sur la carte de Marseille étalée sur le mur. Idriss, lui, repère une piste : une caméra de surveillance a capté un véhicule suspect à proximité du port. Les deux hommes foncent sans attendre les renforts.
La découverte macabre
Mais le temps leur échappe. Lorsque Patrick et Idriss arrivent sur place, la scène est silencieuse, oppressante. Le hangar est plongé dans la pénombre, les pas résonnent sur le béton froid. Une odeur de brûlé flotte dans l’air. Puis, la caméra suit le faisceau de leur lampe torche… jusqu’à un corps gisant au sol.
C’est Delmas. Son visage est marqué, ses mains portent des traces de lutte. Aucun doute possible : il a été assassiné. Patrick se fige, le souffle coupé. “Non… pas lui.” Idriss serre la mâchoire, la rage au ventre. L’émotion est palpable, presque insoutenable.
Très vite, la scène est bouclée. Les experts arrivent, les flashs crépitent. Boher, arrivé sur les lieux, détourne le regard. Tous réalisent qu’ils viennent de perdre l’un des leurs, un homme intègre, un ami. Mais la question se pose aussitôt : qui avait intérêt à le faire taire ?
Les soupçons
De retour au commissariat, Patrick refuse de s’effondrer. Il jure de retrouver le coupable, coûte que coûte. Ariane tente de le raisonner, mais il ne l’écoute pas. “On ne tue pas un flic pour rien. Quelqu’un ici sait ce qui s’est passé.” Ses paroles sèment le doute.
L’analyse de la clé USB révèle une vérité dérangeante : Delmas enquêtait sur un dossier de corruption interne, et l’un des noms cités revient plusieurs fois — un officier haut placé, proche du procureur. La découverte provoque un séisme. Idriss, choqué, comprend que leur collègue a été réduit au silence pour avoir approché la vérité de trop près.
Dans un couloir, une conversation surprise confirme les pires craintes. Un lieutenant évoque “un arrangement” conclu pour étouffer certaines affaires. Patrick surgit et le confronte : “Tu savais ! Tu savais qu’on allait le faire taire !” La tension monte d’un cran, les visages se ferment.
L’épisode se mue en un véritable thriller policier : plus Patrick creuse, plus il découvre que Delmas n’était pas seulement une victime, mais un homme prêt à sacrifier sa vie pour la vérité.
Le doute et la colère
À la maison, Babeth voit son mari s’effondrer. Il ne mange plus, ne dort plus. Il passe ses nuits à relire le rapport d’autopsie, à chercher un indice qu’il aurait manqué. “S’il a laissé quelque chose derrière lui, je le trouverai”, répète-t-il. Idriss, de son côté, suit une piste parallèle : un entrepôt appartenant à une société-écran, financée par un mystérieux investisseur étranger.
Un témoin finit par se manifester : un docker affirme avoir vu deux hommes charger un sac lourd dans un bateau la veille du meurtre. Mais avant de pouvoir témoigner officiellement, il disparaît à son tour. Le silence s’impose, lourd, pesant.
Patrick comprend que cette affaire va bien plus loin qu’un simple règlement de comptes. “C’est une machination”, souffle-t-il à Idriss. “Delmas est mort pour nous avertir.”
Un message posthume
Le dernier acte de l’épisode frappe fort. Roxane, l’experte en cybercriminalité, parvient à décrypter un message caché sur la clé USB de Delmas. Une vidéo s’ouvre : on y voit Delmas, filmé dans son bureau quelques jours avant sa mort. Fatigué, mais lucide, il confie :
“Si vous voyez ceci, c’est que je n’ai pas survécu. Ce que j’ai découvert concerne des gens puissants. Ne faites confiance à personne, pas même à ceux que vous croyez connaître.”
Ces mots résonnent comme une bombe. Patrick serre les poings. Idriss, lui, promet de continuer l’enquête. “On lui doit la vérité.”
L’épisode se termine sur une image saisissante : Patrick, seul dans le hangar, face à la trace de sang laissée par Delmas. La caméra s’élève lentement, dévoilant les lumières de Marseille au loin. Une voix off conclut : “La justice a un prix. Et parfois, ce prix, c’est la vie d’un homme.”
Une mort qui change tout
L’épisode du 6 novembre 2025 restera gravé dans l’histoire de Plus belle la vie. Rarement la série aura atteint un tel niveau d’intensité dramatique. Le meurtre de Delmas relance toutes les intrigues en cours et ouvre une nouvelle ère : celle du soupçon et de la peur.
Patrick, désormais hanté par la culpabilité, se retrouve face à un dilemme moral : suivre la procédure ou se faire justice lui-même. Idriss, quant à lui, voit sa loyauté mise à l’épreuve. Et au Mistral, chacun se demande : si Delmas a été éliminé, qui sera le prochain ?
Les fans sont laissés dans un suspense insoutenable. Qui est derrière ce meurtre ? Un réseau criminel ? Un traître au sein du commissariat ? Ou un ennemi bien plus proche qu’ils ne l’imaginent ?