Plus belle la vie : Patrick dévasté, il perd son fils Vadim… Le responsable est connu.
💥 Plus belle la vie : Patrick dévasté, il perd son fils Vadim… Le responsable est connu.
C’est un épisode d’une intensité rare qui attend les fidèles de Plus belle la vie, encore plus belle. Le drame frappe de plein fouet le clan Nebout, et rien ne sera plus jamais comme avant. Dans cet épisode tragique, diffusé autour du 30 octobre 2025, les larmes, la colère et la culpabilité se mêlent dans un déferlement d’émotions qui laisse le Mistral sous le choc. Le capitaine Patrick Nebout, figure emblématique du commissariat, voit sa vie voler en éclats lorsqu’il apprend la mort de son fils Vadim. Et le pire, c’est que cette tragédie n’est pas un accident… le responsable a un visage bien connu.
Tout commence dans une ambiance tendue. Patrick, ces derniers temps, vit sous pression. Les enquêtes s’enchaînent, l’épidémie qui secoue Marseille épuise les forces de la police, et les tensions familiales s’accumulent. Il tente de rester fort pour Babeth, mais son esprit est ailleurs. Son fils Vadim, qu’il voit trop rarement, l’inquiète. Le jeune homme, étudiant brillant mais impulsif, semble avoir pris de mauvaises directions. Ses fréquentations douteuses, ses escapades nocturnes, ses silences prolongés… tout indique qu’il cache quelque chose.

Un soir, Vadim disparaît. Patrick, inquiet, contacte ses collègues. « Il m’a dit qu’il sortait avec des amis. Depuis, plus rien. » Au commissariat, Boher essaie de le rassurer : « Il va revenir, c’est sûrement une fugue. » Mais Patrick sent que quelque chose cloche. Son instinct de flic ne ment jamais. Et il a raison. Quelques heures plus tard, une patrouille découvre un corps sans vie dans un entrepôt abandonné, près du port. L’identité du défunt ne tarde pas à tomber : il s’agit de Vadim Nebout.
Le monde de Patrick s’effondre. En apprenant la nouvelle, il reste figé, incapable de respirer. Babeth, effondrée, s’écroule dans ses bras. « Ce n’est pas possible… pas lui… » répète-t-elle en boucle. La douleur est insoutenable. La série offre ici une scène d’une intensité bouleversante : Patrick, agenouillé devant la dépouille de son fils, serre la médaille que Vadim portait autour du cou. Les larmes qu’il retient depuis toujours finissent par couler.
Mais très vite, le chagrin laisse place à la colère. Qui a pu faire ça ? Le commissariat tout entier se mobilise. Boher, Ariane et Samuel mettent tout en œuvre pour faire avancer l’enquête, bien décidés à rendre justice à Vadim. Les premiers indices sont troublants. Le jeune homme a été victime d’une agression violente, mais sans vol apparent. Pas de vol de portefeuille, ni de téléphone. Ce n’est donc pas un simple règlement de comptes.
Patrick, malgré la douleur, insiste pour participer à l’enquête. Ses supérieurs tentent de l’en écarter, mais il refuse catégoriquement. « C’est mon fils. Je trouverai celui qui lui a fait ça, quitte à tout perdre. » Son regard, froid et déterminé, montre qu’il n’a plus rien à perdre.
L’enquête prend un tournant décisif lorsque les caméras de surveillance révèlent une silhouette connue entrant dans l’entrepôt la nuit du drame. Boher et Ariane n’en croient pas leurs yeux : il s’agit d’un jeune homme récemment sorti de prison… Jordan, un ancien indic de Patrick. Ce dernier avait promis à Patrick de se racheter. Mais tout indique qu’il est impliqué dans la mort de Vadim.
Lorsque Patrick apprend le nom du suspect, il explose. « Jordan ?! Ce gamin, je l’ai protégé ! Je lui ai donné une seconde chance ! » Le choc se mêle à la trahison. Contre l’avis de ses collègues, il décide d’aller l’interroger lui-même. La confrontation est d’une intensité extrême. Dans un hangar désaffecté, Patrick retrouve Jordan, paniqué, prêt à fuir.
Le dialogue est glaçant :
— « Pourquoi, Jordan ? Pourquoi mon fils ? »
— « C’était pas lui que je voulais toucher, j’te jure ! C’était un accident ! »
Les mots n’ont plus de sens. Patrick, tremblant, comprend que Vadim s’est trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment. Jordan visait un autre garçon, membre d’un réseau de trafic avec lequel il réglait ses comptes. Vadim, venu retrouver un ami ce soir-là, s’est interposé.
L’émotion culmine lorsque Jordan, effondré, tombe à genoux : « Je voulais pas… il m’a défendu, il m’a dit d’arrêter… et j’ai paniqué. » Patrick, en larmes, pointe son arme, incapable de tirer. Il finit par lâcher : « Je devrais te haïr… mais c’est moi qui t’ai mis sur cette voie. » Puis il se détourne, brisé.
Au commissariat, la tension est palpable. Boher tente de calmer Patrick, tandis qu’Ariane prend le relais de l’enquête. Jordan est arrêté, mais Patrick ne trouve aucun soulagement. La vérité ne lui rendra pas son fils. La scène où il range le dossier de Vadim dans son tiroir, le regard vide, est d’une puissance silencieuse.
De son côté, Babeth s’enfonce dans une tristesse profonde. Elle ne mange plus, ne parle plus. C’est Léa, leur fille, qui tente de maintenir un peu de lumière dans la maison. « Papa, il faut qu’on tienne… pour lui », dit-elle un soir, alors que Patrick contemple la photo de Vadim. Mais l’homme qu’il était semble avoir disparu.
Les jours suivants, le Mistral se rassemble autour de la famille. Thomas, Luna, Blanche, tous viennent présenter leurs condoléances. Chacun se souvient du sourire de Vadim, de sa gentillesse, de son humour. Une veillée émouvante est organisée au bar du Mistral, avec des bougies et des photos.
Mais un dernier rebondissement vient assombrir encore un peu plus le tableau : les analyses balistiques révèlent que l’arme utilisée par Jordan provenait… d’une saisie policière. Autrement dit, quelqu’un à l’intérieur du commissariat aurait permis à l’arme de circuler de nouveau. Une trahison interne, un secret de plus à dévoiler.
Patrick comprend alors que la mort de son fils n’est pas seulement le fruit du hasard : elle est le résultat d’un système corrompu qu’il a, sans le vouloir, contribué à entretenir. Sa quête de justice devient alors une croisade. Il jure de faire éclater la vérité, même si cela doit lui coûter sa carrière.
Dans la scène finale, il se rend sur la tombe de Vadim, le regard perdu. « Je te le promets, mon fils… je ne laisserai pas ton nom être oublié. » La caméra s’éloigne lentement tandis que le vent fait voler les feuilles du cimetière.
💔 Cet épisode restera gravé comme l’un des plus déchirants de Plus belle la vie. Patrick, pilier moral du Mistral, perd ce qu’il a de plus cher, et sa douleur devient le moteur d’une lutte contre la corruption et la fatalité. Entre amour brisé, vengeance retenue et vérité insupportable, cette tragédie marque un tournant dans la série : rien ne sera plus jamais comme avant pour les Nebout.