Un si grand soleil du 5 novembre : Florent en plein doute sur l’aveu de Boris Laumière – la vérité se fissure (SPOILERS 🌅💥)
Voici le spoiler complet d’environ 900 mots pour le film intitulé :
Un si grand soleil du 5 novembre : Florent en plein doute sur l’aveu de Boris Laumière – la vérité se fissure (SPOILERS 🌅💥)
L’épisode 1786 d’Un si grand soleil, diffusé le mercredi 5 novembre 2025, s’annonce comme l’un des plus intenses de ces dernières semaines. Le drame autour de la mort d’Eliott reste au cœur de toutes les préoccupations, et l’enquête prend un tournant inattendu. Boris Laumière, principal suspect, a avoué. Mais son aveu ne convainc pas tout le monde — surtout pas Florent, qui commence à douter sérieusement de la sincérité de son client. Entre doutes, manipulations et émotions, cet épisode plonge le spectateur dans une spirale de tensions psychologiques où la vérité semble plus insaisissable que jamais.
Dès les premières minutes, le ton est donné. L’épisode s’ouvre sur Boris, seul dans sa cellule, rongé par le remords. Ses mains tremblent, son regard est vide. Les mots qu’il a prononcés la veille – “Oui, c’est moi qui ai tué Eliott” – résonnent dans sa tête comme une condamnation. Pourtant, quelque chose ne colle pas. Son comportement oscille entre culpabilité et confusion.
De son côté, Florent, son avocat, ne peut s’empêcher de repasser la scène de l’interrogatoire. Les gestes de Boris, ses hésitations, ses silences… Tout lui semble étrange. Alors que tout le monde au commissariat se félicite d’avoir “bouclé l’affaire”, Florent sent au fond de lui qu’il manque une pièce au puzzle.
Le lendemain matin, il décide d’aller le voir. Dans le parloir, l’atmosphère est pesante. Boris garde la tête baissée, refusant de croiser le regard de son avocat.
— « Pourquoi avoir avoué si tu n’étais pas sûr de toi ? » demande Florent d’un ton calme mais incisif.
— « Parce que c’est la vérité », répond Boris d’une voix éteinte.
Florent fronce les sourcils. « Non. Tu caches quelque chose. Ce n’est pas toi, n’est-ce pas ? »
Le jeune homme se ferme instantanément, esquivant la question.
Pendant ce temps, Manu et Alex poursuivent leur enquête de manière plus discrète. Si la police a classé provisoirement le dossier, Manu ne parvient pas à s’en réjouir. Il a trop souvent vu des coupables “idéaux” masquant une vérité plus complexe. En relisant les relevés téléphoniques d’Eliott, il remarque un détail troublant : un appel reçu peu avant sa mort, provenant d’un numéro inconnu, situé à proximité du port.
Manu en parle à Clara, qui travaille encore à surmonter le choc de la disparition de son frère. La jeune femme s’effondre en apprenant que des zones d’ombre subsistent. « Alors… ils ne savent toujours pas ce qui s’est passé ? » murmure-t-elle, bouleversée. Manu la rassure, lui promettant qu’il ira au bout. Mais ses mots peinent à apaiser la douleur de la famille Bastide.
Pendant ce temps, Eve, la mère d’Eliott, tente tant bien que mal de reprendre pied. Depuis la mort de son fils, elle vit dans un mélange de colère et de désespoir. Elle a du mal à supporter l’idée que Boris puisse être coupable, et encore plus que tout cela puisse être terminé aussi vite. Elle confie à Manu, son ex-compagnon, qu’elle sent que quelque chose cloche :
— « Boris était son ami. Il n’aurait jamais pu lui faire ça. Tu le sais, Manu. Ce garçon n’a pas le regard d’un meurtrier. »
Cette phrase résonne fort. Manu, déjà envahi par le doute, comprend qu’il doit creuser davantage.
De son côté, Florent multiplie les démarches. Il fouille les rapports d’expertise, compare les versions et tente de reconstituer le déroulé de la soirée du meurtre. Très vite, il découvre une incohérence majeure : l’heure du décès indiquée par le médecin légiste ne correspond pas à la version donnée par Boris. S’il avait réellement commis le crime à ce moment-là, il se serait trouvé dans un autre lieu, selon les données GPS de son téléphone.
Florent retourne voir Boris avec ces informations. Cette fois, il est déterminé à obtenir la vérité.
— « Les faits ne collent pas, Boris. Tu étais ailleurs quand Eliott est mort. Alors pourquoi tu mens ? Qui essaies-tu de protéger ? »
Le jeune homme reste silencieux un long moment, puis lâche dans un souffle :
— « Si je parle, quelqu’un d’autre mourra. »
Ces mots glacent Florent. Derrière cette phrase, il comprend qu’il ne s’agit pas seulement d’un meurtre, mais d’une menace plus vaste. Quelqu’un tire les ficelles dans l’ombre.

Pendant ce temps, Alix et Claudine apprennent la nouvelle des doutes de Florent. Claudine, en tant qu’avocate expérimentée, lui conseille la prudence : « Tu marches sur une ligne fine, Florent. Si tu continues à le défendre tout en doutant de sa version, tu risques de tout perdre. » Mais Florent ne peut pas se résoudre à abandonner. Pour lui, la vérité est plus importante que la victoire juridique.
Au commissariat, Manu décide de reprendre la piste du mystérieux appel. Avec Alex, ils identifient le propriétaire du numéro : un certain Pascal Vernier, un ancien partenaire commercial d’Eliott, connu pour ses affaires douteuses. Or, cet homme a disparu depuis quelques jours. La piste devient brûlante.
Dans une scène clé, Florent confronte Boris une dernière fois. L’avocat met les cartes sur la table, lui montrant les preuves accumulées. Boris craque, les larmes aux yeux :
— « Je n’ai pas tué Eliott. Mais c’est ma faute s’il est mort. »
Sous la pression, il finit par raconter ce qu’il s’est réellement passé : Eliott aurait découvert une transaction illégale impliquant Vernier et aurait tenté de le dénoncer. Boris, pris dans l’engrenage, aurait cherché à le dissuader, sans se douter que son silence allait le condamner. Quand il a retrouvé le corps d’Eliott, déjà sans vie, il s’est accusé pour protéger quelqu’un d’autre.
Mais qui ? La réponse reste floue. Florent comprend que la vérité est bien plus complexe et que d’autres noms sont impliqués.
Dans les dernières minutes, Manu apprend qu’un véhicule appartenant à Pascal Vernier a été retrouvé incendié dans une zone isolée. Le corps retrouvé à l’intérieur n’a pas encore été identifié. L’étau se resserre, mais les doutes grandissent : et si l’affaire Eliott cachait un réseau bien plus vaste ?
L’épisode se conclut sur une scène saisissante : Florent, seul dans son bureau, relit les notes de son client. Une phrase attire son attention, griffonnée sur un coin de feuille : “On ne peut pas sauver tout le monde.” Son regard se fige. Le visage de Boris lui revient en mémoire, celui d’un homme écrasé par le poids d’un secret trop lourd.
La caméra s’éloigne lentement, laissant planer le doute : la vérité sur la mort d’Eliott n’a pas encore été entièrement révélée, et les prochains épisodes promettent de bouleverser encore davantage les certitudes.
Dans Un si grand soleil, rien n’est jamais simple — et ce 5 novembre, Florent apprend à ses dépens que la justice et la vérité ne vont pas toujours de pair. Les masques tombent, les loyautés vacillent, et le soleil, ce soir-là, semble plus sombre que jamais.