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🎬 Un si grand soleil : Thaïs passe la nuit avec Louis… mais elle va vite le regretter, personne ne l’avait vu venir… on s’est tous trompé !

L’épisode de Un si grand soleil du mardi 14 octobre 2025 s’annonce comme un véritable tournant émotionnel. Ce que beaucoup de fans redoutaient — ou espéraient secrètement — finit par se produire : Thaïs cède à ses sentiments et passe la nuit avec Louis. Mais au lieu du bonheur qu’elle imaginait, cette nuit marque le début d’une spirale dangereuse, pleine de remords, de mensonges et de trahisons. Car derrière ce moment d’intimité se cachent des vérités bien plus sombres… et personne n’avait vu venir ce qui allait suivre.

Dès les premières minutes, l’épisode s’ouvre sur une atmosphère suspendue. Thaïs, nerveuse, se regarde dans le miroir de sa chambre. Elle hésite, repense aux mots de son amie Kira, qui l’avait pourtant prévenue : « Tu vas te brûler les ailes avec Louis, fais attention. » Mais le cœur a ses raisons, et Thaïs n’écoute plus la voix de la raison. Louis, de son côté, arrive chez elle, un bouquet de fleurs à la main et ce regard charmeur qu’il maîtrise à la perfection.

Leur complicité est immédiate. Un dîner improvisé, quelques rires, des confidences échangées, et la tension devient palpable. La caméra s’attarde sur leurs mains qui se frôlent, sur ce silence lourd de sens avant le moment fatidique. Quand enfin ils s’embrassent, tout semble inévitable. Pour un instant, ils oublient tout : les doutes, les reproches, les différences. Mais cette passion, aussi sincère soit-elle, va avoir un prix.

Au petit matin, le ton change. Thaïs se réveille, encore perdue dans un mélange d’émotion et de confusion. Louis, déjà levé, prépare le café comme si de rien n’était. Il est détendu, presque trop. Elle, en revanche, semble ailleurs. Quelque chose ne colle pas. Un message sur son téléphone attire son attention : un SMS d’une expéditrice inconnue — « Tu crois vraiment qu’il t’aime ? Ouvre les yeux. » Son cœur se serre.

Elle ne dit rien, mais son sourire se fane. Louis remarque son trouble et tente de la rassurer, sans savoir que la confiance fragile qu’elle lui accordait commence déjà à se fissurer.

Pendant ce temps, Kira apprend la nouvelle par hasard. Une connaissance commune l’informe que Louis et Thaïs ont été vus ensemble au bar la veille, très proches. Blessée et inquiète pour son amie, elle décide d’aller la voir. La confrontation entre les deux jeunes femmes est brutale.
— « Tu m’avais juré que tu n’irais pas plus loin avec lui ! »
— « C’est arrivé, Kira… Je ne l’ai pas planifié. »
— « Tu ne comprends pas, Thaïs. Il joue avec toi. Louis ne change pas. »

Ces mots résonnent dans l’esprit de Thaïs comme un avertissement qu’elle aurait dû écouter. Pourtant, elle veut y croire. Louis lui a semblé sincère, différent. Mais au même moment, un détail va tout remettre en question : Johanna, l’avocate de la famille, surprend une conversation entre Louis et son père, Marc. Et ce qu’elle entend la glace. Louis évoque sa « petite expérience » avec Thaïs, parlant d’elle avec désinvolture, comme d’un simple défi.

Johanna, écœurée, hésite à tout révéler. Elle sait que cela briserait Thaïs, mais le mensonge est trop lourd. Elle finit par prévenir Florent, qui lui conseille de ne pas s’en mêler. Pourtant, le destin s’en charge. Thaïs tombe par hasard sur Louis au campus, en train de discuter avec un ami. Elle s’apprête à le rejoindre… jusqu’à ce qu’elle entende ces quelques mots :
— « C’était sympa, mais faut pas qu’elle s’attache. »

Le monde s’effondre autour d’elle. La caméra se fige sur son visage, figé entre colère, humiliation et tristesse. Elle quitte les lieux sans un mot. Plus tard, elle rentre chez elle, effondrée. Kira la trouve en larmes.

— « Tu vois, je te l’avais dit. »
— « J’ai été idiote… Il s’est servi de moi. »

Mais ce n’est que le début du cauchemar. Quelques heures plus tard, une vidéo commence à circuler sur les réseaux sociaux : on y voit Thaïs et Louis, filmés à leur insu dans un moment intime. Le choc est immédiat. En quelques minutes, les commentaires s’enchaînent, les captures se diffusent, et la réputation de Thaïs est en miettes.

Furieuse, elle se rend chez Louis pour le confronter. La scène est d’une intensité rare.
— « Tu m’as filmée ?! Tu te rends compte de ce que tu as fait ?! »
— « Non ! Je te jure que ce n’est pas moi ! »
Mais la défense de Louis paraît faible. D’autant qu’un message anonyme a été envoyé depuis son adresse mail.

L’affaire prend une ampleur inattendue. Florent, alerté, tente d’empêcher la vidéo de se propager, tandis que Claire offre son soutien à Thaïs, profondément meurtrie. L’université, de son côté, menace de lancer une enquête disciplinaire, redoutant un scandale.

Pour la première fois, Louis semble perdre pied. Il se rend compte qu’il a dépassé les limites. Il tente désespérément de retrouver qui a pu diffuser la vidéo — persuadé que quelqu’un cherche à le piéger. Et en effet, un rebondissement inattendu surgit : un message signé « J. » apparaît dans sa boîte mail, contenant une phrase glaçante : « Tu pensais pouvoir jouer avec tout le monde ? Maintenant, c’est ton tour. »

Le soupçon se tourne vers Justine, une ancienne conquête de Louis, toujours amère après leur rupture. Mais rien n’est certain. La vérité, dans Un si grand soleil, n’est jamais aussi simple qu’on le croit.

Thaïs, quant à elle, décide de tout arrêter. Elle coupe les ponts, quitte ses cours quelques jours, et envisage même de porter plainte. Elle se sent trahie, exposée, salie. Pourtant, un dernier geste de Louis va tout changer : il se rend publiquement responsable, avouant avoir filmé sans réfléchir, même s’il jure ne pas avoir diffusé la vidéo. Un acte courageux, mais tardif.

Dans la dernière scène, Thaïs le croise une dernière fois sur la place du Midi. Le soleil se couche, les mots sont rares.
— « Pourquoi, Louis ? Pourquoi tu m’as fait ça ? »
— « Je ne voulais pas te faire de mal. J’ai tout gâché… Je suis désolé. »
— « Trop tard. »

Elle s’éloigne, la tête haute, mais les larmes aux yeux. Louis reste seul, le regard perdu, conscient d’avoir tout perdu : la confiance, l’amour, et peut-être même sa dignité.

Le générique se lance sur un plan symbolique : Thaïs, assise sur le quai, le vent dans les cheveux, regardant la mer. Une larme coule sur sa joue. La voix off murmure :
— « On croit toujours connaître ceux qu’on aime… jusqu’à ce qu’ils montrent leur vrai visage. »

Et dans l’ombre, une silhouette observe de loin — Justine, ou quelqu’un d’autre ? Le mystère reste entier, annonçant une suite encore plus sombre pour les jours à venir…

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